RTG

RTG

Le ministère de la fonction publique, du travail et du dialogue social vient d’ouvrir un concours de recrutement direct régional pour le compte du ministère de la santé, de l’hygiène publique et de l’accès universel aux soins. Au total, 1628 postes sont à pourvoir, à raison de 170 pour le personnel médical, 1099 le personnel paramédical et 359 en tant que personnel administratif et d’appui.  

Le concours s’adresse aux Togolais des deux sexes. Les candidats doivent être âgés de 18 ans au moins et de 40 ans au plus à la date du concours. Celui des volontaires ou contractuels des administrations, des services publics ou parapublics ayant des expériences antérieures validables pour la retraite, est fixé à 45 ans. 

Les dépôts de candidatures se dérouleront sur la période du 11 avril au 12 mai 2023, avant la date du concours fixée au samedi 17 juin 2023. Les épreuves écrites se feront dans les centres d’écrit de Lomé et de Kara. 

Pour rappel, ce concours vient s’ajouter à ceux lancés en 2021 pour le compte de l’École Nationale des Auxiliaires Médicaux (ENAM), l’École Nationale des Sages-Femmes (ENSF) et l'Ecole Nationale des Aides Sanitaires (ENAS), en vue de renforcer le personnel de santé.  

Le Président du Groupe de la Banque mondiale, David Malpass est arrivé comme prévu ce vendredi 31 mars au Togo, dans le cadre de sa dernière visite officielle à la tête de l’institution financière. Le responsable a été accueilli à son arrivée dans la capitale togolaise par la ministre Sandra Johnson, Secrétaire générale de la Présidence de la République et également Gouverneur pays de la Banque. 

Au menu de ce déplacement historique pour un Président de la Banque Mondiale, plusieurs activités parmi lesquelles une rencontre avec le chef de l’Etat, Faure Essozimna Gnassingbé. 

Pour rappel, le portefeuille de la Banque mondiale comporte à ce jour 18 projets, dont 9 nationaux (d'un montant de 420,10 millions de dollars soit plus de 252 milliards de FCFA), et 9 projets régionaux (d'un montant de 535,53 millions de dollars, soit environ 322 milliards de FCFA).

Le rapport d’évaluation de la qualité des manuels scolaires du Togo a été présenté aux acteurs éducatifs au cours d’une rencontre ouverte jeudi 30 mars à Lomé. Les travaux se sont tenus en présence des partenaires, notamment l’UNESCO, l’AFD et la CONFEMEN. 

Pendant deux jours, les participants ont étudié les résultats de cette évaluation et fait des recommandations dans le but d’améliorer la qualité des manuels scolaires. L’initiative s’inscrivait dans le cadre du projet Ressources Éducatives qui a pour objectif de renforcer l’accès des élèves aux matériels didactiques en vue d’améliorer les résultats scolaires. 

Le projet Ressources Éducatives est mis en œuvre depuis 2020 dans les pays d’Afrique Subsaharienne Francophone dont le Togo. Le programme qui prendra fin en décembre 2024, vient s’ajouter aux nombreuses actions menées par le gouvernement pour renforcer la qualité de l’éducation.  

Lire aussi:

Education : le Togo actualise sa carte scolaire

Un peu plus d’un mois après avoir signé un nouveau cadre de coopération avec le Togo, le système des Nations Unies fait le point avec les institutions de la République. Une séance de travail a été organisée à cet effet, mercredi 29 mars dernier au siège de l’Assemblée nationale. 

L’idée via cette rencontre, qui a réuni des députés et les représentants de près de 11 agences du Système onusien, était de revisiter la coopération avec l’Hémicycle qui s’est engagé dans un plan stratégique de développement institutionnel. 

Si de nombreux efforts ont été déjà consentis au cours des dernières années, permettant d’obtenir des résultats tangibles, les actions se poursuivront. Les agences onusiennes ont d’ailleurs initié un plaidoyer, afin de parvenir à l’adoption de mesures favorables aux femmes, aux déplacés, aux enfants et leurs droits, et à la promotion des politiques sociales inclusives ainsi que des services sociaux de base.

1 SERVICE

Les différents plaidoyers et actions sont en parfaite symbiose avec les préoccupations des députés. Ils trouvent un écho favorable dans le travail fait par ces derniers au sein des différentes commissions permanentes. En outre, l’Assemblée nationale interagit avec le gouvernement, à travers le débat d’orientation budgétaire (DOB), pour la prise en compte et l’allocation des ressources conséquentes à ces différents secteurs. Des recommandations sont également faites, à l’endroit des secteurs défavorisés”, a souligné la cheffe du parlement, Yawa Tsègan, lors des échanges. 

Pour rappel, le nouveau cadre de partenariat couvre la période 2023-2026 pour un montant de 247 millions de dollars soit environ 150 milliards de FCFA.

Au Togo, les travaux d’aménagement se poursuivent sur les tronçons Sarakawa-Kante et Katchamba-Sadori. Des kiosques de péage provisoires seront mis en exercice sur ces tronçons à partir du 3 avril, a annoncé mardi 28 mars, le ministère des travaux publics. 

Ces kiosques sont aménagés à Atétou et à Djabignon et seront exploités en attendant l’achèvement des travaux de construction des postes de péage modernes. Les riverains et usagers de ces tronçons sont invités au civisme et au respect des dispositions prises. 

Pour rappel, de nouveaux tarifs sont en vigueur aux péages depuis l’année dernière. Les prix de passage pour certains véhicules ont été revus à la baisse.

Lire aussi:

Ouverture du poste de péage de Mango

Les étudiants désirant suivre des sessions d'art et de chorégraphie à l’école “Innopraktika & Russian Seasons 2023”, sont invités à postuler aux offres de bourses, a indiqué mardi 28 mars le ministère de la culture et du tourisme. Ces sessions sont prévues de mai à juillet prochains à Saint-Pétersbourg. 

Dans le détail, la session consacrée à l’art est réservée aux étudiants de 21 à 35 ans, titulaires d’une licence en beaux-arts. Elle se tiendra du 22 mai au 09 juin prochains. S’agissant de celle de la chorégraphie, elle concerne les chorégraphes professionnels de 21 à 35 ans et les danseurs professionnels (en danse classique ou contemporaine) de 18 à 30 ans.

Les dossiers de candidatures pour la session d’art peuvent être soumis au plus tard le 03 avril via l’adresse Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. et ceux de la chorégraphie au plus tard le 30 avril à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. ou sur le site dédié.

La capitale togolaise a abrité récemment l’assemblée générale extraordinaire de l'Association des médiateurs des pays membres de l'Union économique et monétaire ouest africaine (AMP-Uemoa). La rencontre qui s’est achevée mercredi 29 mars, a été sanctionnée par une déclaration visant à intensifier la lutte contre le terrorisme et l’extrémisme violent.  

Tenues sous le thème : “Etat des lieux de la situation sécuritaire dans l’espace Uemoa: quelles approches pour les médiateurs”, ces assises ont permis à l’organisation de valider son plan stratégique 2023-2027. 

“La Déclaration de Lomé” adoptée à l'issue des travaux vise à permettre aux Etats de renforcer la sensibilisation des populations contre les menaces et attaques terroristes, ainsi que l'extrémisme violent. Les médiateurs ont formulé des recommandations à l'endroit de l’Uemoa notamment celle d’appuyer davantage les projets de développement dans les zones à fort défi sécuritaire. L’association recommande aussi aux Etats membres, la coopération sécuritaire à travers la mutualisation des forces et des moyens. 

Au terme des trois jours de travaux, la délégation de l’AMP-Uemoa conduite par la présidente Awa Nana-Daboya a été reçue par le Premier ministre, Victoire Tomégah-Dogbé. Les échanges ont porté entre autres, sur la vision de l'association et l’état d’avancement des travaux.

Lire aussi:

Terrorisme et extrémisme violent : à Lomé, les parlementaires planchent sur l’implication de la jeunesse

Après avoir appelé à une mobilisation internationale autour de la Turquie et de la Syrie, victimes il y a presque deux mois de plusieurs séismes meurtriers, le Togo s’est joint à l’élan de solidarité mondiale. Le pays a ainsi effectué un don de 1,5 million de dollars à la Turquie. 

Cette contribution est destinée notamment à panser les plaies de ce pays partenaire, qui a recensé plus de 50 000 morts, et participer à la reconstruction. 

Ce jeudi 30 mars, la représentation d’Ankara à Lomé a remercié le gouvernement pour sa “solidarité” et son “amitié”.

Pour rappel, le Togo et la Turquie entretiennent d’excellentes relations, qui se sont de plus en plus renforcées au cours des dernières années. En octobre 2021, le président turc Recep Tayyip Erdogan avait effectué une visite officielle à Lomé.

Le Centre hospitalier universitaire (CHU) de Kara disposera bientôt d’un centre d’hémodialyse. Le ministère en charge de la santé, le PNUD et le groupe Ecobank ont scellé en ce sens mercredi 29 mars à Lomé, un protocole d’accord tripartite. 

L’entente, paraphée par Moustafa Mijiyawa, Jeremy Awori, nouveau Directeur général de l’institution bancaire panafricaine, et Nabou Diaw, représentante résidente par intérim du programme onusien, prévoit la construction et l’équipement de l’unité. Au total, 500 000 $, soit un peu plus de 300 millions FCFA, ont été mis à disposition par Ecobank via sa fondation, sous la forme d’un don.

Pour le Togo, qui ne dispose jusqu’ici que d’une seule infrastructure de traitement de ce genre installée dans une formation publique (CHU Sylvanus Olympio), il s’agit d’un pas de plus vers l’amélioration de l’accès aux soins pour les populations, en particulier celles du Septentrion. 

L’ouverture d’un service d’hémodialyse au CHU Kara est en phase aussi bien avec le Plan national de développement sanitaire (PNDS) que la feuille de route du gouvernement”, a rappelé le ministre. 

Pour rappel, l'hémodialyse consiste à épurer le sang d’un patient à l'aide d'un rein artificiel. Elle s’adresse particulièrement aux personnes souffrant d'insuffisance rénale. 

L’Office togolais des recettes (OTR) effectue à compter du jeudi 30 mars au Port de Lomé, une vente aux enchères publiques. L’opération prévue à partir de 9h30, concerne dix-sept conteneurs de marchandises.

La participation est soumise au paiement d’une quittance non-remboursable de 25.000 FCFA. “La vente est faite aux enchères publiques au plus offrant et dernier enchérisseur, paiement au comptant et sur place, majoré de 12% avec enlèvement immédiat”, précise le fisc. 

Ces ventes aux enchères, organisées régulièrement par l’OTR sur tout le territoire, concernent généralement des marchandises issues de saisies, ou en souffrance aux douanes.