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Durant l’année 2019, le Groupe HeidelbergCement a dépensé par le biais de sa Fondation, un total de 528,3 millions FCFA dans le cadre des actions à portée sociale menées à l’endroit des populations de ses zones d’exploitation. C’est ce qu’indique le dernier rapport annuel qui vient d’être publié par la Fondation.

Ces ressources dont plus de la moitié (environ 300 millions) a été consacrée à la préfecture de Yoto où opère Scantogo, ont été alloués à divers secteurs comme l’électrification rurale, la santé communautaire, l’eau et l’assainissement, la protection de l’environnement et de la biodiversité, ou encore l’éducation.

« 2019, est l’année au cours de laquelle le leadership du Groupe au Togo en matière de la RSE a été reconnu et confirmé par les autorités locales et centrales, les collectivités locales ainsi que la société civile », affirme le Président du Groupe, Eric Goulignac.

Pour cette année et celles à venir, le cimentier qui prévoit un plan d’investissement massif pour accompagner l’axe 2 du PND, ambitionne de faire davantage au profit des populations, avec une réactualisation de sa stratégie RSE.  

Pour rappel le Groupe HeidelbergCement opère au Togo à travers 03 filiales, Cimtogo, Scantogo et Granutogo.

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Après les classes d’examen du primaire, secondaire et de l’insertion professionnelle, les établissements du Supérieur devraient à leur tour reprendre bientôt les cours afin de boucler l’année académique.

Le premier ministre Komi Selom Klassou entouré des ministres en charge de la santé et de l’enseignement supérieur, a rencontré mercredi à la Primature les responsables des Universités publiques et privées du pays. Au centre des échanges, les préparatifs et les conditions de la reprise des cours en présentiel.

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« Les universités publiques se sont concertées et ont convenu qu'au maximum un tiers des étudiants pourra fréquenter le campus », a indiqué le Président de l’Université de Kara Komla Sanda. Et de donner d’autres précisions : « Il y aura des rotations entre les établissements surtout lorsqu'il s'agit de grosses facultés. Les activités vont consister en cours en présentiel dans les conditions de la distanciation physique pour compléter des cours déjà faits en ligne, pour faire des travaux pratiques et certains cours très techniques. Les activités incluent également les évaluations. Il est possible que certaines évaluations se fassent en ligne mais en général, les évaluations seront faites en présentiel ». Le responsable a également évoqué l’idée d’un « découpage des effectifs en groupes limités pour occuper les salles lors des cours et examens, en plus des dispositifs de lavage de mains ».

Quant aux universités privées, « il est indispensable que les évaluations se fassent en présentiel pour des raisons de qualité de la formation, d'éthique, d'excellence professionnelle et surtout pour la crédibilité des diplômes », a affirmé pour sa part le président du Conseil des établissements privés d'enseignement supérieur, Marcel Macy Akakpo, ajoutant que le temps estimé « pour boucler l’année dans de conditions satisfaisantes est de 03 mois ».

Une date devrait être très prochainement annoncée par le Gouvernement.

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Le Togo se dirige progressivement vers la réouverture de ses lieux de culte. Le ministre en charge de l’administration territoriale et le Chef du comité de gestion de la riposte ont convenu mardi à Lomé avec les responsables religieux du pays, d’une « ouverture progressive, partielle et d’expérimentation du respect des gestes barrières », qui pourra éventuellement déboucher sur une réouverture générale.

De façon concrète, tous les lieux de cultes ne seront pas rouverts en même temps. La Conférence épiscopale (l’Eglise catholique), le Conseil chrétien et l’Union musulmane sont autorisées chacune à ouvrir cinq églises et mosquées dans chaque région administrative, et trois chacune par préfecture.

Au niveau de la Préfecture du Golfe spécifiquement, les entités citées sont autorisées à ouvrir neuf lieux de culte chacune, contre sept pour chacune dans celle d’Agoè-Nyivé.

La Fédération des associations et organisations chrétiennes (FAOC) est quant à elle autorisée à rouvrir 39 églises sur le territoire, à raison de une par préfecture.

Les responsables religieux devront transmettre très rapidement les noms des églises, mosquées et autres lieux de cultes retenus. Aucune date officielle n’est encore communiquée pour la reprise des activités religieuses publiques.

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Durant les mois de juillet, août et septembre, les baignades sont déconseillées aux usagers et riverains de la côte. En cause, un phénomène attendu d’agitation de la mer sur les côtes togolaises, selon des prévisions météorologiques et hydrographiques.

La mise en garde est faite par la Préfecture maritime, qui précise que « ce phénomène d’agitation de la mer pourrait entraîner plusieurs impacts négatifs et risques dont l’érosion côtière, les inondations, les submersions marines, les changements dans le comportement habituel de la mer et occasionner des pertes en vies humaines et de propriétés, ainsi que des dommages sur les infrastructures construites sur le littoral dont les hôtels, les habitats, etc… ».

Ainsi, l’autorité qui dépend elle-même de l’Organisme national chargé de l’action de l’Etat en mer, invite-t-elle à plus de prudence pour « toute autre activité nautique à proximité immédiate de la mer ». Quant aux communes du littoral, populations et usagers de la mer, il est recommandé une vigilance plus accrue en cette période où la mer est plus houleuse.

Une cellule de veille a été mise en place afin de suivre de près le phénomène et parer à toute éventualité. Il y a trois ans, en 2017, le gouvernement avait également alerté sur une montée du niveau des eaux de la mer.

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Le Togo a produit en 2019 près de 800 000 tonnes de phosphates (799 775 tonnes exactement). C’est ce que révèlent des données compilées par la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Bceao).

Cette production s’inscrit en baisse par rapport à l’année d’avant (2018) au cours de laquelle 1,2 millions de tonnes ont été extraits. Plus globalement, au cours de la dernière décennie, la production semble relativement stable, dans le prolongement de la précédente (années 2000) où elle tournait autour de 1 million de tonnes en moyenne. Loin tout de même derrière le pic de 3,35 millions de tonnes atteint en 1989.

Fleuron de l’industrie minière togolaise, le secteur des phosphates fait l’objet d’une attention particulière de la part du gouvernement. Un plan de relance de la filière estimé à plus de 200 milliards FCFA (environ 305 millions d’euros) d’investissements avait ainsi été lancé en 2010, avec pour objectif de moderniser les installations, acquérir de nouveaux équipements, doper la production et refaire du phosphate l’un des piliers de l’économie nationale.

En 2015 et 2018, des permis d’exploitation ont été attribués à deux société spécialisées dans le secteur (TFC et Elenilto) et l’an dernier, un double accord de partenariat de plus de 2 milliards $ a été conclu avec le Groupe Dangote pour la transformation du phosphate et la production de clinker.

Pour rappel, le gouvernement, dans l’élaboration du Plan National de Développement, a misé sur la relance de la production des industries extractives, le potentiel du sous-sol togolais étant encore quasi-intact.

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Plusieurs communes du Togo vont bénéficier désormais d’un accompagnement de l’Université de Kara (UK), dans la gestion de leurs municipalités. La deuxième université publique du pays, appuyée par le Pnud, a conclu une convention de partenariat avec les communes de Kozah 2 et Oti 2, dans le cadre de la mise en œuvre du processus de décentralisation.

L’entente doit permettre entre autres aux étudiants de l’UK de mettre en pratique leur savoir-faire théorique sur le terrain au profit des communes, et ramener des données fiables pour la continuité des recherches à l’université. Les élus locaux pourront de leur côté bénéficier de l’aide des chercheurs universitaires en matière de gestion, planification et élaboration de leurs plans de développement communaux. D’autres municipalités comme Agou 1, Agoè 5 et Lacs 1 bénéficieront aussi de cet appui dans les prochains mois.

Rappelons que l’Université de Lomé (UL) poursuit également une démarche similaire au profit des communes du pays.

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Les enseignants volontaires bénéficient depuis le 27 juin d’une subvention du gouvernement, destinée à les appuyer dans le contexte difficile engendré par la pandémie de coronavirus et la suspension des cours.

Ils seront au total environ 13 000 (10 753 au primaire et 1 860 au secondaire) à percevoir les aides financières allouées via le programme Novissi à raison de 24 500 FCFA pour les femmes et 21 000 FCFA pour les hommes. Des dispositions sont en train d’être prises, afin de permettre à tous les concernés de bénéficier de ce soutien promis par l’exécutif il y a quelques semaines.

En rappel, aussitôt après avoir décidé la réouverture des écoles pour les élèves en classes d’examen, le gouvernement a pris des dispositions concernant les enseignants des écoles privées.

« Durant l’année 2019, les actions soutenues par le PNUD ont contribué à relever le niveau de développement humain dans de nombreux domaines, contribuant ainsi à l’axe 3 du PND (Consolider le développement social et renforcer les mécanismes d’inclusion) ». C’est ce qu’a indiqué la ministre de la planification et du développement de la coopération, Demba Tignokpa en préface du rapport annuel de l’organisme qui vient d’être publié.

En effet au cours de cette année qui a marqué le démarrage d’un nouveau cycle pour le Pnud au Togo avec à la clé la mise en place d’un laboratoire d’accélération, de nombreuses actions ont été menées, dans le sens de l’amélioration de la gouvernance, la modernisation de l’administration publique, le processus de décentralisation, l’accès aux services de base, la consolidation de la paix et le renforcement de la cohésion sociale.

Autres champs d’intervention, la formation, l’auto-formation et la promotion de l’entrepreneuriat, ou encore l’innovation et la transformation digitale. Le PUDC, qui a été élaboré par le gouvernement avec l’appui du Programme a été également poursuivi, contribuant à l’amélioration des conditions de vie et à l’inclusion sociale de plus de 1,5 million de personnes.

« 2019 a été une année d’engagement et de travail acharné pour aider le Togo à atteindre ses objectifs de développement équitable et durable », résume le représentant-résident Aliou Dia. Contexte Covid-19 obligeant, l’institution onusienne a annoncé une réadaptation de ses plans de travail pour 2020. Rappelons par ailleurs que le PNUD a contribué pour plus de 600 millions FCFA au renforcement du système sanitaire dans la riposte contre la maladie.  

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Au Togo, 6 063 entreprises ont vu le jour au cours des six premiers mois de l’année. C’est ce qui ressort de la dernière mise à jour effectuée par les autorités en charge de la création d’entreprises et de la facilitation des affaires sur le territoire.

Un chiffre dans le prolongement de celui observé en mai dernier, qui révélait qu’en dépit du ralentissement de l’activité économique créé par la pandémie de Covid-19, l’attrait entrepreneurial se maintenait.

Chiffresdujour

Pour l’heure, tout porte à croire qu’avec ces 6 000 entités, la tendance haussière observée ces dernières années au niveau du CFE (centre de formalité des entreprises) continuera de se confirmer. L’an dernier, ce sont plus de 11 000 nouvelles entreprises qui ont été enregistrées, ce qui constitue un record. En 2018, le nombre se fixait à 10 545.

Le Togo se classe actuellement au 15ème rang mondial en ce qui concerne la création d’entreprises.

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Trois semaines après la reprise des cours, le Premier ministre Komi Selom Klassou a dévoilé ce vendredi les dates retenues par le Gouvernement pour les différents examens nationaux de fin d’année. Tout débutera le 14 juillet prochain et s’achèvera le 02 octobre 2020.

CAP : 14 au 24 juillet 2020

CEPD : 04 au 06 août 2020

BAC 1 : 04 au 14 août 2020 (épreuves techniques) et 18 au 21 août 2020 (épreuves écrites)

BAC 2 : 24 août au 11 septembre 2020 (épreuves techniques) et 14 au 18 septembre 2020 (épreuves écrites)

BEPC : 1er au 05 septembre 2020

BTS : 28 septembre au 02 octobre (épreuves écrites)

Exceptionnellement pour cette année, les épreuves sportives (dont certaines avaient débuté), sont annulées. La tenue de la session des malades sera décidée en fonction de l’évolution de la maladie.

La rentrée académique prochaine, 2020-2021, est quant à elle fixée au 26 octobre 2020.

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