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L’occupation et l’utilisation des domaines publics de l’Etat est dorénavant subordonnée à l’obtention préalable d’une autorisation officielle et au paiement d’une redevance.

Le gouvernement réuni en Conseil des ministres ce mercredi 6 février 2019, a adopté un décret en ce sens, qui fixe les conditions et les modalités d’occupation du domaine public de l’Etat, des collectivités territoriales et des établissements publics.

Le nouveau décret tient compte, aussi bien du domaine public naturel (maritime, fluvial, sous-sol, etc.) que du domaine public artificiel (routier, collectivités territoriales, etc.).  

Ainsi, selon le Conseil, cette autorisation devra être « délivrée par le ministre chargé des affaires domaniales », en l’occurrence le ministre de l’administration territoriale, de la décentralisation et des collectivités locales, ou également par le maire.

Il faudra par ailleurs s’acquitter du « paiement d’une redevance », ajoute le communiqué.

Le cadre des investissements pourrait bientôt faire l’objet de réformes, en vue de le rendre plus attractif pour les investisseurs, tout en assurant leur juste contribution aux finances publiques.

Le ministre de l’Economie et des finances, Sani Yaya a présenté une communication dans ce sens ce mercredi 6 février 2019, lors du Conseil des Ministres.

Cette mesure naît d’une analyse détaillée du cadre des investissements et de l’ensemble des textes qui l’accompagnent, qui a révélé « qu’un meilleur ciblage de la dépense fiscale pourrait encourager et orienter l’activité économique ». Cela permettrait ainsi de réduire cette dépense, « tout en maintenant une attractivité suffisante des investisseurs ».

La refonte, qui s’inscrit également dans le cadre de la mise en œuvre du Plan National de Développement (PND 2018-2022), nécessitera une modification de certaines dispositions du Code minier et de celui des investissements.

Par ailleurs, un mécanisme de gouvernance ainsi que des dispositifs de prospection et d’accompagnement, tendant à simplifier et renforcer l’accompagnement des investisseurs, seront également mis sur pied.  

Réuni en conseil des ministres ce mercredi 6 février 2019, le gouvernement a adopté un décret qui transforme le Mécanisme incitatif de financement agricole fondé sur le partage de risques (Mifa), en Société Anonyme.

En effet selon le gouvernement, 6 mois après le démarrage de la phase pilote et « les résultats concluants enregistrés », « il convient d’envisager, comme souhaité par les acteurs du secteur agricole et les partenaires, un montage institutionnel centré sur un modèle de partenariat public-privé ».

Ce changement de statut du Mécanisme va donc permettre de mettre en place un cadre approprié et plus incitatif, favorisant une mobilisation accrue des investissements du secteur privé.

Rappelons que le Mifa, a été lancé par le Chef de l’Etat, SEM Faure Essozimna Gnassingbé le 25 juin 2018, afin de structurer les chaînes de valeur agricole et d’augmenter le financement des acteurs du secteur privé pour le développement de l’agro-business.

En 6 mois de mise en œuvre, près de 12 000 agriculteurs ont été accompagnés tandis que plus d’un milliard FCFA de crédit a été débloqué au profit des coopératives.

Les assemblées villageoises, initiées par l’Agence nationale d’appui au développement à la base et entamées en novembre 2018, reprennent au cours de ce mois de février.

Une annonce a été publiée en ce sens par le ministère chargé du développement à la base, invitant des jeunes âgés de 18 à 35 ans à s’enrôler pour des travaux à haute intensité de main d’œuvre (THIMO).

Ces assemblées villageoises de sélection vont se tenir dans 200 communautés issues des 150 cantons les plus pauvres du Togo et bénéficiaires du projet d’Opportunités d’emploi pour les Jeunes Vulnérables (EJV).

Elles vont consister en des réunions publiques regroupant des préfets, des chefs de canton, de village, de quartier, des membres de Comités villageois de développement ou encore des services techniques de l’Etat, au cours desquels les candidats enregistrés au THIMO seront sélectionnés de façon aléatoire.    

En rappel, le projet EJV, au sein duquel sont inclus les THIMO, vise à apporter des solutions de génération de revenus aux jeunes des milieux défavorisés. Plus de 14 000 jeunes sont ciblés.  

La Délégation à l’organisation du secteur informel (Dosi) a tenu ce mercredi 6 février 2019 à Lomé, une rencontre d’échange avec les acteurs du secteur informel.

L’objectif de cette rencontre, présidée par le Directeur Général de l’institution, était d’entretenir les participants sur les thèmes de l’« importance de la formalisation » et l’« accompagnement des acteurs vers la formalisation ».

Près de 350 artisans, commerçants, agriculteurs ou encore conducteurs de taxi-moto ont ainsi été outillés sur la nécessité de la formalisation de leurs activités, afin d’obtenir un meilleur accompagnement de la part de l’Etat.

Rappelons qu’en 2018, 10 548 entreprises sont passées de l’informel au formel, d’après les chiffres fournis par le Centre de Formalité des Entreprises (CFE).

Une délégation ministérielle composée de Noel Koutera Bataka, Antoine Lekpa Gbegbeni, et Kanfitine Issa Tchede, respectivement ministre en charge de l'agriculture, de l’eau, et délégué auprès du ministre de l’eau, a effectué ce mardi 5 février 2019, une tournée d’inspection dans la région des Savanes.

L’objectif de cette tournée, était de constater l’état d’avancement des travaux de réhabilitation des retenues d’eau dans la région et d’apprécier les réalisations et leur impact.

Au total, 05 ouvrages réhabilités, d’une valeur de 1,3 milliard FCFA, destinés à améliorer les performances agro-pastorales et à prévenir l’exode rural et les émigrations, grâce aux activités génératrices de revenus qui y sont favorisées, ont été visitées.

La délégation gouvernementale s’est satisfaite des travaux qui sont pour la plupart achevés à 100%.

Il faut par ailleurs souligner qu’en dehors de ces 05 ouvrages, 21 autres projets de réhabilitation ou de construction de retenues d’eau sont prévus, toujours dans la région des Savanes.

En 2017, les exportations de produits agricoles du Togo se sont établies à 88,579 milliards FCFA, d’après la Balance des Paiements et Position Extérieure Globale du Togo, publiée en novembre dernier par la BCEAO (Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest).

Soit une hausse de près de 30% par rapport à l’année 2016 où les exportations s’étaient chiffrées à 68,173 milliards FCFA.

Selon l’institution financière, cette performance s’explique essentiellement par la progression de 39,9% des exportations de coton fibre, et également par les bons chiffres obtenus au niveau des exportations d’autres matières premières agricoles et produits alimentaires d’origine végétale.

Ainsi de façon concrète, le Togo a exporté en 2017, 42 milliards FCFA de coton fibre, soit près de la moitié du montant total des exportations sur l’année. Dans la rubrique « Autres matières premières agricoles », les exportations du pays de 2016 à 2017, ont bondi de  1,641 milliard FCFA à 4,711 milliards FCFA, soit une progression de 187%.

Par ailleurs, indique la Banque centrale, le Togo affiche également une bonne marge de progression s’agissant des exportations des Produits alimentaires d'origine végétale d’une année à l’autre.

Le Président de la République, SEM Faure Essozimna Gnassingbé, a pris part ce mardi 05 février 2019 à Pya et à Kara, aux cérémonies commémorant le 14ème anniversaire du rappel à Dieu du Père de la Nation, Gnassingbé Eyadema.

A Pya, le Chef de l’Etat a procédé à un dépôt de gerbes et au recueillement au caveau familial.

Au Palais des Congrès de Kara, le n°1 togolais a assisté aux offices religieux en présence d’autorités administratives, politiques, militaires, traditionnelles et religieuses.

Les officiants catholiques, protestants et musulmans ont, à cette occasion, salué la mémoire de l’illustre disparu et rappelé son engagement au service de la nation.

La veille déjà, le Président de la République avait assisté à la veillée de prières qui s’est déroulée au domicile du Président défunt.

En rappel, le Général Gnassingbé Eyadema, décédé le 05 février 2005, a été président du Togo de 1967 à 2005.  

Le Togo devrait bientôt disposer d’un mécanisme de contrôle plus approprié des armes légères et de petit calibre.

Un atelier de formation et d’échanges s’est ouvert dans ce sens depuis lundi 04 février à Lomé et réunit les membres de la Commission nationale de lutte contre la prolifération des armes légères et de petit calibre, et des experts internationaux.

La rencontre est inscrite dans le cadre du programme de soutien à la mise en œuvre du Traité sur le Commerce des Armes que le Togo a ratifié en 2015. Elle doit permettre en plus de la mise en place d’une liste nationale de contrôle des armes, « d’accompagner le Togo vers la rédaction de son 1er rapport initial à remettre aux instances des Nations Unies », ainsi que l’a indiqué un des participants à la session.  

D’autres thématiques comme la coopération entre les différentes parties impliquées dans la problématique du contrôle des armes, ou encore le transit et les déplacements de ces armes seront évoquées.

Les travaux vont durer 04 jours.

Vous êtes Togolais et vous avez plus de 18 ans, vous vous sentez une âme artistique et créative ? Vous avez envie de contribuer à votre façon à la construction du Togo de demain ?

Participez au Concours dénommé « Mon Label PND » et empochez le premier prix d’un million de FCFA !

Le concours est organisé du 05 au 14 février 2019 par la Présidence de la République et vise à sélectionner le meilleur logo, destiné à devenir le visage, le label et la principale marque distinctive du PND (Plan National de Développement).

Votre logo, s’il est choisi, figurera sur l’ensemble des projets réalisés et des outils dérivés comme les brochures, les goodies et autres objets publicitaires, les présentations officielles, etc.

Les 03 meilleurs logos sélectionnés seront récompensés de 1 000 000 FCFA pour le 1er, 500 000 FCFA pour le 2ème et 300 000 FCFA pour le 3ème, lors d’une soirée spéciale le 26 février 2019 à l’Hôtel 2 Février à Lomé. Qu’attendez-vous pour tenter votre chance ?

Envoyez votre proposition de logotype, dans un des formats suivants : EPS, PDF ou JPG au plus tard le 14 février 2019 à 23h59’ à l’adresse mail : concourslabelpnd@républiquetogolaise.com.

Plus de détails sur le site www.republiquetogolaise.com dans l’onglet PND. Vous y trouverez le règlement intérieur du jeu et d’autres infos complémentaires.