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Trois mois après leur nomination, les gouverneurs des régions s’installent officiellement. La Gouverneure du District autonome du Grand Lomé (DAGL), Zouréhatou Kassah Traoré a officiellement pris ses fonctions le mercredi 06 novembre, lors d’un cérémonial au Gouvernorat du district, présidé par le ministre de l’administration territoriale. 

Sous l’autorité des ministères de tutelle, la nouvelle responsable du District aura pour mission de coordonner les services déconcentrés des administrations civiles. “Vous êtes désormais la représentante de l’Etat, du pouvoir central”, a déclaré Awate Hodabalo, qui a salué une nouvelle étape pour la capitale et ses environs. 

Vaste de 425,6 km², le District autonome du Grand Lomé a été créé par la Loi du 26 juin 2009. Il regroupe 13 communes, représentant la première communauté de communes dans l’histoire du Togo depuis l’effectivité de la décentralisation. 

Au cours des cinq dernières années, le DAGL était administré de façon intérimaire par Tagba Tchalim.

Un partenariat renforcé pourrait bientôt naître entre les administrations fiscales du Togo et du Burkina Faso. Le sujet a été évoqué mardi 5 novembre au cours d’une rencontre entre le commissaire général de l’Office togolais des recettes (OTR), Philippe Tchodie et Eliane Djiguemde-Ouedraogo, directrice des impôts du Burkina Faso, également actuelle présidente du Conseil du Forum des administrations fiscales ouest-africaines (FAFOA), en visite à Lomé.

Au cours des échanges, les deux parties ont exploré les possibilités d'accompagnement de l'OTR afin de soutenir le Burkina Faso sur certains de ses projets stratégiques. Les discussions ont également porté sur la redynamisation du FAFOA et l'harmonisation fiscale dans la sous-région. L’objectif est d’optimiser les mécanismes fiscaux à travers le partage d’expertise et l’adoption de meilleures pratiques.

« Aucun pays ne peut se suffire dans un contexte de mondialisation des systèmes fiscaux », a indiqué le commissaire général de l’OTR.

Composé de 15 pays dont le Togo, le FAFOA (WATAF en anglais) contribue à l’amélioration de la qualité des administrations fiscales de ses pays membres. Il œuvre aussi pour de meilleures prestations en matière de services publics dans les pays d’Afrique de l’Ouest.

Les usagers de la Société Togolaise des Eaux (TdE) sont invités à renseigner leurs informations afin d’une mise à jour des profils dans la base de données. Cet exercice s’inscrit dans le cadre de la poursuite du processus de digitalisation et partant, d’amélioration des services offerts par le distributeur d’eau.

Concrètement, les clients devront communiquer le numéro à 14 chiffres figurant à gauche sur les factures TdE, ainsi que les noms, prénoms et contacts du propriétaire ou de l’usager du branchement, accompagnés d’une pièce d’identité en cours de validité. Le tout transmis via l’application WhatsApp (92 28 44 44 / 99 99 26 56) ou par Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser..

« Ces informations sont essentielles pour garantir une meilleure gestion des abonnements et offrir des services plus rapides et plus personnalisés dans un environnement digitalisé », a précisé la TdE.

Ces dernières années, la numérisation des services publics s’accélère. L’objectif de l’exécutif est de digitaliser au moins 75 % des démarches administratives d’ici à 2025.

Six mois après s’être doté d’une nouvelle constitution, le Togo poursuit la mise en place progressive des nouvelles institutions prévues. Le gouvernement, après avis favorable de la Cour constitutionnelle, a pris mardi en conseil des ministres, deux nouvelles ordonnances essentielles à la mise en place et au fonctionnement du système parlementaire bicaméral. 

Le premier texte, relatif au Sénat, fixe le nombre de sénateurs, leurs indemnités, les conditions d’éligibilité ou de désignation, le régime des incompatibilités et les conditions dans lesquelles il est pourvu aux sièges vacants, ainsi que le statut des anciens sénateurs.

Quant à la seconde ordonnance, relative à l’Assemblée nationale, elle précise, conformément à la Constitution, le nombre de députés, les indemnités, les conditions d’éligibilité, le régime des incompatibilités et les conditions dans lesquelles il est pourvu aux sièges vacants, ainsi que le statut des anciens députés. L’objectif poursuivi par l'exécutif est de consolider les modifications antérieures, d’arrimer les innovations avec celles du Sénat et de permettre le fonctionnement harmonieux des deux chambres du Parlement.

Pour rappel, le Sénat, deuxième chambre du Parlement, sera composé pour deux tiers (2/3) de ses membres, de personnalités élues par les représentants des collectivités territoriales et d’un tiers (1/3) de personnalités nommées par le Président du conseil des ministres.

Il y a quelques semaines, des discussions ont été initiées par les acteurs politiques, afin de modifier le code électoral et baliser la voie aux prochaines élections sénatoriales.

Lire aussi:

Constitution de la Vème République : le Togo actualise ses textes

Le Togo améliore son dispositif dans le domaine de la gestion des situations de pollutions et de catastrophes environnementales. Le gouvernement, réuni mardi en conseil des ministres, a en effet adopté deux projets de loi dans ce sens. 

Le premier texte, lié à la pollution par les hydrocarbures, autorise l’adhésion du pays à la convention FIPOL de 1992 sur la création du Fonds international d’indemnisation pour les dommages. Pour le Togo, dont les atouts dans le secteur maritime ont boosté les opérations portuaires (comme le transbordement en mer), il s’agit de garantir la réhabilitation de l’environnement marin en cas de pollution, ainsi que le dédommagement des populations riveraines.

Le second de projet de loi adopté porte pour sa part sur l’adhésion du pays au protocole de 2000 sur la préparation, la lutte et la coopération contre les événements de pollution par les substances nocives et potentiellement dangereuses (OPRC-HNS 2000). Concrètement, il s’agira pour le Togo de se prémunir de toutes les éventualités de pollution en mer, autres que celles liées au déversement accidentel des hydrocarbures en mer. 

L’adhésion, si elle est approuvée par la Représentation nationale, permettra au pays de développer ses capacités opérationnelles, pour préserver la santé humaine, protéger les ressources biologiques, la flore et la faune marines, et remédier aux éventuelles atteintes à l’agrément des sites en cas de pollution. 

Pour rappel, ces dernières années, le gouvernement s’était déjà penché sur la question de la pollution, à travers la ratification des conventions MARPOL et SNPD, portant respectivement sur les pollutions par les navires et le transport en mer, de substances nocives et potentiellement dangereuses.

 
 

Le Togo a enregistré des avancées significatives dans la gestion de ses finances publiques selon le dernier rapport du Programme d'Évaluation des Performances des Finances Publiques (PEFA) couvrant la période de 2019 à 2021. Le document présenté le mardi 05 novembre à Lomé, souligne les progrès réalisés par le pays.

Concrètement, le PEFA 2023, révèle que le système de gestion des finances publiques a considérablement évolué depuis l’évaluation de 2016. En effet, sur 31 indicateurs, 17 (soit 55 %) ont vu leur note progresser, témoignant d’un renforcement des pratiques budgétaires et de la transparence. Des progrès ont été également observés dans la préparation du budget malgré des marges d’amélioration qui subsistent, notamment dans la supervision et l’audit externes en fin de cycle budgétaire. En outre, cette évaluation a intégré des volets sur le genre et le climat, faisant du Togo le premier pays d'Afrique à inclure ces dimensions dans son rapport PEFA

« Face aux nombreux besoins de notre population et aux chocs mondiaux récents, tels que la crise sanitaire et la guerre en Ukraine, les objectifs de développement et de réduction de la pauvreté ne pourront être atteints qu'à travers une gestion rigoureuse de nos finances publiques », a indiqué le ministre de l’économie et des finances, Essowè Georges Barcola.

Pour sa part, Gwilym Jones, ambassadeur de l’Union Européenne (UE), a exprimé sa satisfaction au regard des résultats de cet examen et salué les efforts du gouvernement dans la mise en œuvre des réformes. Dans cette dynamique, le diplomate a réaffirmé l’engagement de l’UE à accompagner le Togo dans ses initiatives de consolidation des finances publiques.

Conçu en 2005 et amélioré en 2016 pour mieux répondre aux attentes, le PEFA est un cadre d’évaluation international des systèmes de gestion des finances publiques. Ce nouveau rapport sur le Togo fait suite à ceux des agences Moody’s et de Standard and Poor's (S&P) qui ont confirmé le regain de confiance en l’économie nationale.

mercredi, 06 novembre 2024 18:04

Conseil des ministres du 05 novembre 2024

L’équipe gouvernementale s’est réunie en conseil des ministres le mardi 05 novembre à Lomé. Les travaux, présidés par le chef de l’Etat, Faure Essozimna Gnassingbé, ont permis l’examen et l’adoption de trois projets de loi, deux ordonnances et deux décrets.

Au titre des projets de loi

Le Conseil des ministres a examiné et adopté le projet de loi modifiant la loi n° 2004-022 du 15 décembre 2004, portant régime juridique et fiscal harmonisé applicable au projet du gazoduc de l’Afrique de l’ouest en République togolaise.

Le traité du gazoduc de l’Afrique de l’ouest signé en 2003, et auquel notre pays est partie avec le Bénin, le Ghana et le Nigéria, vise la réalisation du projet du gazoduc de l’Afrique de l’ouest destiné au transport du gaz naturel du Nigéria pour approvisionner les trois autres pays.

Les changements intervenus depuis lors dans l’environnement du projet induisent la nécessité d’adapter les dispositions de la loi du gazoduc de l’Afrique de l’ouest relatives à trois aspects, à savoir : la période d’exemption fiscale accordée à la Société West African Gas Pipeline Company Limited (WAPCo), le taux d’imposition de WAPCo et la possibilité d’octroyer des licences à d’autres chargeurs.

Ces évolutions contribuent à améliorer la gouvernance du projet et à insuffler une nouvelle dynamique à la société Wapco et au réseau de gazoduc de l’Afrique de l’ouest. Elles permettent notamment aux États-parties de pouvoir diversifier les sources d’approvisionnement en gaz naturel, afin de mieux répondre aux besoins croissants.

Le Conseil des ministres a examiné et adopté le projet de loi autorisant l’adhésion du Togo à la convention internationale de 1992 portant création d’un fonds international d’indemnisation pour les dommages dus à la pollution par les hydrocarbures (FIPOL).

Les atouts dont dispose notre pays en matière d’opérations portuaires, notamment le climat de sécurité et les bonnes performances du Port autonome de Lomé ont permis un important accroissement des opérations portuaires, notamment celles de transbordement en mer.

Outre le cadre réglementaire national, le Togo a transposé des conventions de l’Organisation maritime internationale (OMI) afin de conforter son positionnement comme un État du port et un État du pavillon. 

L’adoption de ce présent projet de loi permet de renforcer notre dispositif par l’adhésion à la convention internationale de 1992 portant création d’un fonds international d’indemnisation pour les dommages dus à la pollution par les hydrocarbures ; l’objectif visé étant la réhabilitation de l’environnement marin en cas de pollution et le dédommagement des populations riveraines.

Le Conseil des ministres a examiné et adopté le projet de loi autorisant l’adhésion du Togo au protocole de 2000 sur la préparation, la lutte et la coopération contre les événements de pollution par les substances nocives et potentiellement dangereuses (OPRC-HNS 2000).

Les risques de pollution en mer ne se limitent pas aux cas de déversement accidentel d’hydrocarbures. Aussi des instruments internationaux ont-ils été élaborés pour couvrir les autres éventualités. Il en est ainsi du Protocole de l’OMI du 15 mars 2000, sur la préparation, la lutte et la coopération entre États membres contre les faits de pollution par les substances nocives et potentiellement dangereuses.

En adhérant à ce Protocole, notre pays va développer ses capacités opérationnelles pour préserver la santé humaine, protéger les ressources biologiques, la flore et la faune marines, et remédier aux éventuelles atteintes à l’agrément des sites en cas de pollution.

Au titre des ordonnances

Le Conseil des ministres a examiné et adopté l’ordonnance fixant le nombre de sénateurs, les indemnités, les conditions d’éligibilité ou de désignation, le régime des incompatibilités et les conditions dans lesquelles il est pourvu aux sièges vacants, ainsi que le statut des anciens sénateurs.

Dans le système parlementaire bicaméral prévu par la Constitution togolaise, le Sénat, deuxième chambre est composé pour deux tiers (2/3) de ses membres, de personnalités élues par les représentants des collectivités territoriales et d’un tiers (1/3) de personnalités nommées par le Président du conseil.

En vue de prendre en compte les nouvelles attributions du Sénat, il y a lieu de réviser la loi organique de 2003 en prenant la présente ordonnance, conformément à l’article 98 de la Constitution qui prévoit que la mise en place des institutions de la Vème République est faite par voie d’ordonnance.

Le texte, adopté après l’avis favorable de la Cour Constitutionnelle, fixe le nombre de sénateurs, leurs indemnités, les conditions d’éligibilité ou de désignation, le régime des incompatibilités et les conditions dans lesquelles il est pourvu aux sièges vacants, ainsi que le statut des anciens sénateurs.

Le Conseil des ministres a examiné et adopté l’ordonnance fixant le nombre de députés, les indemnités, les conditions d’éligibilité, le régime des incompatibilités et les conditions dans lesquelles il est pourvu aux sièges vacants, ainsi que le statut des anciens députés.

Les nouvelles attributions de l’Assemblée nationale, première chambre du Parlement, conformément à la Constitution de la Vème République doivent être prises en compte en même temps qu’il est procédé à l’intégration des évolutions antérieures.

C’est dans cette optique que la présente ordonnance est prise, après l’avis favorable de la Cour Constitutionnelle, pour consolider les modifications antérieures, arrimer les innovations avec celles du Sénat et permettre le fonctionnement harmonieux des deux chambres du Parlement.

Elle fixe, conformément à la Constitution, le nombre de députés, les indemnités, les conditions d’éligibilité, le régime des incompatibilités et les conditions dans lesquelles il est pourvu aux sièges vacants, ainsi que le statut des anciens députés.

Au titre des décrets

Le Conseil des ministres a adopté le décret portant approbation du nouvel accord de l’organisation interafricaine du café (OIAC), adopté le 20 novembre 2020 à Accra.

L’Organisation interafricaine du café (OIAC) a été créée le 07 décembre 1960 pour assurer le bon fonctionnement du secteur dont l’importance demeure notable dans l’économie des pays producteurs.

Le 20 novembre 2020, un nouvel accord a été adopté en remplacement de celui de 1960 et de ses modifications successives. Le présent décret permet à notre pays d’approuver ce nouveau texte qui va faciliter l’adoption de stratégies appropriées pour soutenir la production, la transformation et le commerce intra-africain du café ainsi que la promotion de la consommation nationale dans les États producteurs.

Au Togo, la priorité demeure l’amélioration durable des conditions de vie des producteurs et la rentabilité de la filière pour l’ensemble des acteurs de la chaîne, pour une caféiculture professionnalisée, compétitive et performante, créatrice de richesses et d’emplois décents, en particulier en milieu rural.

Sous l’effet conjugué des politiques publiques et des apports du secteur privé, la production du café, qui a longtemps connu une tendance baissière, est désormais en hausse au Togo, passant de 10.950 tonnes en 2013 à 27.336 tonnes en 2023, avec une progression du rendement du simple au double.

Le Conseil des ministres a adopté le décret portant approbation de l’accord international de 2022 sur le café, adopté le 09 juin 2022 à Bogota.

Notre pays est également membre de l’Organisation Internationale du café (OIC), créée en 1962. L’accord international a été plusieurs fois révisé et le nouvel accord a été adopté le 09 juin 2022, pour permettre à l’organisation de rechercher de nouveaux moyens et ressources pour développer davantage l’industrie du café, lutter contre les maladies qui s’attaquent à cette culture et contre les changements climatiques.

L’approbation du nouvel Accord par le Togo ouvre la voie à l’adoption de stratégies appropriées en vue de soutenir la production, la commercialisation, la transformation et la consommation locale du café, d’une part et, d’autre part, d’améliorer les conditions de vie et de travail des producteurs à travers l’accroissement des exportations.

Notre pays ambitionne de doubler la production nationale (de 25.000 tonnes à 50.000 tonnes) à l’horizon 2030 et d’accroître la transformation nationale qui devrait atteindre un volume de 20.000 tonnes soit une augmentation de 40%.

L’objectif est de procurer des revenus décents aux producteurs, d’assurer une répartition juste et équitable des revenus, d’améliorer la productivité et la qualité du café, de mobiliser des investissements conséquents dans le secteur et de promouvoir les initiatives entrepreneuriales des jeunes et des femmes sur toute la chaîne de valeur de la filière.

Fait à Lomé, le 05 novembre 2024

Le Conseil des ministres

Les demandes d’immatriculation des véhicules devront désormais s'effectuer en ligne. L’Office togolais des recettes (OTR) a récemment annoncé la mise en service de cette plateforme de requêtes.

Accessible via le système SYDONIA World, l’outil permet aux utilisateurs de soumettre leur demande et d’en faire le suivi. L’initiative vise à simplifier les formalités tout en garantissant un service rapide et transparent.

« Les opérateurs économiques sont dorénavant tenus de soumettre leurs demandes d'immatriculation des véhicules uniquement via SYDONIA World », a précisé le fisc.

Ces dernières années, le gouvernement s’est engagé dans un processus de numérisation des procédures. L’ambition fixée à l’horizon 2025 est de digitaliser et de rendre disponibles au moins 75 % des démarches administratives.

La capitale togolaise abrite jusqu’au 07 novembre, une rencontre régionale consacrée à la baisse des prix des vols. Les travaux réunissent les experts des différents pays de l’espace CEDEAO.

La rencontre, qui se tient en prélude à la réunion des ministres prévue le 8 novembre prochain, vise à relever les défis persistants dans le secteur de l’aviation. Pendant trois jours, les discussions porteront sur des mécanismes régionaux pour une réduction progressive des redevances et des taxes dans le secteur aérien ainsi que sur des mesures de sécurité harmonisées. L’objectif est d'accroître l’accessibilité et l’abordabilité des voyages aériens, conformément aux ambitions de l'organisation régionale.

« Le secteur du transport aérien constitue un des facteurs clés de l’intégration régionale et est un élément essentiel pour la croissance économique et le plein développement social de notre sous-région », a indiqué Ahabou Idrissou, directeur général de l’Agence nationale de l'aviation civile du Togo (ANAC-Togo).

Une baisse des coûts de transport pourrait ainsi ouvrir de nouvelles perspectives dans des secteurs clés tels que le tourisme, l’éducation, la santé et le commerce. Elle favoriserait également la libre circulation des personnes, en lien avec les objectifs du Marché Unique du Transport Aérien Africain (MUTAA) et de la Zone de Libre-Échange Continentale Africaine (ZLECAf).

Le Président de la République, Faure Essozimna Gnassingbé a adressé ce mercredi 06 novembre, un message de félicitations au nouveau président élu des Etats-Unis d’Amérique (USA), Donald Trump. Le chef de l’Etat s’est exprimé, quelques minutes après la confirmation des principales tendances sur la barre des grands électeurs. 

Je vous adresse au nom du peuple togolais, de vives félicitations pour votre victoire ! Votre seconde accession à la présidence des États-Unis d’Amérique traduit la confiance des électeurs en votre leadership et en votre capacité à guider votre nation vers un avenir prospère. Cette nouvelle ère nous offre l’opportunité de consolider le partenariat entre nos deux pays, fondé sur des valeurs communes de paix, de progrès et de respect des droits humains”, a formulé Faure Gnassingbé. 

Déjà locataire de la Maison blanche entre 2017 et 2021, Donald Trump deviendra officiellement, à l’issue de son investiture, le 47ème président américain, succédant à Joe Biden.

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