Le Lions Club International a tenu sa 23ème Conférence dans la capitale togolaise du 1er au 03 février. En marge de ces travaux, une délégation de l’organisation, conduite par M. Naresh Aggarwal, le Président mondial de Lions Clubs International, Mme Gudrun Bjort Yvngvadottir, Vice-Présidente, et Me Alexis Vincent Gomèz, Président de la Conférence des Lions Clubs d’Afrique, a été reçue samedi par le Chef de l’Etat togolais SEM Faure Essozimna Gnassingbé, Président en exercice de la CEDEAO.
Le Lions Club, présent dans 41 pays africains et fort de ses 28 000 membres, dont 5000 en Afrique francophone, entend apporter son soutien au président de la République togolaise dans sa politique sociale.
L’organisation, qui se veut un service international de volontariat, considéré comme le le plus grand philanthropique du monde (1,36 million de membres répartis dans plus de 46 000 clubs), apporte son expertise aux populations dans les domaines de la santé, en se penchant sur les questions liées à la vue. Elle y ajoute la lutte contre la famine et la facilitation de l’accès à l’eau potable, ainsi que la lutte contre le diabète et le cancer.
Elle a trouvé en Faure Gnassingbé, un allié impliqué et motivé par toutes initiatives en faveur des couches sociales les plus vulnérables.
Naresh Aggarwal s’est réjoui de l’implication personnelle du Chef d’Etat togolais dans la bonne réussite de cette conférence internationale et a partagé avec lui les projets du Lions Club pour le Togo.
Une nouvelle mission de la CEDEAO a, à nouveau, séjourné du 31 janvier au 1er février à Bissau à la demande du président en exercice de l’organisation régionale, SEM Faure Gnassingbé. Elle était conduite par le ministre togolais des Affaires étrangères, Robert Dussey avec à ses côtés Youssouf Bangoura, ministre d’Etat guinéen, et Marcel de Souza, président de la Commission de la CEDEAO.
Les consultations avec les principaux acteurs de la crise et l’évaluation de la mise en œuvre des Accords de Conakry et de Bissau étaient à l’ordre du jour.
Les émissaires de la CEDEAO, ont dit avoir fait « le constat qu’aucune avancée n’a été enregistrée et que la nomination d’un Premier ministre de consensus, n’est toujours pas effective, telle que préconisée par l’Accord de Conakry ».
Par conséquent, telle que décidé par la Conférence des Chefs d’Etat et de Gouvernement de la Communauté à Addis-Abeba, des sanctions collectives et individuelles ont été prises à l’encontre des personnes et organisations qui entravent le processus de sortie de crise en Guinée-Bissau.
La CEDEAO se dit néanmoins, toujours disposée à poursuivre sa mission de médiation. Elle invite les parties bissau guinéennes au respect des recommandations des différents accords, seul gage de retour à la normale par la tenue d’élections crédibles. Elle exhorte en outre, toute la Communauté internationale à la soutenir dans l’application des sanctions, et les forces de défense et de sécurité bissau-guinéennes à adopter une position de neutralité.
Financé à hauteur de 10,5 milliards de Fcfa par la Banque Mondiale et d’une durée de 5 ans, le projet Régional de Renforcement des Systèmes de Surveillance des Maladies en Afrique de l’Ouest (REDISSE-Togo) a été officiellement lancé, ce jeudi à Lomé, sous l’égide du Ministère togolais de la Santé et de la Protection civile.
REDISSE-Togo est une réponse aux faiblesses des systèmes sanitaires, humain et animal, qui entravent la surveillance et une rispote efficace aux maladies dans la sous-région.
Les dysfonctionnements constatées et les lourdes pertes en vies humaines, lors de la survenance de l’épidemie d’ébola, en ont été des illustrations. Aussi pour y rémedier, le projet vise à renforcer les capacités intersectorielles nationales pour une synergie d’actions.
REDISSE s’articule à cet effet autour de cinq axes : surveillance et information sanitaire ; renforcement des capactés des laboratoires ; préparation et réponse eux urgences ; gestion des ressources humaines pour une surveillance efficace de la maladie et la préparation aux épidémies ; renforcement des capacités institutionnelles en gestion des projets, coordination et plaidoyer.
Une réunion de haut-niveau sur la sécurité dans la sous-région ouest-africaine, s’est achevée à Lomé, ce mercredi 31 janvier, par une Session ministérielle.
Les ministres de la Sécurité des pays signataires, en septembre 2017 de la Convention d’Accra, à savoir le Bénin, le Burkina-Faso, la Côte d’Ivoire, le Ghana et le Togo, y ont pris part. Les travaux étaient dédiés aux problèmes sécuritaires dans l’espace CEDEAO (criminalité transfrontalière ; trafics de tout genre ; terrorisme).
Le mardi déjà, les experts et autres acteurs impliqués dans la sécurité, ont balisé la voie à cette assise ministérielle. Il s’agissait de faire le point des avancées depuis la dernière réunion qui s’est tenue à Accra, et de faire des propositions pour les prochains chantiers.
Pour barrer la voie au terrorisme et assurer la sécurité de leurs populations, une harmonisation des pratiques, des programmes de formation, un renforcement de la coopération en matière de renseignement et l’organisation d’opérations conjointes et mixtes, s’imposent aux 5 pays.
La réunion de Lomé a été présidée par le Ministre togolais de la Sécurité et de la Protection civile, le Col Damehame Yark.
Les rideaux sont tombés ce lundi 29 janvier sur le 30ème Sommet de l’Union Africaine (UA). Le Chef de l’Etat togolais, Faure Gnassingbé, a pris une part active aux travaux qui étaient centrés sur la lutte contre la corruption et le renforcement de l’intégration continentale.
Dans cette optique, le président togolais, aux côtés du nouveau Président de l’UA, Paul Kagamé et du Président de la Commission de l’UA, Moussa Faki Mahamat, a procédé au lancement du marché unique du transport aérien en Afrique. Dans la foulée, le Président de la République togolaise a été désigné par ses pairs, « champion du marché unique africain ».
Faure Gnassingbé a été mandaté par ses homologues pour exposer, lors des prochains sommets de l’Union Africaine, les résultats de ses démarches visant à faire du Marché unique africain du transport aérien (SAATM) une réalité à même de stimuler les échanges et développer les économies du continent.
Le choix porté sur le Chef d’Etat togolais n’est pas le fruit du hasard. On se souvient que, Président en exercice de la CEDEAO, Faure Gnassingbé avait efficacement dirigé la Coordination de la Cellule de riposte contre l’épidémie d’Ebola.
En marge du 30ème Sommet de l’Union Africaine (UA) qui se tient à Addis-Abeba et dans le cadre de l’Agenda 2063 de l’Union, les Chefs d’Etat et de Gouvernement ont procédé ce lundi au lancement du Marché unique africain du transport aérien (SAATM).
Aux manettes, pour le dévoilement symbolique de la plaque commémorative marquant le démarrage de ce projet phare continental, le nouveau président en exercice de l’UA, Paul Kagamé, le Chef d’Etat togolais, président en exercice de la CEDEAO, Faure Gnassingbé et le Président de la Commission de l’UA, Moussa Faki.
Le SAATM a été créé pour améliorer la connectivité, faciliter le commerce et le tourisme, créer des emplois et veiller à ce que l’industrie joue un rôle plus important dans l’économie du continent. Il donnera en effet un nouveau souffle aux investissements transfrontaliers dans les industries de production et de services et permettra, selon les prévisions, de créer 300 000 emplois directs supplémentaires et 2 millions d’emplois indirects, contribuant énormément à l’intégration et à la croissance socio-économique en Afrique.
A ce jour, 23 pays africains, dont le Togo, ont souscrit au marché unique du transport aérien africain.
A Addis-Abeba où il prend part au 30ème Sommet de la CEDEAO, le Chef de l’Etat togolais SEM Faure Gnassingbé, président en exercice de la Conférence des Chefs d’Etat et de Gouvernement de la CEDEAO, a présidé une session extraordinaire des pays membres de l’Organisation.
Avec ses pairs de la sous-région, il était question de plancher sur les sujets relatifs aux projets d’adhésion à l’organisation. L’adhésion du Maroc à l’espace communautaire, le statut d’observateur de la Tunisie et l’accord d’association avec la Mauritanie, ont été à nouveau objets de discussions.
Les défis sécuritaires dans l’espace CEDEAO, ainsi que la poursuite des réformes institutionnelles étaient également au menu. De même que les différentes crises que traversent des pays de la sous-région et les voies et moyens pour les résorber. Le président de la CEDEAO avait déjà, à son arrivée à Addis Abeba, rencontré le président bissau-guinéen, José Mario Vaz. Avec ce dernier, il a échangé sur la situation sécuritaire et politique en Guinée-Bissau et promis une implication plus forte de tout l’espace communautaire pour trouver une voie de sortie de crise.
Le Chef de l’Etat Togolais SEM Faure Gnassingbé s’est rendu ce samedi 27 janvier à Addis Abeba pour prendre part au 30ème Sommet de l’Union Africaine, centré sur la lutte contre la corruption.
Avec ses pairs, le président de la République togolaise travaillera à mettre sur pied des mesures pour bouter hors du continent ce fléau qui met à mal les économies des Etats. Lors des travaux préparatoires de cette Session annuelle des Chefs d’Etats et de Gouvernements, il a été révélé que l’Afrique perdait 80 milliards de dollars par an, en raison des flux financiers illicites.
Dès les premières heures de son arrivée dans la capitale éthiopienne, Faure Gnassingbé a échangé avec diverses personnalités.
Le président togolais a eu un tête-à-tête avec son homologue ivoirien, Alassane Dramane Ouattara. Au menu figurait le renforcement des relations entre Lomé et Abidjan et un tour d’horizon de la situation économique et politique dans la sous-région.
Arborant son costume de président en exercice de la CEDEAO, Faure Gnassingbé a ensuite reçu le président bissau-guinéen, Mario José Vaz. La crise qui prévaut dans ce pays a été à nouveau abordée. Faure Gnassingbé a réitéré sa ferme volonté de trouver une issue à cette crise, de concert avec ses pairs de la CEDEAO.
Le président du FIDA, ancien PM du Togo, Gilbert Fossoun Houngbo a été également reçu ce samedi par le Chef d’Etat togolais.
Le nouveau président du Liberia, Georges Weah, sera officiellement investi dans ses fonctions le lundi 22 janvier 2018.
Conformément à la loi, il prêtera serment devant ses compatriotes, ses pairs et un parterre de personnalités du continent et d’ailleurs. Certains d’entre eux ont déjà fait le déplacement de Monrovia. Le chef de l’Etat togolais, Président en exercice de la CEDEAO, SEM Faure Essozimna Gnassingbé a atterri ce lundi dans la capitale libérienne.
Georges Weah sait pouvoir compter sur le président en exercice de l’espace communautaire pour soutenir ses efforts de relance économique. Les deux hommes ont échangé à de nombreuses occasions et s’apprécient. A travers de récents messages, ils ont exprimé tout le bien qu’ils pensaient l’un de l’autre et la vision qu’ils avaient pour leurs pays, la sous-région ouest africaine et le continent en général.
Sont également annoncés à cette cérémonie d’investiture, les présidents ghanéen, Nana Akufa-Addo, ivoirien, Alassane Ouattarra ou encore Ali Bongo du Gabon et Sassou Nguesso du Congo.
Les ministres de l’espace CEDEAO ont tenu, samedi à Lomé, la 17ème Session extraordinaire de leur Conseil, sous la présidence du ministre togolais des Affaires Etrangères, de la Coopération et de l’Intégration africaine, le Pr Robert Dussey. Une assise qui s’inscrit dans le prolongement du dernier Sommet tenu le 16 décembre dernier à Abuja, consacré à l’attribution des postes statutaires des institutions de la communauté sous régionale.
L’un des points forts de cette réunion de Lomé a été la réduction du nombre de Commissaires qui est passé de 15 à 9. Une réforme difficile au goût de certains membres, mais qui s’avère indispensable pour redynamiser l’espace communautaire et sa Commission.
Ces réformes engagées par les chefs d’Etat et de gouvernement, répondent en outre à un souci « d’adaptation aux règles modernes de gouvernance, ainsi qu’à l’impératif d’un usage rationnel et raisonnable des ressources », a précisé le président du Conseil des ministres de la CEDEAO, Robert Dussey.
La CEDEAO, dont la présidence est actuellement assurée par le chef de l’Etat togolais SEM Faure Essozimna Gnassingbé, veut à travers ces réformes, concrétiser les bonnes perspectives en matière de croissance économique de la région dont le taux de progression du PIB réel est projeté à 3,1 % en 2018 contre 2,1 % en 2017.