(Togo Officiel) - Après avoir uni leurs forces entre 2020 et2022 pour améliorer la cohésion sociale et la résilience des communautés de leurs zones frontalières, le Togo, le Bénin et le Burkina Faso vont passer à une nouvelle étape de leur engagement face aux conflits communautaires et à l’extrémisme violent.
Les trois pays voisins ont lancé en fin de semaine écoulée à Lomé, la seconde phase du Programme d’appui à la prévention des conflits et de l’extrémisme violent dans les zones frontalières. Le projet, soutenu par les Nations Unies, veut désormais s’attaquer aux facteurs de la fragilité dans les zones frontalières.
Les gouvernements du Bénin, du Burkina-Faso, du Togo et les Nations Unies sous la présidence du #MPDC, lancent à Lomé la 2e phase du programme d'appui à la prévention des #conflits et de l' #ExtrémismeViolent dans les Zones frontalières.
— Nations Unies Togo (@UN_Togo) November 3, 2023
Financement: #PBF . pic.twitter.com/Mqh2vwtWQf
Ceci, explique le Bureau Togo de l’Organisation internationales pour les migrations (OIM), en se concentrant principalement sur deux piliers : le renforcement des mécanismes endogènes de prévention et de réponses aux conflits communautaires aux niveaux local et transfrontalier, et le renforcement de la résilience socio-économique des femmes et des jeunes.
Du reste, il s’agit de capitaliser sur les acquis obtenus depuis 2020, comme les mécanismes locaux de dialogue, de prévention et de résolution des conflits, ou encore l’appui à la vulnérabilité des jeunes et femmes.