Le ministre de l’économie maritime, Kokou Edem Tengue a reçu mardi 25 juin, la toute première femme de la marine marchande du Togo, Simone Adjoto Kéké. Ceci dans le cadre la journée internationale des gens de Mer, célébrée chaque 25 juin.
? En célébration de la #JournéeDesGensDeMer ! Heureux d'avoir lancé les événements d'aujourd'hui et d'avoir rencontré KEKE Adjoto Simone, la première femme capitaine de notre marine marchande. ? Le thème de cette année, "Naviguer vers l'avenir : la sécurité d'abord !", souligne… pic.twitter.com/dEOY7pmwaI
— Kokou Edem TENGUE (@kokouedemTENGUE) June 25, 2024
Au cours des échanges, la jeune femme a partagé son parcours, et exprimé sa gratitude aux autorités pour les diverses actions en faveur de la femme.
Après son baccalauréat série D en 2012 au Togo, Simone Kéké a poursuivi ses études à l’Académie régionale des sciences et techniques de la Mer (ARSTM) d’Abidjan d’où elle est sortie diplômée Lieutenant au long cours. A l’issue des formations pratiques suivies au Port de Lomé, elle obtint un Brevet d’officier chef de quart passerelle qui lui a permis d’intégrer l’Institut Supérieur des Etudes Maritimes (ISEM) à Casablanca (Maroc) et de s’adjuger le diplôme de Capitaine au long cours.
Célébration de la journée internationale des gens de mer
Axée cette année autour du thème « Naviguer vers l’avenir : la sécurité d’abord », cette journée a été marquée par diverses activités allant dans le sens de la promotion d’un environnement sûr et durable pour les générations futures.
Pour rappel, au Togo, les gens de mer disposent depuis l’an dernier d’une convention collective. Plusieurs autres initiatives sont mises en œuvre par le gouvernement pour garantir la sécurité des travailleurs maritimes.
La Compagnie énergie électrique du Togo (CEET) s’apprête à mettre à jour ses compteurs prépayés (Cashpowers). Le fournisseur public d’électricité a lancé ce mercredi 26 juin, la première phase du processus avec ses agents.
Concrètement, l’opération vise à garantir le fonctionnement des appareils de consommation, au-delà de leur date prévue d’expiration (24 novembre 2024), conformément aux normes et spécifications internationales.
Dans la pratique, les utilisateurs devront payer un crédit de rechargement de 150 FCFA minimum qui générera des codes à saisir dans l’ordre sur le compteur, puis suivre les instructions. “Cette opération de mise à jour est totalement gratuite pour le client. Elle se fera une seule fois et n'impactera ni le fonctionnement des compteurs, ni la consommation du client”, a rassuré la Compagnie.
Pour rappel, le système de consommation d’électricité prépayée a été introduit depuis 2009 par la CEET, sous le nom de ‘Compteur Lafia’. Il permet au client de payer sa consommation à l’avance, en rechargeant le compteur monophasé (2 fils) ou triphasé (4 fils).
Le Togo participe depuis le mardi 25 juin au Festival international de théâtre de Grigny en France. Le pays, représenté par la Compagnie Artistique EDU, est invité aux côtés d'autres nations.
Durant une semaine (jusqu’au 29 juin), plusieurs activités (ateliers, représentations, événements artistiques et festifs) seront organisées, permettant à la délégation togolaise non seulement de faire connaître la richesse culturelle togolaise, mais aussi de tisser des liens dans une perspective de coopération.
“C'est une reconnaissance importante pour le Togo d'être invité à participer à cette manifestation culturelle de renom”, a souligné le groupe spécialisé notamment dans les percussions ‘Atopani’ et la danse théâtrale.
Pour rappel, le Festival de Grigny a été créé il y a quelques années, dans le but de réunir des compagnies artistiques d’Afrique, des Caraïbes et d’ailleurs autour de la cause théâtrale.
Au Togo, les concertations se poursuivent pour une meilleure mise en œuvre du projet de réformes foncières pour l’accroissement de la productivité agricole (LRAP). L'Organisme de mise en œuvre du Millennium Challenge Account (OMCA-Togo) a en effet rencontré mardi 25 juin à Témédja (commune Wawa 2) les maires des communes Zio 4, Wawa2, Tchamba 3, Dankpen 2, et Oti Sud 2.
Les 1ers responsables des communes de Zio 4, Wawa2, Tchamba 3, Dankpen 2, et Oti Sud 2, pionnières de l'expérimentation du projet de réformes foncières #LRAP, ont répondu à l’invitation de @OmcaTogo et son bras opérationnel @VNGi à #Témédja (Amou) pour un atelier d'informations pic.twitter.com/fpBYzz85aZ
— OMCA TOGO (@OmcaTogo) June 26, 2024
Avec les responsables de ces 5 communes, il était question d’échanger sur les stratégies à mettre en œuvre pour améliorer les résultats du projet.
Concrètement, il s’agissait d’édifier les élus sur leurs rôles concernant les différents aspects du projet. Entre autres, la cartographie et le géoréférencement des parcelles, la mise en place de systèmes d'information constituant la base de données nationale, ainsi que l'enregistrement et la gestion des conflits fonciers.
Pour rappel, le LRAP, l’un des projets du Programme Seuil lancé en 2022, avec pour ambition d’appuyer le gouvernement dans la poursuite de son processus de réforme foncière en vue d’améliorer le régime foncier en général et celui rural en particulier.
La capitale togolaise abrite depuis mardi 25 juin, une rencontre régionale consacrée au renforcement des services de dépistage du VIH. L’activité organisée par l’OMS en collaboration avec le Fonds Mondial et l’ONUSIDA, réunit les acteurs de la lutte contre le Sida des pays de l’Afrique de l’Ouest, du Centre et de l’Océan indien.
Pendant trois jours, il s’agira pour les participants d'examiner les différents services offerts dans le cadre de la lutte contre le VIH-Sida et de les aligner sur les directives de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
« Cet atelier va permettre à ces différents techniciens de pouvoir échanger sur l’importance du dépistage et l’implication des acteurs communautaires à ces services de dépistages », a expliqué Yéba Kaaga-Doléagbénou, chargé du programme VIH, Tuberculose et Hépatite Virale à l’OMS-Togo.
En outre, la réunion de Lomé devrait permettre aux différentes parties prenantes d'être outillées sur les nouvelles recommandations de l’OMS en matière de dépistage.
Pour le Togo, très engagé dans la lutte contre le VIH-Sida, cette assise vient en soutien aux pays africains engagés à atteindre les objectifs en matière de santé.
En 2022 au Togo, un peu plus de 57.000 personnes ont été dépistées et 18 millions de préservatifs distribués sur tout le territoire. Pour le pays, l’ambition est de parvenir à l’atteinte de l’objectif ‘95-95-95’ : 95% des personnes vivant avec le VIH (PVVIH) connaissant leur statut, 95% d’entre elles recevant un traitement antirétroviral (ARV) et 95% de celles-ci ayant une charge virale supprimée.
Le Togo renforce un peu plus sa résilience face aux catastrophes et aux aléas naturels. Le pays s’apprête en effet à se doter d’un Centre national d’opérations d’urgences (CNOU).
Les travaux de construction de la nouvelle infrastructure ont été officiellement lancés ce mercredi 26 juin à Lomé, à la faveur d’une pose symbolique de première pierre effectuée par le ministre de la sécurité et de la protection civile, Calixte Madjoulba. Fruit d’un partenariat entre le Togo et les Etats-Unis d’Amérique (USA), le futur centre se veut une réponse aux différentes situations de catastrophes naturelles (inondations notamment), auxquelles le pays est confronté.
Le complexe, dont les travaux devraient durer six mois, sera le lieu où “tous les acteurs impliqués dans la gestion d’une urgence pourront se réunir pour collecter les informations, les traiter, aider les autorités administratives et politiques à pouvoir prendre une décision, et coordonner la mise en œuvre de ces décisions”, a expliqué le Commissaire principal Simbo Akle, responsable du centre.
Il y a une semaine déjà, le pays s’est doté d’un schéma national d’analyse et de couverture des risques, renforçant un peu plus son dispositif de réduction des risques de catastrophes.
Le Président de la République, Faure Essozimna Gnassingbé, a procédé le 03 mai dernier à la nomination, par décret, de Pius Kokouvi Agbetomey, au poste de Conseiller, chargé des affaires juridiques et judiciaires.
L’ancien Garde des sceaux, remplacé en janvier dernier au sein du gouvernement par Mipamb Nahm-Tchougli, aura à nouveau, rang de ministre.
Pour rappel, durant son mandat au ministère de la justice, Pius Agbetomey a été la cheville ouvrière d’une série de réformes destinées à moderniser le secteur judiciaire.
La communauté internationale observe ce mercredi 26 juin, la journée mondiale de lutte contre la drogue. L'événement institué depuis 1987, est placé cette année sous le thème : « les preuves sont claires, investissez dans la prévention ».
Dans un message de circonstance adressé mardi 25 juin, le ministre de la sécurité et de la protection civile, Calixte Batossie Madjoulba, a rappelé la priorité portée sur la prévention qui enregistre des résultats encourageants surtout en milieu scolaire.
« En 2023, la priorité portée sur la prévention en milieu scolaire est déjà une grande source de satisfaction avec de nombreux enseignants du public et du privé qui ont été formés », a indiqué le ministre.
Et de préciser que « cet investissement en milieu scolaire aidera à faire de la prévention autrement et non à se limiter aux interventions classiques de sensibilisation des organisations de la société civile ».
L'occasion également pour Calixte Madjoulba d’exhorter les parents à plus d'engagement dans l’éducation de leurs enfants. « Lorsque les responsabilités parentales sont exercées de façon appropriée, et que les enfants jouissent de la présence effective de leurs parents, un pas important est accompli dans le champ de la prévention », a-t-il déclaré.
S’il s’est pleinement engagé dans la lutte contre le trafic de drogues sous toute forme, le gouvernement envisage de faire plus « en renforçant les dispositifs de prévention, de traitement et de répression », a assuré le ministre.
Pour rappel, depuis 2011, le Togo s’est doté de plusieurs cellules et unités de lutte anti-drogue opérant aux frontières et aux endroits stratégiques. En 2023, ce sont plus de 100 tonnes de produits illicites qui ont été détruites.
La capitale togolaise abrite depuis lundi 24 juin, une rencontre consacrée au déploiement du Système interconnecté de gestion des marchandises en transit (SIGMAT). Les travaux qui réunissent les administrations douanières de la sous-région, s’inscrivent dans le cadre des activités de la commission de la CEDEAO.
Pendant quelques jours, il s’agira pour les parties prenantes de plancher sur les dysfonctionnements liés au déploiement du système.
« La présente réunion devrait nous permettre d'identifier les derniers obstacles administratifs et techniques au déploiement des segments et d'y apporter des solutions idéales dans les délais les meilleurs », a indiqué Mohamed Ibn Chambas, représentant la commission de la CEDEAO.
Notons que le SIGMAT est initié pour faciliter l’échange des informations relatives aux marchandises en transit entre les douanes des pays de la CEDEAO. L’objectif est de réduire considérablement les temps d’attente aux frontières. Le dispositif permet de suivre les marchandises depuis leur lieu de départ jusqu’à leur destination.
« L'échange des informations à travers le SIGMAT favorisera à terme, la sécurisation des marchandises et des biens, la lutte contre la fraude, la maîtrise des recettes fiscales et douanières, ainsi que la fiabilité des données statistiques dans les États membres », a expliqué Piguendéléwè Akaya, directeur des opérations douanières de Lomé-Port, représentant le commissaire de l'OTR.
Pour rappel, le SIGMAT est en vigueur entre le Togo, le Burkina Faso et le Niger, à la faveur d’un protocole d’accord signé entre ces trois pays en 2019. Le mécanisme est aussi opérationnel depuis 2022 entre les douanes togolaises et béninoises.
Au Togo, la politique de transition numérique en milieu scolaire se poursuit. Le ministère en charge des enseignements primaire et secondaire a en effet procédé lundi 24 juin, à la remise de nouvelles tables aux directeurs régionaux de l’éducation.
Ces tablettes destinées aux écoles, visent à favoriser la mise en œuvre des activités péri et parascolaires. L’initiative s’inscrit également dans le Plan Sectoriel de l'Éducation (PSE 2020-2030).
Concrètement, ces nouveaux outils permettront d’améliorer la qualité de l’éducation et de relancer les acteurs de terrain pour la mise en œuvre des activités, en dehors des heures de cours.
Pour rappel, dans une récente note du ministre de tutelle, les différents acteurs ont été invités à prendre les dispositions pour une intégration effective des activités péri et parascolaires dès la rentrée scolaire 2024-2025.