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Le Togo sera bien présent aux Jeux Olympiques de Paris de 2024. Le pays sera en effet représenté par cinq athlètes, qui ont réussi à décrocher leurs billets qualificatifs respectifs

En tout, trois femmes et deux hommes défendront les couleurs nationales lors de ces 33èmes olympiades. Il s’agit de Akoko Komlanvi (Aviron), Eloi Adjavon (Triathlon), Naomi Akakpo (Athlétisme), Jordano Daou et Adèle Gaïtou (Natation). 

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En attendant leur présentation officielle ainsi que la remise du drapeau national, les préparatifs se poursuivent, sous la supervision du Comité national olympique (CNOT).

Depuis quelques jours, une délégation de l’institution faîtière du sport national, conduite par son président, Akpaki Deladem, effectue une visite des principaux sites de compétition des athlètes togolais. L’objectif est de parvenir à décrocher une nouvelle médaille, après celle obtenue par Benjamin Boukpeti aux Jeux de Pékin en 2008. 

En rappel, plus de 10 000 athlètes venus du monde entier entreront en lice lors de ces J.O qui démarrent le 25 juillet prochain. 

En vacances depuis le 28 juin dernier, les membres de la Représentation nationale renforcent leur proximité avec les populations. Une délégation de députés de la Maritime a entamé dans ce sens, depuis le mercredi 10 juillet, une tournée d’échanges dans les différentes préfectures de la région.

A Kévé (Avé) et à Tsévié (Zio), les rencontres qui ont mobilisé les forces vives des localités (groupements de femmes et de jeunes, chefferie traditionnelle, comités villageois et cantonaux de développement, agents de santé, enseignants, agriculteurs, commerçants, artisans, entre autres) ont été l’occasion pour les élus locaux de présenter les activités menées à l’hémicycle, au cours de la première session ordinaire. 

En outre, il s’agissait de rappeler les fondements et implications de la nouvelle constitution qui a vu le passage du pays au régime parlementaire, ainsi que les dispositions transitoires prévues dans ce sens. 

L’objectif de cet exercice, selon le président de l’institution, Kodjo Adedze, est “d'aller à l’écoute des populations, prendre en compte leurs doléances, et rechercher des solutions aux différentes préoccupations des localités”. 

Pour les administrés, la démarche est louable : “Nous avons formulé des doléances relatives à l’état de nos routes, la disponibilité des engrais pour améliorer la production agricole, l’accès à l’eau potable, entre autres”, a indiqué à la fin des échanges, le Président du conseil préfectoral de chefs traditionnels de Zio, Togbui Passa Folly.

Des activités similaires sont également prévues dans les autres régions du territoire, avec d’autres délégations de députés.

Quelques semaines après son lancement, l’initiative numérique gouvernementale NanaTech entame son déploiement. Le programme a officiellement lancé en début de semaine à Kara, sa composante ‘Immersion’. 

Concrètement, cette composante permettra de former un total de 150 femmes togolaises réparties sur toute l’étendue du territoire et disposant d’une activité génératrice de revenus. L’objectif spécifique est notamment de doter les bénéficiaires de compétences numériques et en matière de gestion d’entreprise, afin de les aider à accroître leurs revenus et leur compétitivité sur le marché. En outre, il s’agit de stimuler l’esprit d’innovation chez les incubées.  

A Kara, 20 participantes ont été sélectionnées à l’issue d’un processus, et suivront une formation intensive. La composante s’étendra ensuite aux autres régions du pays. 

Pour rappel, l’initiative NanaTech vise à accompagner l’émergence des femmes entrepreneures et des compétences féminines dans le secteur du numérique, en les dotant notamment de moyens nécessaires pour développer leurs entreprises et contribuer efficacement et durablement à l’économie du pays.

Une mission économique et commerciale d’une vingtaine d’entreprises belges est attendue dans la capitale togolaise en novembre prochain. L’annonce a été faite par l’ambassadrice de la Belgique, Sandrine Platteau, mercredi 10 juillet au Premier ministre, Victoire Tomégah-Dogbé.

Les échanges qui se sont déroulés à la faveur d’une audience à la Primature ont été l’occasion pour la diplomate, d’exposer à la cheffe du gouvernement les différents axes de cette mission et les différents accords qui pourraient être signés.

« La Belgique dispose d'expertise, par exemple, dans le domaine portuaire et celui de la couverture santé médicale. Nous avons des appuis au niveau de l’Union européenne pour soutenir les efforts du pays en matière de résilience, pour faire face à la situation terroriste au nord du pays », a affirmé Sandrine Platteau.

Les discussions ont également porté sur d’autres secteurs qui peuvent intéresser les entreprises belges. Entre autres, l’économie verte, les infrastructures, le transport et les industries numériques.

Au Togo, 75 opérateurs économiques de la région maritime ont été formés pendant trois jours (du 08 au 10 juillet) sur le développement stratégique et la mobilisation de fonds pour les entreprises locales.

La session initiée par la Chambre de commerce et d’industrie du Togo (CCI-Togo) en collaboration avec les cabinets Kekar et Royal Consulting Group, avait pour but d’outiller les participants en gestion d’entreprise.

Concrètement, il s’agissait de transmettre aux participants des informations nécessaires sur le montage et la négociation de dossiers de demande de financement auprès des banques et autres institutions financières. Les travaux ont également porté sur l’élaboration des stratégies de développement.

« Cette formation est nécessaire pour les opérateurs économiques afin de leur permettre de dynamiser leurs économies, et de bien définir une stratégie pour l’entreprise », a indiqué Monlandjo Éric, responsable du cabinet Kekar.

Cette initiative de la CCI-Togo intervient quelques jours après le lancement de « Databiz », une plateforme en ligne destinée à renforcer la visibilité des entreprises.

Au Togo, les efforts visant l’insertion socioprofessionnelle des jeunes s’intensifient. 384 jeunes artisans issus de toutes les communes de la région des Savanes et 20 coopératives du secteur agricole des préfectures de Tône et de Cinkassé ont reçu mardi 09 juillet de la direction de l’emploi des jeunes et du Fonds d’appui aux initiatives économiques des jeunes (FAIEJ), un appui en équipements et kits d’installation.

Il s’agit entre autres, des matériels de coiffure, de maçonnerie, de menuiserie aluminium, de soudure pour les jeunes artisans et des tricycles, batteuses ainsi que des motopompes pour les coopératives agricoles. Le tout pour un montant global de 104,5 millions FCFA.

L’initiative soutenue par la Banque africaine de développement (BAD), s’inscrit dans le cadre du Projet d’appui à l’employabilité et à l’insertion des jeunes dans les secteurs porteurs (PAEIJ-SP) et du Programme d’urgence de renforcement de la résilience et de la sécurité des communautés (PURS).

Lancé en 2016, le PAEIJ-SP vise à créer les conditions d’une croissance inclusive, à travers la promotion de l’entreprenariat et l’auto-emploi des jeunes.

L’Assemblée nationale disposera bientôt d’un pavillon annexe sur son site. Les travaux, entamés depuis plusieurs semaines, se poursuivent normalement, a constaté mardi 09 juillet, le président de l’institution, Kodjo Adedze, lors d’une visite du chantier et des locaux actuels. 

Le bâtiment, une fois achevé, abritera notamment une grande salle destinée aux séances plénières, ainsi que des bureaux modernes pour les députés et le personnel de l’administration, répondant ainsi aux exigences modernes d’une institution parlementaire.

A l’issue de sa visite, Kodjo Adedze a exhorté les différents acteurs du chantier à respecter les délais et les normes préétablis. 

Pour rappel, le nouveau président de la Représentation Nationale a axé le mandat de la nouvelle législature sur l’amélioration de la production législative, et la performance de l'administration parlementaire, entre autres.

Au Togo, l’importation des produits sensibles reste subordonnée à l’obtention d’un certificat de déclaration préalable. La mesure a été rappelée dans un communiqué mardi 09 juillet par le ministre du commerce, de l’artisanat et de la consommation locale, Rose Kayi Mivedor.

La disposition est un arrêté pris depuis 2020, qui énumère les produits concernés. Il s’agit des animaux vivants, des poissons vivants, des juvéniles de poissons, des bières, des boissons gazeuses, des boissons énergisantes, du ciment, du clinker, des denrées alimentaires, des eaux minérales, de la farine de blé, du fer à béton, de l’huile végétale, des produits carnés, des colorants, du riz, des sachets plastiques, des tissus imprimés, des tôles et des tubes PVC.

« Les produits n’ayant pas obtenu le certificat de déclaration préalable d’importation seront saisis et les contrevenants sanctionnés conformément aux textes en vigueur », a précisé le ministre.

La population est invitée à dénoncer les importations frauduleuses au numéro vert 8585.

Au Togo, 400 volontaires d’Engagement Citoyen (VEC) artisans ont bénéficié mardi 09 juillet, de kits d’installation. C’est à travers une cérémonie de remise présidée par le ministre chargé du commerce et de l’artisanat et le ministre du développement à la base.

D’un coût global de 200 millions FCFA, ces kits permettront à ces jeunes artisans en fin de mission de démarrer une activité génératrice de revenus (AGR).

« Je suis extrêmement fière de vous. Cela démontre votre esprit de solidarité et votre engagement à contribuer à la construction du pays. Je vous invite à vous inscrire à la Chambre des Métiers pour bénéficier de formations supplémentaires et de soutien en entrepreneuriat », a indiqué le ministre chargé du commerce et de l’artisanat.

Pour sa part, le directeur général de l’Agence nationale du volontariat au Togo (ANVT) a souligné l’importance du programme de remise de kits qui favorise l’insertion socioprofessionnelle des VEC.

Lancé en 2016, le programme VEC cible les jeunes déscolarisés. Leur mission consiste à assainir et à restaurer l’environnement dans les milieux où ils sont déployés.  À ce jour, 42.000 VEC ont été mobilisés dans les 117 communes du pays.

Au Togo les maires et cadres de l'enseignement des régions des Plateaux, Maritime et Grand Lomé, ont été formés lundi 09 juillet à Kpalimé sur l’appropriation du plan sectoriel de l'éducation (PSE). La session initiée par le ministère des enseignements primaire et secondaire est soutenue par le Pnud et l’Agence française pour le développement (AFD).

Objectif :  susciter une participation plus active des élus locaux et des cadres à la mise en œuvre du plan.

Concrètement, il s’agissait d’amener ces responsables de communes à mieux comprendre leurs rôles et responsabilités dans un contexte de gestion décentralisée.

« Nous voulons que les élus locaux maîtrisent les responsabilités qui leur reviennent dans la gouvernance du système éducatif et qu’ils prennent en compte les questions éducatives dans leurs plans de développement communal », a indiqué Sena Yawo Akakpo Numado, secrétaire permanent du PSE.

Une autre session de formation, à l’endroit des maires des régions Centrale, de la Kara et des Savanes, est prévue dans les prochains jours.

Pour rappel, le Plan sectoriel de l’éducation constitue un instrument de référence qui donne les grandes orientations du système éducatif. Il est subdivisé en cinq chapitres : la stratégie sectorielle, le financement et la mobilisation des ressources, le coût de la mise en œuvre du plan ainsi que les prévisions de financement des partenaires.

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