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Le Fonds d’Appui aux Initiatives Economiques des Jeunes (FAIEJ) et ses partenaires techniques et financiers, ainsi que divers acteurs impliqués dans la mise en œuvre de ses services, ont pris leurs quartiers à Kpalimé (120 km de Lomé) ce mercredi 25 avril 2018.

L’objectif est de plancher via un atelier de validation, sur le rapport d’une étude commanditée en 2017 sur la spécialisation régionale de son accompagnement.  

Le FAIEJ souhaite améliorer ses offres de services techniques et financiers, en s’adaptant aux besoins de chaque région du pays. Les recommandations faites sur les filières porteuses de chaque région, identifiées dans le rapport, feront l’objet d’échanges et seront, si nécessaire, enrichies.

Les responsables du Fonds mis en place par le gouvernement pour promouvoir l’entrepreneuriat des jeunes et faciliter l’accès au financement des jeunes porteurs de microprojets, pourront ainsi renforcer et mieux cibler leurs actions d’accompagnement. De quoi améliorer encore les performances réalisées par le FAIEJ ces dernières années.

Après quatre années d’opérationnalisation, les résultats sont au rendez-vous. 1333 jeunes Togolais, dont 277 femmes, ont été financés, formés et suivis pour un montant total estimé à 2,16 milliards de francs CFA. De plus, près de 5000 emplois directs ont été créés.

L’Agriculture, l’une des pierres angulaires de la politique nationale de développement (PND) en cours d’élaboration par le gouvernement, ne saurait rester en marge de la célébration du 58ème anniversaire de l’indépendance du Togo.

Aussi, le chef de l’Etat SEM Faure Essozimna Gnassingbé a procédé au lancement d'un mécanisme innovant dans ce secteur. Il s’agit du TIRSAL (Togo Incentive-Based Risk Sharing System for Agricultural Leading) -Mécanisme incitatif de financement agricole fondé sur le partage des risques.

La cérémonie a été marquée par la présence de l’ensemble du gouvernement, de l'Association professionnelle des banques, de différents partenaires techniques et financiers et de tous les acteurs impliqués, notamment le Nirsal du Nigeria, dont l’expertise a été requise.

Le Tirsal est désormais une réalité au Togo pour le plus grand bien des acteurs du secteur. Ce nouveau dispositif inclut un cadre incitatif pertinent, permettant d'accroître substantiellement le volume de financement accordé par le secteur bancaire à l'agriculture et l’agro-industrie.

Le gouvernement, dans sa volonté d’améliorer les conditions de vie des populations, vise à travers sa  mise en œuvre, la création massive d'emplois autour de chaines de valeur rentables, l'amélioration des rendements et des revenus des producteurs et entrepreneurs, la sécurité alimentaire et l'accès aux marchés domestique, international et industriel.

Pas de répit pour le Chef de l’Etat ces dernières 48 heures dans le cadre des festivités marquant le 58ème anniversaire de l’Indépendance du Togo. Après une journée marathon mardi, qui l’a mené au CHU Sylvanus Olympio et à Togblékopé, SEM Faure Essozimna Gnassingbé était ce matin dans le canton de Zanguéra, où il a procédé à l’inauguration du Centre d’enfouissement technique (CET) de Zanguéra.

La lutte contre l’insalubrité est l’une des priorités des autorités togolaises et la mise en service de cette infrastructure destinée à l'enfouissement d'ordures et déchets divers, en est une illustration. 

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La ville de Lomé connait une extension rapide. Abritant 1,4 million d’habitants, elle devrait en compter 1 million de plus d’ici 15 ans. Il en résulte l’apparition de dépotoirs sauvages et des risques de dégradation de l’environnement. 

Le Projet du CET, dont la première pierre a été posée fin 2016, est cofinancé à hauteur de 21,2 millions d’euros par l’AFD, l’Union européenne, la BOAD et la Mairie de Lomé. Il répond à ce besoin du gouvernement de mettre en place une structure organisationnelle de gestion des déchets solides urbains répondant aux normes internationales en matière de protection de l’environnement et de santé publique.

La célébration du 58ème anniversaire de l’Indépendance du Togo demeurera gravée dans la mémoire des populations de Togblekopé (proche de Lomé) et de ses environs. Ce mardi, c’est dans une liesse populaire qu’elles ont accueilli le Chef de l’Etat SEM Faure Essozimna Gnassingbé.

Le Président de la République a fait le déplacement de la localité pour procéder au lancement officiel de travaux très attendus par la population. Ce projet, dont le premier volet porte sur l’assainissement, l’aménagement et la construction d’infrastructures socioéconomiques de base, offrira un nouveau cadre de vie aux habitants.

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Il permettra surtout de prévenir plus efficacement les inondations qui, en saison de pluie, mettent un frein aux activités quotidiennes des populations. Grâce à ce projet, financé à hauteur de 9 milliards de FCFA par l’Etat togolais et la Banque Africaine de Développement (BAD), il sera construit deux bassins de rétention d’eau. Des caniveaux seront également réalisés le long de la Route N1 et dans plusieurs rues.

Un autre pan du projet permettra la construction de bâtiments scolaires et de hangars, ou encore l’aménagement d’aires de jeu.

L’information était attendue depuis la semaine dernière, alors que le gouvernement et les syndicats d’enseignants signaient un protocole d’accord mettant fin aux perturbations dans le secteur de l’éducation. Le Premier Ministre Komi Selom Klassou avait demandé aux ministres en charge de l’éducation et de la formation professionnelle de procéder à un réaménagement du calendrier scolaire pour rattraper les pertes de temps occasionnées par ces nombreuses perturbations.

Depuis ce mardi, le nouveau découpage est disponible et informe du prolongement de l’année scolaire. Il fixe les nouvelles dates des examens de fin d’année et précise celles des vacances et de la rentrée scolaire 2018-2019.

Le Brevet d’Etude du Premier Cycle (BEPC) est désormais programmé du 03 au 06 juillet 2018 ; le Certificat d’Etude du Premier Degré (CEPD) du 17 juillet au 19 juillet, le Baccalauréat 1ère partie (BAC I) du 31 juillet au 03 août et le BAC II du 06 au 11 août 2018.

Les vacances sont fixées au 24 août 2018 et la rentrée scolaire 2018-2019 au 15 octobre 2018.

 

Dans un communiqué gouvernemental émanant du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, il est rappelé aux étudiants des universités publiques du pays (Universités de Lomé et Kara) qui estiment être éligibles à l’allocation de secours ou à la bourse, au titre de l’année académique 2017-2018, qu’une période de réclamation est ouverte. Elle court de ce mercredi 25 avril, jusqu’au 9 mai 2018.

Les étudiants n’ayant jamais fait leur demande en ligne ou n’ayant pas réussi à le faire, doivent s’y atteler pendant cette période. Ceux, en 3ème, 4ème et 5ème inscription devront quant à eux, imprimer et remplir un formulaire de réclamation à télécharger sur le site www.dbs.tg auquel ils joindront une copie de leur carte d’étudiant et son original, une copie de leur carte nationale d’identité et son original et une copie du relevé de notes de l’année académique 2016-2017 et son original.

Les dépôts des dossiers de réclamation se feront à la Direction des Bourses et Stages de Lomé et à l’Antenne de Kara. Passé ce délai, aucune nouvelle demande de réclamation ne sera acceptée, précise le communiqué ministériel.

En marge d’une réunion de concertation Cedeao-Ceeac, tenue à Lomé le 20 avril dernier, il a été annoncé l’organisation d’un sommet conjoint entre les deux institutions d’intégration régionale, en juillet prochain dans la capitale togolaise. Cette assise, une première du genre, planchera sur la paix, la lutte contre la radicalisation et l’extrémisme violent. 

Robert Dussey, ministre togolais des Affaires Etrangères, de la Coopération et de l’Intégration, qui co-présidait la réunion de vendredi dernier avec son homologue gabonais Noël Nelson Messone, a justifié cette initiative, par le fait que les deux blocs régionaux sont confrontés aux mêmes défis, aux mêmes menaces, notamment en matière de paix et de sécurité.

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De plus, les chefs d’Etat togolais et gabonais, Faure Gnassingbé et Ali Bongo, sont respectivement les présidents en exercice de la CEDEAO et de la CEEAC et s’impliquent fortement dans la résolution de différentes crises qui perturbent leurs sous-régions respectives.

En juillet prochain à Lomé, le sommet Cedeao-Ceeac sera consacré à la prise d’engagements et à la mise en place d’une alliance qui servira à mutualiser les efforts, à développer des synergies, afin de relever ensemble les défis auxquels sont confrontées les deux organisations.

Le Chef de l’Etat SEM Faure Essozimna Gnassingbé était, ce mardi matin, dans les locaux du Centre Hospitalier Universitaire (CHU) Sylvanus Olympio. Activité inscrite dans le cadre de la célébration du 58ème anniversaire de l’Indépendance du Togo, le Président de la République, accueilli par une foule d’agents de santé, a procédé au lancement du processus de contractualisation du principal centre hospitalier du pays. 

Le gouvernement répond ainsi aux préoccupations des acteurs du monde de la santé qui souhaitent une meilleure gestion et des conditions de travail plus avantageuses.

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 Le gouvernement, avant de la transposer au CHU SO, a d’abord expérimenté cette approche contractuelle au Centre hospitalier régional (CHR) d’Atakpamé et au Centre Hospitalier Préfectoral de Blitta. Cette réforme consistant en une délégation de pouvoir à des entités privées, chargées de mettre en place les outils et mécanismes d’une gestion orthodoxe, participative et inclusive, a donné des résultats satisfaisants : une amélioration des prestations délivrées aux populations, un taux de fréquentation en hausse et une comptabilité assainie.   

Rappelons que, dans le processus de contractualisation, les structures sanitaires gardent leur statut d'institution publique. Les infrastructures, équipements et ressources humaines restent la propriété et la responsabilité de l’Etat.

Afin de se conformer aux recommandations des chefs d’Etat et de gouvernement de la CEDEAO qui, lors du Sommet extraordinaire de Lomé, le 14 avril dernier, ont félicité et renforcé la facilitation conduite par le président ghanéen Nana Akufo-Addo ; respecter la parole donnée à ce dernier et assurer la tranquillité des populations, le gouvernement réaffirme sa fermeté quant à sa décision de tracer de nouveaux itinéraires à la Coalition de l’opposition.

Après celui envoyé le 20 avril dernier, un autre courrier en date de ce 23 avril, signé du Ministre de l’Administration, de la décentralisation et des collectivités locale, invite la coalition des 14 partis d’opposition à se conformer à ces directives. 

Après 7 mois de manifestations, la coalition envisage à nouveau de battre le pavé les 25, 26 et 28 avril prochains.   

Le gouvernement déplore à nouveau la « décision regrettable », de l’opposition d’organiser des manifestations pendant que le dialogue se poursuit, contrairement aux recommandations du facilitateur.

Les itinéraires tracés par le gouvernement et mentionnés dans le précédent courrier sont donc maintenus et ne feront l’objet d’aucun changement.

A la date du 31 décembre 2017, 179 Services Financiers Décentralisés (SFD) ont été répertoriés sur toute l’étendue du territoire national.

Nombre d’entre eux sont partenaires du gouvernement dans la mise en œuvre de certains projets en direction des populations à la base. Des tournées d’inspection et de contrôle de la Cellule d’Appui et de Suivi des Institutions Mutualistes et de Coopératives d’Epargne et de Crédit (CAS-IMEC), ont laissé entrevoir des manquements au niveau de la gouvernance de ces SFD. Il revenait au gouvernement de faire corriger le tir.

A l’initiative du Secrétariat d’Etat auprès de la Présidence, chargé de l’inclusion financière et du secteur informel, la Direction de la Promotion de la Finance Inclusive (DPFI), a réuni une vingtaine de Services Financiers Décentralisés (SFD) pour un atelier de renforcement de capacités.

Sont conviés du 23 au 25 avril à Lomé, les membres du Conseil d’Administration des Comités de crédit et du Comité de Surveillance de ces SFD. Pendant ces trois jours, les textes les régissant seront passés en revue et les actions à mener en vue de l’amélioration de leur gouvernance seront programmées. Le même exercice sera répété pour les SFD installés à l’intérieur du pays.