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Après leur formation de deux ans, les bénéficiaires du Programme d'excellence des femmes africaines (PEFA) sont toujours suivies et accompagnées par le gouvernement. Le Premier ministre, Victoire Tomégah-Dogbé, a rencontré, il y a quelques jours, certaines d'entre elles. 

Lauréates du "Pitch-Women entrepreneurship" avec leurs projets Agrofeed, Cmosquito, et Venus, elles ont de nouveau, bénéficié des conseils de la Cheffe du gouvernement pour mener efficacement leurs initiatives. En effet, elles font partie des 20 premières filles formées dans le cadre de l’initiative présidentielle PEFA dont l’objectif est d’amener les jeunes femmes à contribuer à la création de la richesse au Togo.

En rappel, la deuxième promotion du Programme d'excellence des femmes africaines a été lancée il y a quelques semaines. Les 60 jeunes filles retenues, bénéficient d’une formation de 18 mois à temps partiel et en complément des activités académiques.

L'agenda présidentiel a été chargé vendredi 20 janvier à Lomé. Le chef de l’Etat, Faure Essozimna Gnassingbé, a en effet reçu une dizaine de personnalités étrangères et de hauts responsables. 

Rapport annuel du Conseil de l’Entente 

Un peu plus de trois mois après la dernière audience qui lui a été accordée, le Secrétaire exécutif du Conseil de l’Entente a été de nouveau reçu. Marcel Amon Tanoh a présenté au Président de la République, Président en exercice de la Conférence des chefs d’État et de gouvernement du Conseil de l’Entente, le rapport annuel de ses activités depuis son élection à la tête de cet organe administratif permanent et opérationnel.

Nous avons parlé des réformes, ainsi que des décisions que les chefs d’État du Conseil auront à prendre lors de la prochaine conférence des chefs d’État qui aura lieu à Lomé”, a indiqué le responsable qui a été encouragé à garder le cap pour l’atteinte des objectifs. 

Menaces sécuritaires : l’adhésion des Nations Unies

Le Président de la République a ensuite reçu le vice-directeur de l’Office des Nations Unies pour la lutte contre le terrorisme (UNOCT), Miedico Mauro. Le haut responsable onusien a pris part aux travaux de la Conférence parlementaire de haut niveau sur le terrorisme et l’extrémisme violent, organisés en fin de semaine à Lomé. 

Les échanges ont notamment porté sur la coopération “exemplaire” entre l’UNOCT et le Togo, ainsi que la volonté des Nations Unies de renforcer le partenariat.

Échanges avec des parlementaires 

Présents également dans la capitale togolaise dans le cadre de ces assises, les responsables des institutions parlementaires du Libéria, du Niger, de la Guinée et du Mali ont été reçus en audience. 

Tour à tour, Duarte Pacheco, président de l’Union interparlementaire (UIP), Mabel Chiomona, présidente du Sénat du Zimbabwe, présidente de l’Union parlementaire africaine (UPA), Jewel Howard Talor, Vice-présidente du Libéria et présidente du Sénat libérien, Seini Oumarou, président de l’Assemblée nationale du Niger, Dansa Kouroma, Président du Conseil national de la Transition de la Guinée, et Malick Diaw, Président du Conseil national de la Transition du Mali, se sont entretenus avec Faure Gnassingbé. 

Les divers échanges ont été l’occasion pour les parlementaires de remercier le n°1 togolais pour la tenue de cette rencontre à Lomé, ainsi que l’engagement du Togo pour la paix et la stabilité sur le continent.

Le Premier ministre, Victoire Tomégah-Dogbé, a reçu jeudi 19 novembre à la Primature, le nonce apostolique auprès de la République togolaise, Monseigneur Mark Gérard Miles. 

Les échanges ont porté sur la contribution de l’Eglise catholique au Togo, les priorités du gouvernement en termes de cohésion sociale, de paix et de lutte contre la pauvreté, ainsi que les grands défis de l’heure. Le représentant de la cité-Etat est notamment revenu sur le récent appel du Pape François à l’union et à la solidarité. 

Mark Miles a été officiellement accrédité par le Président de la République il y a dix mois. Il couvre également le Bénin, où il réside.  

Lomé abrite depuis jeudi 19 janvier, les travaux de la conférence parlementaire de haut niveau sur le terrorisme et l’extrémisme violent. La rencontre, organisée conjointement par le Bureau des Nations Unies pour la lutte contre le terrorisme (UNOCT) et l’Assemblée nationale du Togo, avec la collaboration de l’Union parlementaire africaine, du Comité interparlementaire du G5 Sahel, et du Conseil de la Choura de l’État du Qatar, intervient presque un an après celle de Doha, au cours de laquelle le Togo avait partagé son approche.

En tout, près de 300 délégations de parlementaires venues de plus de 25 pays prennent part à cette rencontre de haut niveau, axée sur l’engagement des jeunes. Les travaux, qui s’achèvent ce vendredi 20 janvier, sont ainsi l’occasion de réfléchir sur les moyens qui permettront d’impliquer davantage les jeunes, dans la lutte contre le péril terroriste.

Sur le continent en proie au phénomène et à la radicalisation d’une partie de la jeunesse, plusieurs actions sont menées, mais restent encore isolées et pas suffisamment efficientes. D’où la nécessité de la mise en place d’un cadre de réflexions de haut niveau qui permettra de s’attaquer aux racines de la violence et de l’extrémisme violent chez les jeunes. 

Au sortir des assises de Lomé, il est attendu des propositions devant encourager les Etats à envisager des moyens d’amplifier la représentation globale des jeunes dans les prises de décision.

La conférence a été ouverte par la Présidente de l’Assemblée nationale, Yawa Tsègan, en présence d’un parterre d’autorités nationales et internationales.

Au Togo, le secteur de la pêche artisanale continue de surfer sur les bonnes performances observées depuis deux ans. En 2022, la quantité de poissons capturés s’est établie à 6.687.015 kg, a indiqué jeudi le ministère de l’économie maritime dans son bilan annuel sur le sujet.  

Il s’agit d’une hausse de 50% par rapport à l’année précédente, au cours de laquelle 4.129.423 kg de poissons ont été pêchés.  

Plusieurs facteurs peuvent notamment expliquer cette embellie : la modernisation des infrastructures avec l’ouverture du nouveau port de pêche et de son nouveau marché aux poissons, la mise en œuvre de nouvelles dispositions de travail pour les pêcheurs et les mareyeuses, l’arrivée de nouveaux pêcheurs nationaux comme internationaux entraînant l’augmentation du nombre de pirogues et naturellement une plus grande quantité de produits halieutiques ramenés des sorties en mer.

Du reste, le département dirigé par Edem Tengue a mené en 2022, diverses actions destinées à promouvoir la pêche et l’aquaculture dans le pays. L’objectif étant surtout de permettre aux pêcheurs togolais de tirer un meilleur parti de leurs compétences pour disposer d’une plus grande stabilité économique. 

Pour rappel, au Togo, la pêche emploie plus de 20.000 personnes et contribue à près de 4,5% du PIB. De nouveaux investissements sont d’ailleurs envisagés dans le secteur.

Au Togo, le secteur de la pêche artisanale continue de surfer sur les bonnes performances observées depuis deux ans. En 2022, la quantité de poissons capturés s’est établie à 6.687.015 kg, a indiqué jeudi le ministère de l’économie maritime dans son bilan annuel sur le sujet.  

Il s’agit d’une hausse de 50% par rapport à l’année précédente, au cours de laquelle 4.129.423 kg de poissons ont été pêchés.  

Plusieurs facteurs peuvent notamment expliquer cette embellie : la modernisation des infrastructures avec l’ouverture du nouveau port de pêche et de son nouveau marché aux poissons, la mise en œuvre de nouvelles dispositions de travail pour les pêcheurs et les mareyeuses, l’arrivée de nouveaux pêcheurs nationaux comme internationaux entraînant l’augmentation du nombre de pirogues et naturellement une plus grande quantité de produits halieutiques ramenés des sorties en mer.

Du reste, le département dirigé par Edem Tengue a mené en 2022, diverses actions destinées à promouvoir la pêche et l’aquaculture dans le pays. L’objectif étant surtout de permettre aux pêcheurs togolais de tirer un meilleur parti de leurs compétences pour disposer d’une plus grande stabilité économique. 

Pour rappel, au Togo, la pêche emploie plus de 20.000 personnes et contribue à près de 4,5% du PIB. De nouveaux investissements sont d’ailleurs envisagés dans le secteur.

Au Togo, les citoyens peuvent désormais demander les duplicatas de leurs certificats de nationalité ou suivre la procédure de traitement du certificat mère en ligne. Le ministre de la justice et de la législation, Pius Agbétomey a officiellement lancé jeudi 19 janvier à Lomé, la plateforme digitale conçue à cet effet.

L'acte s'inscrit dans le cadre de la poursuite de la stratégie nationale de digitalisation des services, adoptée par le gouvernement dans sa feuille de route. 

Comment procéder ?

Concrètement, la nouvelle procédure consistera à effectuer la demande du duplicata en ligne sur la plateforme officielle du service public de l’administration togolaise, récemment rénovée, et à payer les frais via les paiements mobiles (Tmoney et Flooz notamment). 

Une fois la demande traitée, le requérant pourra retirer son duplicata à plusieurs endroits au choix : à la direction de la nationalité à Lomé, à l’un des centres de traitement implanté dans l’une des 17 préfectures retenues pour l’instant (Golfe, Agoè-Nyivé, Zio, Vo, Lacs, Ogou, Wawa, Danyi, Koto, Anié, Blitta, Bassar, Tchaoudjo, Kozah, Oti, Mandouri et Tône), ou encore à un bureau de la Poste Togolaise.      

Audience en ligne pour besoin d’assistance

Par ailleurs, toujours sur la plateforme, l’utilisateur a la possibilité de suivre l’état de traitement de sa première demande du certificat de nationalité, et enregistrer une demande d’audience en ligne pour échanger avec les services, pour tout besoin d’assistance. L’objectif étant notamment de rapprocher un peu plus les usagers de l’administration. 

Les citoyens qui disposent de l’ancien format de la nationalité sont invités à se faire établir le nouveau, car seul ce dernier est concerné par la procédure”, a précisé le Garde des Sceaux. 

Pour rappel, il y a un an, une phase pilote avait été lancée par le ministère, avec la création de centres de productions de duplicatas dans les chefs-lieux des régions et les préfectures d’Agoè-Nyivé et du Golfe.

Le ministère des armées a publié, jeudi 19 janvier 2023, la liste des candidats retenus dans le cadre du dernier recrutement général de militaires non officiers pour la formation militaire. La première vague des candidats en lice est attendue lundi 23 janvier au Centre national d'instruction des Forces armées togolaises (CNI/FAT) de Kara à 06 heures. 

Le communiqué du ministère précise que les candidats devront se présenter en tenue de sport et munis de leur carte d’identité en cours de validité. “Tout candidat qui ne se présentera pas dans les délais prescrits sera considéré comme démissionnaire”. 

Au total, 3 000 candidats sont retenus pour cette première phase. La liste sera publiée dans le Quotidien national, dans les brigades de gendarmerie des préfectures ou encore sur le portail du ministère des armées.

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Au Togo, le gouvernement veut renforcer l’accès à l’eau potable. L’exécutif a adopté mercredi 19 janvier 2023 en Conseil des ministres, un projet de décret “déclarant d’utilité publique et autorisant les travaux d’équipement et de raccordement du forage de 40m3 par heure sis à Apédokoe au nouveau château d’eau de 1300m3 en construction à Sagbado”. 

L'initiative, en ligne avec la feuille de route gouvernementale 2025, vise à sortir 250 000 habitants du Grand Lomé, précisément les habitants de Sagbado du manque d’eau potable. Un autre volet du projet permettra à la Société togolaise des eaux (TdE) de mieux exploiter le service public d’eau potable et d’améliorer ses performances techniques. Le dimensionnement du château d’eau de Sagbado a a pris en compte le forage d’Apédokoè d’un débit de 960 m3 par jour.

De nouvelles foreuses

L’infrastructure vient s’ajouter aux nombreux projets mis en œuvre pour soulager la population et lui permettre de disposer d’une eau propre pour la consommation.

1 camion

Le gouvernement a d’ailleurs doté récemment le ministère de l’Eau et de l'hydraulique villageoise de 5 nouvelles foreuses "ultra sophistiquées" pour faciliter la réalisation des forages sur toute l’étendue du territoire. Elles permettront surtout d'accroître le taux de desserte en eau potable en milieu rural.  

En rappel, le Togo veut atteindre à l’horizon 2025 un taux de desserte nationale en eau potable de 85%.

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Au Togo, le programme national d’alimentation scolaire continue d’engranger des résultats encourageants. Durant l’année scolaire 2021-2022, 132 153 élèves au total, ont bénéficié des cantines dans 906 écoles sur toute l’étendue du territoire, a annoncé mercredi 18 janvier, le ministre du développement à la base. 

Les chiffres, en nette hausse par rapport à l’exercice précédent (plus de 37 000 élèves supplémentaires), sont rendus possibles par l’adhésion et la contribution de plusieurs acteurs auprès du gouvernement (secteur privé, ONG, communautaires et institutions internationales, notamment). Au total, c’est 1,78 milliard FCFA qui a été mobilisé.

Plus d’écoles et d'élèves bénéficiaires pour 2023 

Pour le compte de l’année scolaire 2022-2023, le gouvernement a mis la barre un peu plus haut, dans la perspective de l’atteinte de l’objectif cible de 300 000 élèves sur tout le territoire à l’horizon 2025. 

Ainsi, a annoncé Myriam Dossou-d’Almeida, les cantines seront mises en œuvre dans 1.181 écoles avec une prévision de 213 784 élèves bénéficiaires.

Par ailleurs, en tenant compte du contexte sécuritaire actuel avec la situation des familles déplacées, un focus particulier sera fait sur la région des Savanes.  Plus d’une trentaine d’écoles situées dans la préfecture de Kpendjal seront ainsi intégrées au programme.

Pour rappel, le programme des cantines scolaires est institutionnalisé au Togo depuis 2020. S’il est encore mis en œuvre actuellement par l’Agence nationale de développement à la base (Anadeb), un transfert progressif sera effectué vers les collectivités territoriales.