Dans le cadre de la journée du Numérique et des Startups organisée le 06 février prochain par le Togo à l’Exposition Universelle de Dubaï, le ministère du commerce lance un appel à pitch à l’endroit des startups nationales évoluant dans le numérique.
#Urgent ?Vous êtes une startup?? évoluant dans le secteur du #numérique. Cet appel à pitch vous est adressés! Informations complémentaires ?@GouvTg @CommunicationTg @expo_togo @expo2020dubai #Denyigban#TogoNumerique #TogoDigital #InnovTogo#TgTwittos pic.twitter.com/WJrx1qFFjk
— Ministère du Commerce - TOGO (@CommercegouvTg) January 25, 2022
Concrètement, ces dernières sont invitées à se servir de l’événement comme tremplin, pour s’offrir de la visibilité et des opportunités de partenariat. Ceci, via des capsules vidéo les décrivant et présentant leurs activités.
Ces supports, dont les conditions d’éligibilité sont définies, seront diffusées sur les pages officielles du Togo à l’expo et dans le pavillon togolais.
En rappel, le Togo a déjà mené en décembre dernier deux activités à l’exposition émiratie : la Journée économique et la Journée nationale.
L’assemblée nationale a officiellement ouvert lundi les processus de renouvellement des membres de la Commission nationale des Droits de l’Homme (CNDH) et de la Commission électorale nationale indépendante (CENI).
Dans le détail, 09 postes sont à pourvoir au sein de la CNDH, avec au moins 04 personnalités de chaque sexe, ayant des compétences pratiques avérées dans les domaines du droit et justice, de la santé, de la défense des droits humains, ou encore de la protection de l’environnement. Quant à la CENI, 17 postes sont à pourvoir : 07 pour la majorité parlementaire, 07 pour l’opposition, 02 pour la Société Civile et 01 pour l’administration.
Les candidatures, dont les conditions sont à retrouver dans le Quotidien National, sont ouvertes jusqu’au 14 février pour la CNDH et jusqu’au 23 février pour la Commission électorale.
Après trois années consécutives de résultats encourageants en matière de mise en œuvre des réformes communautaires au sein de l’Uemoa, le Togo a maintenu le cap en 2021. Au terme de la revue technique effectuée en fin d’année dernière, le pays ressort avec un taux d’exécution de plus de 78%.
Les résultats ont été présentés mardi à Lomé au Premier ministre par le Président de la Commission de l’Union, puis aux différents acteurs impliqués, lors des travaux de la 7ème revue annuelle des réformes, politiques, programmes et projets de l’organisation au Togo.
''La revue a permis de noter que le #Togo est, et reste un pays performant en matière de mise en œuvre des politiques, réformes et exécution des programmes de @UEMOA_Officiel. Nous ressortons avec un taux d'exécution qui est supérieur à 78% ce qui est remarquable" Abdoulaye Diop pic.twitter.com/WX4po6cN5X
— Primature Togo (@PrimatureTogo) January 26, 2022
“Il s’agit d’une performance remarquable”, a noté Abdoulaye Diop, lors de l’audience à la Primature. Et de poursuivre : “Le Togo est, et reste un pays performant en matière de mise en œuvre des politiques, réformes et exécution des programmes de l’Union. La commission félicite le gouvernement pour les réformes et les acquis importants obtenus en matière de gouvernance économique et convergence, marchés publics, lutte contre le blanchiment, surveillance multilatérale, finances publiques”.
Pour le ministre de l’économie et des finances, “Ces résultats obtenus confirment l’engagement soutenu des autorités togolaises dans la mise en œuvre desdites réformes, bien que certains textes restent à être transposés ou appliqués”.
Et si l’année 2021 a enregistré d’importantes réformes, “la réforme phare mise en œuvre, qui est au cœur de la gestion des finances publiques, est afférente à la gestion axée sur les résultats, notamment la mise en œuvre et l’exécution du budget de l’Etat en mode programme démarrée en janvier 2021 au Togo”.
De 2018 à 2021, le pays a enregistré une progression moyenne annuelle de 7% dans la mise en oeuvre des réformes communautaires (64% à 78,2%).
Un convoi de casques bleus togolais déployés au sein de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation au Mali (Minusma), a été visé lundi par une attaque à l’engin explosif improvisé, à une trentaine de km de Sévaré (centre du pays). Les soldats de la paix togolais ont riposté, dans le cadre du mandat de la Mission et de leurs règles d’engagement, neutralisant l’un des assaillants et déjouant l’attaque.
Dans un message adressé à leur endroit et réitéré mardi au contingent basé à Douentza, le nouveau commandant de la Force, Kees Matthijssen a transmis ses félicitations et son admiration.
Mes compliments aux Casques bleus Togolais de la @UN_MINUSMA qui ont agi de manière très adéquate ce matin lorsque leur convoi a été la cible d'une attaque à l'EEI. Grâce à une réponse défensive proactive, ils ont pu neutraliser l'un des assaillants. Bien joué! #auservicedelapaix
— Kees Matthijssen (@KeesMatthijssen) January 24, 2022
Cette nouvelle attaque intervient quelques semaines après celle qui a coûté la vie à 7 togolais et blessé 3 autres, dans la même zone. Un acte fermement condamné par la communauté internationale.
Depuis 2013, le Togo a perdu 13 casques bleus au Mali.
Au Togo, les passagers devront désormais mettre un casque de protection en circulation sur les engins à deux roues, au même titre que les conducteurs. La mesure, évoquée il y a quelques semaines lors de la présentation du bilan de l’insécurité routière de l’année écoulée, est officiellement entrée en vigueur ce lundi 24 janvier.
L’objectif affiché par le gouvernement est de réduire drastiquement le nombre d’accidents et donc de décès liés aux engins visés.
“Le Président de la République avait décrété l’année 2014 comme celle de la sécurité routière et des mesures avaient été prises (port de casque, ceinture de sécurité, téléphone au volant). L’appel avait été entendu et le nombre de morts sur les routes avait alors considérablement diminué”, rappelle le ministre de la protection civile, Yark Damehame qui regrette que la vigilance soit retombée depuis lors.
Pour l’heure, l’accent sera mis sur la sensibilisation. Puis, viendra le moment des sanctions.
Le Togo a passé lundi son grand oral devant le Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies. L’activité, inscrite dans le cadre de l’Examen Périodique Universel (EPU), a enregistré la participation de 89 pays.
Ce matin avait lieu l’examen de la situation des droits de l’homme au #Togo??#EPU
— ONU Genève (@ONUGeneve) January 24, 2022
89 États ont félicité les efforts sur l'accès à l’éducation et la lutte contre la traite des enfants. Ils ont recommandé de dépénaliser l’homosexualité et éradiquer les mutilations génitales#UPR40 pic.twitter.com/LBXuxFoT1y
Au bout de trois heures de décryptage des différentes avancées réalisées par le pays dans le domaine de la protection des droits humains, les Etats ont félicité la délégation togolaise, et formulé des recommandations, afin de renforcer davantage la dynamique imprimée depuis 2016.
Dans le détail, elles concernent le renforcement des mesures pour atteindre l’égalité des sexes et de lutte contre les VBG, la ratification du statut de Rome (sur la CPI), l’indépendance de la justice et de la CNDH, la condition carcérale et la pratique de la torture, la lutte contre la pauvreté et la corruption, l’emploi des jeunes, la santé publique, les droits des prisonniers politiques, ou encore la liberté d’expression et de la presse.
Les Etats ont en outre recommandé au Togo de poursuivre l'amélioration de la qualité et de l'accès à l’éducation, de réduire les disparités entre filles et garçons dans l'enseignement, et de continuer à lutter contre le travail et la traite des enfants.
Autre point sensible évoqué, la dépénalisation de l’homosexualité et la lutte contre la discrimination liée à l’orientation sexuelle. En juillet dernier, le Togo avait réitéré sa fermeté sur la question, tout en garantissant les droits des minorités.
Le rapport de l’examen du Togo sera adopté vendredi. En rappel, après son dernier EPU en 2016, le Togo a accepté 176 recommandations internationales sur les 195 qui ont été formulées.
Le ministre des affaires étrangères a poursuivi mardi sa visite officielle en Iran. Après un nouvel échange avec son homologue Hossein Amir-Abdollahian, Robert Dussey a dévoilé à plusieurs interlocuteurs et officiels iraniens, les opportunités d’investissements ainsi que les projets de développement du Togo.
Feuille de route gouvernementale, financements des projets, (santé,énergie,mines, agriculture, infrastructures et construction… ) au Togo ont été au cœur de nos échanges @IRIMFA_EN @IrnaEnglish @Iran_GOV pic.twitter.com/C8GWkvyU6K
— Robert Dussey (@rdussey) January 25, 2022
Feuille de route quinquennale 2025, financement de projets dans différents secteurs (santé, énergie, mines, agriculture, infrastructures et construction), ou encore environnement des affaires dans le pays, ont été au centre des interventions.
L’ambition du Togo est claire : mobiliser les investisseurs au sein de l’ancienne puissance perse, aujourd’hui parmi les Top 30 des nations qui produisent le plus de richesses, malgré les importantes sanctions occidentales.
“Les sanctions imposées à votre pays ne doivent pas empêcher la conjugaison de nos efforts pour le progrès économique et social de nos deux pays. Au contraire, nous devons prendre des mesures pour créer des mécanismes qui nous permettent d'approfondir et de diversifier notre coopération”, a d’ailleurs souhaité le chef de la diplomatie togolaise.
Pour rappel, lundi, Robert Dussey a été reçu par le président iranien, Ebrahim Raïssi.
Au Togo, la déclaration des biens et avoirs des hautes personnalités, hauts fonctionnaires et agents publics est désormais effective. Le Médiateur de la République, Awa Nana Daboya a donné le ton lundi à Lomé, en déclarant son patrimoine devant la Cour Constitutionnelle.
La responsable investie le 25 octobre dernier, s’inscrivait par cette action, dans le respect des dispositions des textes qui l’obligent notamment à effectuer une déclaration initiale dans les 90 jours suivant sa prise de fonction.
La séance, qui s’est déroulée à huis clos, marque ainsi le début de la réception des déclarations de tous les assujettis. Les informations transmises ne seront pas rendues publiques, et concernent les avoirs aussi bien sur le territoire qu’à l’étranger. L’objectif étant de promouvoir la transparence et prévenir l’enrichissement illicite.
Rappelons que le Médiateur de la République est également habilité à recevoir les plaintes et réclamations des citoyens contre l’administration publique.
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Le Togo a commémoré lundi le 48ème anniversaire de l’attentat de Sarakawa (Kozah). Comme l’exige la tradition, une cérémonie de recueillement et de communion, marquée par un dépôt de gerbe, s’est déroulée au mausolée érigé sur les lieux du drame, en présence du Président de la République, du Premier ministre, de la Présidente de l’Assemblée nationale, et de plusieurs officiels.
Sonnerie aux morts, audition du message de l’époque du Père de la Nation, et rediffusion de témoignages ont également ponctué la cérémonie.
En rappel, le 24 janvier 1974, le DC3 présidentiel effectuant la liaison Lomé-Pya avec à son bord le président Gnassingbé Eyadema et plusieurs de ses collaborateurs, s’écrase en pleine brousse à Sarakawa. Le Président s’en sort indemne mais plusieurs compatriotes y perdent la vie.
L’événement constituera un tournant dans l’histoire du Togo.
Le ministère des sports et le bureau Togo de Plan International ont signé lundi à Lomé un cadre de partenariat, destiné à renforcer le développement du sport féminin dans le pays. L’entente, paraphée par Lidi Bessi Kama et Awa Faly Ba, s’est concrétisée à l’occasion de la Journée internationale du sport féminin, célébrée le 24 janvier.
24 janv, Journée internationale du sport féminin
— Ministère des Sports et des Loisirs Togo (@MinistereSports) January 24, 2022
Le ministère des sports et des loisirs et @PlanIntTogo ont marqué l'événement par la signature d'une convention de collaboration pour renforcer le développement du sport féminin au #Togo??@GouvTg@LidiBessi@Awafba@cnotogofficiel pic.twitter.com/jvQzYYULcx
A travers ce cadre de collaboration, l’ONG appuiera les efforts déployés par le ministère, afin de relever le niveau du sport féminin national et créer des championnes locales. Il s’agira également d’aider les jeunes filles et femmes à s’épanouir dans les domaines de leurs choix et à s’émanciper.
“C’est un levier de développement”, a déclaré la directrice pays de Plan International.
Au Togo, le sport féminin est en plein essor depuis plusieurs années, porté par les actions du ministère et du comité national olympique, ainsi que des initiatives privées.