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Initialement fixé au 30 avril, le dépôt des états financiers pour les personnes morales autres que les sociétés et les compagnies d'assurance et de réassurance, devra se poursuivre pendant 21 jours supplémentaires. L’Office togolais des recettes (OTR) a en effet prorogé, via un communiqué, la date de dépôt au 22 mai.

Outre cette mesure, le fisc a également annoncé la suspension des pénalités de retard (pénalités d'assiette) pour les dépôts effectués pendant la période de report.

Cependant, cette suspension « ne s'applique pas aux déclarations, aux paiements des soldes ni aux impôts dus à ces dates, qui doivent être réglés dans les délais légaux », a précisé le fisc.

Pour rappel, le dépôt des états financiers est digitalisé depuis l’an dernier à la suite de la mise en service du Guichet Unique pour le Dépôt des États Financiers (GUDEF).

Au Togo, la 7ème édition du Festival national des danses traditionnelles (FESNAD) connaîtra son apothéose demain vendredi 10 mai, sur la scène Bella Bellow de l’Université de Lomé. L'annonce a été faite par le ministre de la Culture et du Tourisme, Gbenyo Lamadokou.

L'événement, placé sous le haut parrainage du président de la République, Faure Essozimna Gnassingbé, s’inscrit dans le cadre de la célébration du 64ème anniversaire de l’indépendance. Au total, 12 groupes folkloriques venus de tout le territoire, y prendront part, autour du thème : « ensemble portons le folklore national ».

Le ministre de la Culture et du Tourisme invite la population à prendre massivement part à cette rencontre.

Au Togo, des efforts se poursuivent pour une amélioration des actions dans le domaine agricole. Une rencontre consacrée à l’évaluation des méthodes et outils innovants du conseil agricole a démarré dans ce sens mardi 07 mai à Lomé.

Les travaux sont organisés par le Réseau des services de conseil agricole et rural d’Afrique de l’Ouest et du Centre (RESCAR-AOC), en collaboration avec le Conseil Ouest et Centre Africain pour la Recherche et le Développement Agricole (CORAF), ainsi que l’Institut de Conseil et d’Appui Technique (ICAT). Ils font suite à une étude de capitalisation des méthodes modernes et outils innovants du conseil agricole. L’exercice concernait 13 pays dont 8 d’Afrique de l’ouest, parmi lesquels le Togo, et 5 d’Afrique centrale.

L’objectif de la réunion qui prend fin ce mercredi est de renforcer la liste des méthodes et outils de conseil agricole établie par le RESCAR-AOC et d’examiner l’état général du conseil agricole au Togo à travers la grille d’analyse de la FAO.

« Cet atelier s’inscrit dans un processus régional qui touche deux régions, l’Afrique de l’Ouest et l’Afrique centrale, qui vise à faire du conseil agricole, un levier pour la transformation des systèmes agricoles dans nos régions », a indiqué Gifty Narh Guiella, présidente du RESCAR-AOC.

Et d’expliquer que pour que « le conseil puisse jouer pleinement son rôle, il fallait identifier dans les pays, qu’est-ce qui est pratiqué, quelles sont les limites, quelles sont les forces et sur quels outils nous pouvons nous appuyer pour toucher plus efficacement les agriculteurs ».

Pour sa part, le directeur des filières végétales au ministère de l’Agriculture, Kpadenou Anani, a souligné le développement spectaculaire des Technologies de l’information et de la communication (TIC) qui a révolutionné l’approche du conseil agricole et facilité l’accès à l’information agricole avec l’utilisation des outils notamment le téléphone mobile et les plateformes web.

Créé en 2010 au Burkina Faso, le  RESCAR-AOC est une structure dont la mission est d'offrir un espace d'échange, d'apprentissage, de partage d’expérience entre les acteurs du conseil agricole en Afrique de l'Ouest et du Centre afin d'améliorer leurs performances et impacts.

Au Togo, une vingtaine d’acteurs de la justice réfléchissent, depuis mardi 06 mai sur la lutte contre la corruption, l’impunité et la détention préventive dans le système judiciaire. Les travaux qui prennent fin ce mercredi, devraient aboutir à des plans d’action à mettre en œuvre.

L’initiative portée par la Commission nationale des droits de l’homme (CNDH) en partenariat avec l’association Solidarité mondiale pour les personnes démunies et les détenus (SMPDD), vise à consolider la collaboration entre les différents acteurs intervenant dans la lutte contre ces fléaux.

Concrètement, il s'agit pour les parties prenantes (CNDH, HAPLUCIA, Ordre des avocats et la société civile) d’identifier les causes et les effets négatifs de la corruption dans le système judiciaire et son impact sur les citoyens. Ils partageront également les bonnes pratiques en matière de prévention et de sanction des actes de corruption.

« La lutte contre la corruption est essentielle pour protéger les droits de l’homme car l’indépendance et l’impartialité de la justice sont les piliers d’un système respectueux de l’Etat de droit », a indiqué Kadanga Tchalim, directeur de cabinet du ministère de la Justice.

Pour rappel, depuis 2022, le Togo dispose d’un plan de prévention et de lutte contre la corruption et les infractions assimilées.

En 2023, les opérateurs Togocom et Moov Africa Togo ont dominé le classement de la connectivité mobile en Afrique de l'Ouest, faisant du Togo, le pays ayant proposé les meilleures performances de l’internet mobile dans la sous-région. C’est ce qui ressort du dernier baromètre du spécialiste mondial de l’évaluation des réseaux de télécommunications, nPerf

L’évaluation, rapportée par l’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep), a notamment porté sur les diverses performances des connexions internet mobiles dans les zones Uemoa et Cedeao. 

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Dans le détail, le Togo affiche les meilleures performances au niveau de la qualité des débits (montants et descendants), du temps de réponse, de la navigation, ou encore du streaming vidéo. 

Au classement, Togocom et Moov Togo devancent de loin leurs homologues du Bénin (Moov), du Sénégal (Orange), et de la Côte d’Ivoire (Orange), dans le Top 5.  

Dans une note publiée ce mercredi 08 mai, le ministère de l’économie numérique et de la transformation digitale, cheville ouvrière des dernières réformes impulsées sur le plan de la connectivité internet, a félicité le régulateur et les opérateurs. 

Pour le Togo, l’ambition est claire, maintenir le rythme et se rapprocher des meilleures pratiques internationales en la matière, en ligne avec la stratégie Togo Digital 2025 qui aspire à faire du Togo, un hub digital. 

La capitale togolaise abrite depuis lundi 06 mai, une rencontre consacrée à la création d’un fonds dédié à la recherche et l’innovation. Les travaux réunissent les experts et cadres des universités de 20 pays membres de l’Organisation des Etats d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (OEACP).

A ces assises qui prennent fin ce mercredi 08 mai, des initiatives seront prises pour renforcer les instruments de financement dans le domaine de la recherche et de l'innovation.

Concrètement, il s’agit pour les participants de réfléchir sur les stratégies à mettre en place pour créer des fonds nationaux qui seront destinés à la recherche et à l’innovation. Dans ce sens, un manuel qui servira de guide sera élaboré à la fin des travaux.

La rencontre de Lomé permettra en outre de mettre en place un réseau transnational des acteurs en charge de la recherche et de l’innovation. Ce réseau « va poser les bases d’une collaboration régionale et sous-régionale visant à garantir des réponses efficaces et efficientes aux problèmes nationaux complexes et transfrontaliers, en matière de financement de la recherche et de l’innovation », a expliqué Dzifa Gameti, directrice de cabinet du ministère en charge de l’enseignement supérieur.

Au Togo, des efforts se poursuivent pour mobiliser des fonds en faveur de la recherche et de l’innovation. Le pays a d'ailleurs créé un comité d’experts, chargé de travailler sur la faisabilité de la mise en place de ce fonds.

La Haute autorité de l’audiovisuel et de la communication (HAAC) a procédé le lundi 06 mai à la mise en demeure de la chaîne de radio française RFI (Radio France Internationale). Ceci, en raison d’un “traitement inéquitable de l’information” et de la “diffusion de fausses informations sur le Togo”.

La mesure, communiquée par le président de l’institution, Pitalounani Telou, fait suite à une série de rappels effectués par le régulateur, sur l’obligation de neutralité et d’équité dans le traitement de l’actualité sur le pays. 

Selon le gendarme de l’audiovisuel, les dernières illustrations concernent notamment un segment diffusé le dimanche 5 mai dernier dans lequel il a été incorrectement fait mention d’une interdiction formelle de toutes les manifestations contre la Vème République en vigueur dans le pays, ainsi que la couverture des récentes élections. 

Ces inexactitudes répétées dans vos reportages ne sont pas seulement préjudiciables à l’image du Togo, mais violent également les principes fondamentaux du journalisme. Si de tels agissements se répètent, la Haute autorité de l’audiovisuel et de la communication se verra contrainte d’envisager des mesures appropriées, y compris la suspension de votre droit de diffusion sur le territoire national jusqu’à nouvel ordre”, a sommé l’institution.

En outre, une réponse formelle a été demandée au média public français dans un délai de quinze jours. 

Le Togo, représenté par une délégation du ministère du commerce, prend part depuis le lundi 06 mai à Genève (Suisse), à la 7ème session du Groupe intergouvernemental d’experts (GIE) du commerce électronique et de l’économie numérique. Les travaux, organisés par la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED), portent sur la préparation au numérique des pays en développement membres de l’institution. 

Durant trois jours, les assises offriront l’occasion de plancher sur le niveau d’avancement des pays, dans le domaine du commerce électronique et de l’économie numérique. Pour le Togo qui s’est engagé depuis plusieurs années dans un processus devant lui permettre de tirer pleinement profit de ces secteurs, la session de Genève sera également l’opportunité de s’imprégner des différentes stratégies développées dans les autres pays.

Pour rappel, depuis 2021, le Togo consacre une semaine à la promotion du e-commerce.

La Commission électorale nationale indépendante (CENI) a publié lundi 06 mai à Lomé, les résultats provisoires des élections régionales du 29 avril dernier. Comme aux Législatives, le parti Union pour la République (UNIR) arrive largement en tête, avec un score de 137 conseillers régionaux obtenus sur les 179 à pourvoir

Le reste des sièges se répartit entre l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC) qui obtient 9 conseillers, l’Alliance des Démocrates pour le Développement Intégral (ADDI) ? 8 sièges, le Bloc Alternatif Togolais pour une Innovation Républicaine (BATIR) et l’Union des Forces de Changement (UFC) qui obtiennent chacun 5 sièges, la Dynamique de la Majorité du Peuple (DMP), 4 sièges, les Forces démocratiques républicaines (FDR) et le Pacte socialiste pour le renouveau (PSR), respectivement 3 et 2 sièges. 

Enfin, les formations politiques ou listes indépendantes telles que le CAR, le NET, le PDP, le HP, le ND, et le VSV obtiennent chacune un siège.   

Au total, a précisé la Commission, 21 sièges seront occupés par des femmes. 

Selon les estimations, un peu plus de 2,5 millions d’électeurs ont pris part au vote, soit un taux de participation de 62,03%. 

Les résultats seront transmis à la Cour Suprême, qui se chargera de leur proclamation définitive. 

Au Togo, les discussions se poursuivent en vue d’une meilleure mise en œuvre de l’Assurance maladie universelle (AMU), opérationnelle depuis le 1er janvier. Lundi 06 mai à Lomé, une rencontre a réuni dans ce sens les centrales syndicales.

L’assise initiée par le Cadre permanent de concertation bipartite (CPCB) avec le soutien du Bureau international du travail (BIT), vise à réfléchir sur les différents mécanismes d’application de l'AMU.

Durant trois jours, il s’agira d’échanger sur les orientations du gouvernement en matière d’AMU et de relever les défis rencontrés par les partenaires sociaux dans la mise en œuvre de ce régime.

« L’adoption de cette assurance est un tournant, une réponse audacieuse à un problème urgent, mais dont la mise en œuvre requiert de profondes réflexions et une action concertée de tous, car sa mise en œuvre suscite des préoccupations relatives à son financement », a indiqué Yawovi Fantowou, directeur régional du travail.

Pour sa part, le président du Conseil national du patronat (CNP), Laurent Coami Tamegnon, a expliqué que cette rencontre est une occasion pour les participants de se pencher sur les défis concrets et les opportunités de l’AMU.

Créé en 2020, le CPCB est une plateforme d’échanges entre les centrales syndicales et le Conseil National du Patronat. Il a pour mission de traiter de toutes les questions d’intérêt commun ou spécifique aux employeurs et travailleurs relevant du secteur privé.

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