La Commune Ogou 1 dispose désormais d’un centre de promotion féminine. L’infrastructure, annoncée il y a quelques mois, a été inaugurée le mardi 03 décembre par la ministre de la communication, des médias et de la culture, et maire de la commune Ogou 1, Yawa Kouigan.
Les moments forts de la cérémonie d’inauguration du centre de promotion féminine égalité à OGOU1 pic.twitter.com/5WYIpEFbS9
— Faîtière des Communes du Togo (@fct228) December 4, 2024
L’initiative s’inscrit dans le cadre du « Projet de promotion de l’égalité femme-homme dans les communes », porté par la Faîtière des Communes du Togo (FCT). Ce projet sera également exécuté dans quatre autres communes : Tchaoudjo 1, Kozah 1, Zio 1 et Tone 1. Financé par l’Association internationale des maires francophones (AIMF), avec l’appui de l’Union européenne (UE), le nouveau centre comprend des salles de formation et un bloc administratif.
L’ambition est de promouvoir l’égalité des genres et de lutter contre les violences basées sur le genre (VBG) dans les collectivités territoriales. Il s’agit en outre de favoriser l’autonomisation des femmes en leur offrant des espaces dédiés où elles peuvent développer des compétences, accéder à des opportunités économiques et sociales, et participer activement à la gouvernance locale.
« Ce centre permettra non seulement d’accueillir, réconforter et assister les femmes et jeunes filles victimes de violences, mais aussi de servir de cadre d’échange et d’éducation pour l’ensemble de la population sur les droits de la femme. C’est donc un catalyseur de la transformation sociale », a indiqué la ministre.
Pour rappel, le Togo, dans le cadre de la lutte contre les VBG, a mis en place plusieurs dispositifs juridiques, parmi lesquels le Code des personnes et de la famille, le Code de l’enfant et la loi portant protection des apprenants contre les violences à caractère sexuel.
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Le Togo dispose désormais d’un nouveau Guide de l’exportateur. Le document, une version actualisée, a été publié récemment par le ministère du commerce, de l’artisanat et de la consommation locale.
Élaboré avec l’appui de la coopération allemande (GIZ), le manuel se veut un outil de facilitation des échanges commerciaux. Il vise à accroître la visibilité des produits d’exportation togolais sur les marchés et faciliter les mises en relation.
En outre, le document recense les entreprises exportatrices de produits agroalimentaires et fournit des informations techniques et réglementaires destinées à accompagner les acteurs dans leurs démarches d’exportation. Sa mise à jour répond à la nécessité de s'adapter aux évolutions des marchés et aux exigences croissantes en matière de commerce international.
« Cette nouvelle version du guide de l’exportateur aura un impact positif sur le développement du commerce extérieur et contribuera à redynamiser les affaires pour les opérateurs économiques exportateurs togolais », a indiqué la ministre en charge du commerce, Rose Kayi Mivedor-Sambiani
Pour rappel, le Togo est engagé dans la mise en œuvre de la Zlecaf (Zone de Libre-Échange Continentale Africaine), qui offre un marché de plus de 1,3 milliard de consommateurs à travers le continent. Cette version actualisée du guide de l’exportateur s’inscrit dans cette dynamique, en fournissant aux entreprises togolaises des outils essentiels pour renforcer leur compétitivité et tirer pleinement parti de ce vaste marché continental.
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Le Président de la République, Faure Essozimna Gnassingbé a reçu mardi 03 décembre à Lomé, le ministre de la Fonction publique du royaume d’Eswatini, Buthelezi Phila Wiseman. Le responsable était porteur d’un message du Roi Mswati III, sur le renforcement de la coopération bilatérale et continentale ainsi que la mise en œuvre de l’agenda 2063 de l’Union Africaine.
Le Président de la République, Faure Essozimna Gnassingbé s’est entretenu, ce 03 décembre 2024, avec Buthelezi Phila Wiseman, Ministre de la fonction publique du royaume d’Eswatini.https://t.co/oi1RVXBbKC pic.twitter.com/teA69RM4Kb
— Présidence Togolaise/Togolese Presidency (@PresidenceTg) December 3, 2024
Au cours des échanges, le ministre s’est félicité du rôle stratégique du Togo dans la consolidation de la paix et de la stabilité sur le continent. Buthelezi Phila Wiseman a en outre fait part de la candidature du Royaume d’Eswatini au poste de Commissaire de l’Union africaine, chargé de l’agriculture, du développement rural, de l’économie bleue et de l’environnement durable, et a sollicité à cet effet le soutien du Togo.
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La gestion du flux de personnes sur le site de la 19ème Foire Internationale de Lomé (FIL) devrait s’améliorer le week-end prochain. Le Centre Togolais des Expositions et Foires (CETEF) vient en effet d’annoncer une série de mesures visant à renforcer la sécurité et à fluidifier les déplacements des visiteurs, exposants et partenaires du 6 au 8 décembre prochains.
En prévision de l'importante affluence attendue sur le site de la Foire internationale de Lomé?? dans les prochains jours, d'importantes mesures ont été prises dans le but de garantir la sécurité et le bon déroulement des activités. Les précisions dans le communiqué ci-dessous?? pic.twitter.com/fc0w4jPM20
— Ministère du Commerce - TOGO (@CommercegouvTg) December 3, 2024
De fait, les approvisionnements seront strictement limités à une plage horaire précise, de 6h00 à 10h30, afin de réduire les perturbations sur le site. Le stationnement des véhicules sera également réglementé : seuls les parkings extérieurs pourront être utilisés, le parking réservé aux sponsors sera fermé à partir de 14h00. L’accès direct au site sera réservé aux véhicules prioritaires, tels que ceux des officiels et des services d’urgence.
Pour désengorger les abords du site, la circulation sera interdite dès 13h00 autour de la foire. Par ailleurs, la vente ambulante est formellement interdite, alors que les concerts prévus auront lieu entre 19h00 et 23h00, dans le respect des horaires établis.
« Des ajustements complémentaires pourraient être mis en œuvre si nécessaires pour garantir un environnement sûr et agréable à tous les participants », a précisé le Directeur Général du CETEF, Alexandre de Souza.
Pour rappel, la 19ème FIL a ouvert ses portes depuis le 22 novembre dernier, avec le Mali comme pays invité d’honneur. La manifestation se déroule autour du thème : « Normes et qualité des produits et services ».
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Le premier Sommet de la Coopération Énergétique en Afrique de l’Ouest (WA-ECS) s’est ouvert mardi 3 décembre à Lomé, un événement stratégique qui réunit gouvernements, partenaires financiers et acteurs du secteur privé. L'événement, organisé par EnergyNet, une société spécialisée dans la promotion des investissements énergétiques, en collaboration avec l'État togolais, bénéficie du soutien de la Banque mondiale. Sous le thème « Bâtir une souveraineté énergétique pour un développement durable », ce sommet de trois jours entend répondre aux défis énergétiques dans une région où une proportion de plus de 50 % de la population reste privée d’accès à l’électricité.
Présidant la cérémonie d’ouverture, la Première ministre du Togo, Victoire Tomegah-Dogbé, a souligné l’importance de cet événement pour l’avenir énergétique de la région : « Ce sommet est une opportunité unique de poser les bases d’un partenariat stratégique, capable de transformer les réalités énergétiques pour un avenir plus sûr et durable de nos populations. »
Avec un taux moyen d’électrification de 56 %, l’Afrique de l’Ouest fait face à des disparités marquées : en zone rurale, l’accès à l’électricité tombe à moins de 10 % dans certains pays. Les discussions du WA-ECS se concentreront sur trois axes principaux : l’interconnexion des réseaux électriques pour mutualiser les ressources, l’intégration accrue des énergies renouvelables dans le mix énergétique et la mobilisation des financements nécessaires, estimés à 30 milliards de dollars d’ici à 2030.
La région dispose pourtant de ressources considérables. Avec une capacité hydroélectrique exploitable de 5 000 MW, seuls 20 % de ce potentiel sont actuellement utilisés. Le solaire et l’éolien, particulièrement prometteurs dans les pays sahéliens, restent encore largement sous-développés. Le gaz naturel, avec des découvertes récentes au Sénégal, en Mauritanie et en Côte d’Ivoire, pourrait également jouer un rôle clé dans le mix énergétique, a indiqué Sediko Douka, commissaire chargé de l’énergie et des mines de la CEDEAO. Pour répondre à la demande croissante – qui augmente de 6 % par an –, le plan directeur des infrastructures énergétiques de la CEDEAO (2019-2033) prévoit la production de 16 000 MW supplémentaires et la construction de 23 000 km de lignes d’interconnexion, pour un coût total estimé à 36 milliards de dollars.
Depuis 2020, plus de 5 milliards de dollars ont été investis dans des projets structurants, notamment dans le cadre du West African Power Pool (WAPP), qui a permis de réduire les coûts de production d’électricité de 30 à 40 % dans plusieurs pays, a précisé Kwawu Mensan Gaba, directeur de la pratique énergie à la Banque mondiale, lors de son intervention. Il a ajouté que des initiatives telles que la ligne Ghana-Togo-Bénin ou le gazoduc ouest-africain illustraient les avancées en matière de coopération régionale :
« Grâce au West African Power Pool, l’intégration des réseaux nationaux progresse et les résultats sont prometteurs. Dans plusieurs pays, cette approche a permis de réduire le coût moyen de production d’électricité de 30 à 40 %. Ces avancées montrent que la mutualisation des infrastructures peut avoir un impact significatif sur la compétitivité énergétique régionale. »
Abdoulaye Sylla, gestionnaire de portefeuille chez EnergyNet, a également insisté : « L'interconnexion de nos réseaux électriques, la mutualisation des ressources et la coordination des politiques énergétiques permettront de maximiser la capacité de l'énergie. »
Le Premier ministre a mis en avant les progrès réalisés par le Togo, dont le taux d’électrification est passé de 52 % en 2020 à 69 % en 2024, avec un objectif de couverture universelle d’ici à 2030. « L’énergie est au cœur de nos ambitions de développement durable… L’énergie est la clé de voûte de notre avenir… une question de justice sociale », a-t-elle souligné. Actuellement, 137 MW de centrales de sources renouvelables sont en cours d’installation.
Les conclusions du sommet devraient aboutir à une déclaration commune, avec pour objectif d’accélérer l’intégration énergétique régionale et de renforcer les partenariats public-privé pour garantir une souveraineté énergétique durable. « Ce sommet n’est pas seulement un cadre de dialogue entre gouvernements et secteur privé. Il doit être un catalyseur pour des actions concrètes. Je vous invite à mettre en œuvre des solutions pragmatiques, à définir des projets prêts à être exécutés et à renforcer les liens entre les gouvernements, les chercheurs, les entreprises et les acteurs de la société civile », a insisté la cheffe du gouvernement togolais.
Les élèves-professeurs de l’École normale supérieure (ENS) d’Atakpamé ont officiellement effectué leur rentrée académique 2024-2027. Le coup d'envoi de la formation au titre de la 3ème promotion a été donné le lundi 2 décembre par le ministre de l’enseignement supérieur, Kanka-Malik Natchaba.
Ce lundi 2 décembre, le Ministre de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche, @kmnatchaba, a officiellement ouvert l'année académique à l'ENS d'Atakpamé. ? Ce fut l'occasion de rappeler les messages sur la qualité de l'enseignement, une ambition portée par la vision du… pic.twitter.com/sVR4cjlkkz
— Ministère de l'Enseignement Supérieur (@MESR_Tg) December 3, 2024
Au total, 779 élèves-professeurs ont été retenus sur toute l’étendue du territoire. Ils suivront une formation de trois ans dans les options Anglais, Français, Histoire-Géographie, Mathématiques, Physique-Chimie et Technologie, Sciences de la vie et de la terre, sanctionnée par une Licence professionnelle d’enseignement (LPE).
Pour rappel, l’ENS d’Atakpamé fonctionne désormais selon les textes fixant le statut des universités publiques après avoir fait l’objet de réformes. L’objectif de l’exécutif est de rendre accessible la formation à tous les étudiants éligibles afin de renforcer le vivier d’enseignants formés et les mettre à disposition des établissements publics et privés.
Au Togo, « l’importation, la vente et l’usage de pétards ou tout autre feu d'artifice assimilé » restent formellement interdits sur l’ensemble du territoire national, « pour quelque motif que ce soit ». Cette disposition, en vigueur depuis plusieurs années, a été de nouveau rappelée ce mardi 03 décembre par le ministre de la sécurité et de la protection civile, Calixte Madjoulba.
En effet, à l’approche des fêtes de fin d’année, l’utilisation de ces objets est de plus en plus fréquente. « En dépit de multiples rappels à l'ordre, des individus continuent d'importer et de commercialiser des pétards », a déploré le ministre.
Si des « sanctions particulières » sont prévues à cet effet, « des instructions spécifiques ont été données aux forces de sécurité pour procéder à leurs saisies, traquer et, au besoin, interpeller tout contrevenant en tous endroits sur le territoire national », a indiqué l’officiel.
Au Togo, la lutte contre le VIH/SIDA enregistre des progrès significatifs. Entre 2010 et 2023, le pays affiche des performances encourageantes, selon les statistiques publiées par le Conseil national de lutte contre le SIDA (CNLS), en marge de la journée mondiale célébrée le 1er décembre dernier.
Concrètement, sur la période, les décès liés au virus ainsi que les nouvelles infections ont baissé respectivement de 63% et 65%, témoignant des efforts conjoints mis en œuvre par le gouvernement et ses partenaires. En 2023, un peu plus de 90.000 personnes vivant avec le VIH (PVVIH) étaient sous traitement antirétroviral, soit une couverture thérapeutique atteignant presque 100 % pour les individus ayant connaissance de leur statut sérologique. Sur ce total, 72.926 ont bénéficié d’une mesure de charge virale, avec un taux de couverture de 80 %. Par ailleurs, 90,1 % des PVVIH sous traitement avaient une charge virale supprimée en 2022, contre 90 % l’année précédente.
En ce qui concerne la prévention de la transmission de la mère à l’enfant (PTME), la couverture nationale a atteint 85 % en 2023. De plus, la prévalence du VIH chez les personnes âgées de 15 à 49 ans s’est établie à 1,6 %.
Ces résultats permettent au Togo de se rapprocher de l’objectif des « 95-95-95 » de l’ONUSIDA (95% des personnes vivant avec le VIH (PVVIH) connaissant leur statut, 95% d’entre elles recevant un traitement antirétroviral (ARV) et 95% de celles-ci ayant une charge virale supprimée). Actuellement, le pays a atteint 90% s’agissant du 1er objectif ; 84% bénéficiant d’un traitement ARV, et 76% des sujets sous traitement ayant supprimé leur charge virale. Ces progrès témoignent de l’efficacité des mesures de lutte mises en place et renforcent l’engagement du pays à atteindre les objectifs mondiaux dans la riposte au VIH.
Pour rappel, le Togo s’est récemment doté d’une feuille de route pour pérenniser ses acquis.
Au Togo, la dématérialisation des services publics se poursuit. Le ministère de la sécurité et de la protection civile a récemment procédé, avec l’appui de l’Agence Togo Digital (ATD), à la mise en ligne de nouvelles procédures administratives liées à diverses demandes.
Du nouveau sur Service Public ? Découvrez quelques services du Ministère de la Sécurité et de la Protection Civile ! Vous pouvez désormais remplir vos formulaires en ligne pour la : ? Demande d’autorisation de vitre teintée
— service-public.gouv.tg (@ServicepublicTG) December 2, 2024
? Demande de couverture sécuritaire pour… pic.twitter.com/7CNDNFimcZ
Ainsi, sont désormais disponibles en ligne les demandes d’autorisation de vitre teintée, de couverture sécuritaire pour les événements privés, d'électrification de fils barbelés et d’autorisation d’entrée au Togo. La digitalisation de ces services, accessibles via le portail national, vise à simplifier les démarches administratives, réduire les délais de traitement et améliorer l'efficacité du service public.
Ces procédures dématérialisées s'ajoutent à la série de démarches administratives déjà existantes sur la plateforme des services publics. L’ambition du gouvernement est de numériser et de rendre disponibles au moins 75% de ces démarches d’ici 2025.
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Le Togo franchit un nouveau pas vers sa souveraineté énergétique. Le gouvernement a conclu le lundi 02 décembre, un accord de production d’électricité avec la société américaine Nano Nuclear Energy.
L’entente a été signée à Lomé par le ministre des mines et des ressources énergétiques, Robert Koffi Eklo et Ian Farnan, président de la Cambridge Nuclear Energy Center, lors d’une cérémonie présidée par le chef de l’Etat, Faure Essozimna Gnassingbé.
Le Président de la République, @FEGnassingbe a présidé, ce 02 décembre 2024 à Lomé, une cérémonie de signature d’accord de production d’électricité à base de microréacteurs nucléaires entre le Togo et société américaine Nano Nuclear Energy. https://t.co/RBWAr6n3q0 pic.twitter.com/B566fMayQK
— Présidence Togolaise/Togolese Presidency (@PresidenceTg) December 3, 2024
Concrètement, le nouveau partenariat, qui mise sur l’exploitation des avancées technologiques, permettra de produire de l'électricité à partir de micro réacteurs nucléaires modulaires (SMR). La solution, une fois opérationnelle, contribuera à la satisfaction des besoins énergétiques croissants du pays, tout en réduisant la dépendance aux combustibles fossiles importés et minimisant les impacts environnementaux.
Pour accompagner la dynamique, plusieurs initiatives seront bientôt prises. Une commission nationale dédiée à l’énergie atomique est ainsi annoncée, et aura notamment pour mission de promouvoir les applications pacifiques et civiles des sciences et technologies nucléaires. En outre, un cadre juridique et réglementaire conforme aux normes internationales de sûreté et de sécurité verra le jour, afin d’encadrer le développement et l’exploitation des SMR sur le territoire.
Enfin, si le développement des compétences nationales est nécessaire, l’exécutif mise également sur la coopération internationale et la mobilisation de financements adéquats, pour réaliser ce projet ambitieux. Au Togo, environ 70% de la population bénéficie de l’accès à l’électricité, principalement dans les centres urbains. Pour le gouvernement, l’ambition est de répondre à la croissance de la demande énergétique des populations et des entreprises industrielles, en diversifiant notamment les sources d’énergie.