156 organes de la presse privée vont bénéficier de l’aide de l’Etat à la presse pour le compte de cette année. L’annonce a été faite le mercredi 10 juillet dernier à Lomé, par la Commission de gestion et de suivi de cette facilité, à la faveur d’une rencontre avec les médias.
Sur 162 dossiers évalués, 156 ont été jugés éligibles sur la base de critères et de conditions spécifiques comme le taux de parution, le temps d’antenne, le recrutement de journalistes professionnels, la déclaration à la Caisse nationale de sécurité sociale, la détention de cartes de presse, la durée d’existence. Dans le détail, il s’agit de 5 chaînes de télévision, 36 radios commerciales, 18 radios communautaires, 50 organes de presse écrite et 47 organes de presse en ligne, incluant les web-TV, les webradios et la presse écrite en ligne.
Au total, 150 millions FCFA seront reversés à ces médias pour la période du 1er mai 2023 au 30 avril 2024, sur la base d’une clé de répartition.
Pour rappel, l’aide annuelle de l’Etat à la presse s’inscrit dans une démarche d’amélioration des conditions de travail des professionnels des médias privés du pays.
Au Togo, les acteurs de la santé ont tenu jeudi 11 juillet leur deuxième réunion ordinaire de l’année. La rencontre co-présidée par les ministres Moustapha Mijiyawa de la santé et Jean-Marie Tessi chargé de l’accès universel aux soins, a réuni les acteurs de la pyramide sanitaire et les partenaires en mode virtuel.
A cette assise qui fait suite à celle organisée en début d’année, il était question de faire le suivi des recommandations et établir le bilan des trois mois de mise en œuvre de l’Assurance maladie universelle (AMU). Dans ce sens des propositions ont été faites et seront évaluées lors de la 3ème réunion.
La rencontre a en outre permis de faire une analyse de la situation actuelle de la transfusion sanguine et du rapport annuel de performance 2023 en termes de résultats. Autres sujets évoqués, la gestion de l'épidémie de rougeole et le plan national 2024-2026 de la surveillance intégrée de la maladie et de la riposte.
Pour rappel, au Togo, grâce aux efforts consentis par le gouvernement et ses partenaires ces dernières années, l’accessibilité géographique aux soins de santé est en nette amélioration.
Au Togo, la lutte contre la corruption va se renforcer. La Haute autorité de prévention et de lutte contre la corruption et les infractions assimilées (HAPLUCIA) a en effet signé jeudi 11 juillet, des protocoles d’accord avec des organisations de la société civile engagées dans la lutte contre la corruption.
Ces accords signés en marge de la 8ème édition de la journée africaine de lutte contre la corruption permettront à ces organisations d’être plus crédibles pour accompagner la Haplucia dans ses actions d’éducation et de formation en vue d’un changement des comportements.
De façon concrète, ces accords donnent la possibilité à la société civile de bénéficier de l’accompagnement du projet « Bonne gouvernance » financé par la République fédérale d’Allemagne mis en œuvre par la GIZ.
« La corruption constitue un obstacle important à la gouvernance démocratique, à la protection des droits de l’homme et au développement durable en Afrique. Il est donc important de mener des actions collectives », a indiqué Aba Kimelabalou, président de la Haplucia.
Pour rappel, entre 2018 et 2023, la Haplucia a reçu 88 plaintes et dénonciations relatives aux pots de vin.
Après les épreuves écrites, le concours d’entrée à l’École de formation des officiers des forces armées togolaises (EFOFAT) entre dans sa dernière phase. Les candidats déclarés admissibles sont convoqués ce vendredi 12 juillet, a annoncé mardi 09 juillet, le ministère des armées.
Ils sont en tout, 234 hommes et femmes confondus, attendus au centre d’entraînement aux opérations de maintien de la paix (CEOMP), basé à Adidogomé à Lomé.
Ces derniers dont la liste est déjà publiée dans le quotidien national Togo Presse et affichée dans les brigades de gendarmerie des préfectures, devront se soumettre à une visite médicale préliminaire, puis à des épreuves sportives prévues jusqu’au 17 juillet.
Pour rappel, l’EFOFAT, basée à Pya, a pour mission de former les chefs militaires des FAT.
Au Togo, c’est reparti pour une nouvelle édition du concours « meilleur volontaire de l’année ». L’agence nationale du volontariat (ANVT) a lancé le processus jeudi 11 juillet à Lomé.
Le concours du meilleur volontaire de l’année, pour sa 9e édition, a été lancé ce 11 juillet par l'ANVT à travers une conférence de presse. «Le volontariat et la solidarité», est le thème retenu cette année. Lire la suite sur le ?https://t.co/x27iO1Jnge
— Agence Nationale du volontariat au Togo (@anvt_togo) July 11, 2024
Le concours qui est à sa 9ème édition, est placé cette année sous le thème : « le volontariat et la solidarité ». Il permettra de primer les volontaires qui se sont le mieux illustrés à travers leur contribution au développement de leur communauté d’accueil.
Ouvert jusqu’au 09 août 2024, le concours s’adresse à tout volontaire résidant au Togo ou en mission de volontariat à l’international, ayant une expérience d’au moins six mois. Les formulaires de candidature sont à retirer dans les centres régionaux de volontariat, ou au siège de l’ANVT ou télécharger sur le site web de l’agence.
Pour cette édition, 11 prix seront attribués aux lauréats pour une valeur de plus de 3 millions FCFA. La délégation de l’Union européenne (UE), quant à elle, attribuera des prix aux 5 meilleures femmes du concours.
En rappel, au Togo, le volontariat contribue énormément à la politique de développement communautaire. Depuis son lancement en 2011, le mécanisme a enrôlé plus de 50.000 personnes, dont plus de 50% de femmes.
Au Togo, les actions seront renforcées dans le cadre de la lutte contre l'extrémisme violent. Le Comité Interministériel de Prévention et de Lutte contre l’Extrémisme Violent (CIPLEV) a en effet bénéficié mercredi 10 juillet d'un lot d’équipements roulants et informatiques.
Ce matin, nous avons eu le privilège de remettre des équipements au #CIPLEV, soutenant nos efforts communs contre #extrémismeviolent. Grâce au projet Savanes Tanalafiè, financé par l' Union européenne nous renforçons la #résilience et la #cohésionsociale. #TgTwittos pic.twitter.com/IeunO9A3qY
— Plan International Togo (@PlanIntTogo) July 10, 2024
Ce don offert par l’ONG Plan International Togo a été réceptionné par le ministre de la sécurité, Calixte Madjoulba. Il vise à soutenir les efforts du gouvernement dans la lutte contre l’insécurité au nord du pays.
L’appui, d’une valeur de 121 millions de FCFA, est composé de tablettes, de motos et de leurs accessoires. L’initiative s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du projet « Renforcement de la prévention de l’extrémisme violent, de la cohésion sociale et de la résilience des populations dans la Région des Savanes » initié par Plan Togo et soutenu financièrement par l’Union Européenne.
Pour rappel, le Togo dispose depuis 2022, d’une stratégie nationale de lutte contre l’extrémisme violent.
Le Togo poursuit ses efforts en matière de promotion de la consommation locale. Des manœuvres ont été lancées dans ce sens mercredi 10 juillet à Lomé pour la validation d’une stratégie nationale.
L’initiative portée par le ministère du commerce avec le soutien du Groupe de la Banque mondiale, vise à « accroître significativement la consommation des biens et services locaux, afin de stimuler une croissance économique forte, inclusive et durable ».
Concrètement, le projet s’articule autour de trois axes : renforcer la compétitivité des biens et services locaux, la visibilité et l’accessibilité des produits locaux pour stimuler la consommation locale, ainsi que la gouvernance de la consommation locale.
« La consommation locale constitue l’un des leviers incontournables pour relever les défis auxquels nous sommes confrontés, notamment celui de soutenir et dynamiser l’économie nationale, en favorisant et en valorisant le savoir-faire de nos artisans, des dirigeants des Très petites et moyennes entreprises ainsi que d’autres promoteurs de biens et services locaux », a expliqué Koffi Vinyo Mensah, directeur de cabinet du ministère en charge du commerce.
A ces assises qui prennent fin ce jeudi 11 juillet, des recommandations seront faites pour la mise en œuvre de la stratégie nationale de consommation locale.
Pour rappel, depuis 2020, un mois du « consommer local » se tient chaque année en octobre. L’objectif est de faire la promotion des produits locaux.
Le Togo sera bien présent aux Jeux Olympiques de Paris de 2024. Le pays sera en effet représenté par cinq athlètes, qui ont réussi à décrocher leurs billets qualificatifs respectifs.
Team Togo ?? is Ready for Paris 2024! L'équipe olympique du Togo qui va défendre les couleurs nationales aux Jeux Olympiques Paris 2024 ✨ est connue. Au total, cinq (05) athlètes dont trois (03) femmes ??♀ et deux (02) hommes ??♂ sont qualifiés dans quatre (04) disciplines. pic.twitter.com/E693NOHsyf
— CNOTOGO (@cnotogofficiel) July 8, 2024
En tout, trois femmes et deux hommes défendront les couleurs nationales lors de ces 33èmes olympiades. Il s’agit de Akoko Komlanvi (Aviron), Eloi Adjavon (Triathlon), Naomi Akakpo (Athlétisme), Jordano Daou et Adèle Gaïtou (Natation).
En attendant leur présentation officielle ainsi que la remise du drapeau national, les préparatifs se poursuivent, sous la supervision du Comité national olympique (CNOT).
Le président du #CNOTOGO, @DelademAkpaki, et le 2è VP actuellement en #France, visitent les sites de compétition @Paris2024 dont celui d'Aviron où notre compatriote #AkokoKomlanvi entrera en lice le 27 juillet prochain. #Tginfo #TgTwittos #cnotogo #Aviron #Paris2024 pic.twitter.com/oHY66eJxV8
— CNOTOGO (@cnotogofficiel) July 9, 2024
Depuis quelques jours, une délégation de l’institution faîtière du sport national, conduite par son président, Akpaki Deladem, effectue une visite des principaux sites de compétition des athlètes togolais. L’objectif est de parvenir à décrocher une nouvelle médaille, après celle obtenue par Benjamin Boukpeti aux Jeux de Pékin en 2008.
En rappel, plus de 10 000 athlètes venus du monde entier entreront en lice lors de ces J.O qui démarrent le 25 juillet prochain.
En vacances depuis le 28 juin dernier, les membres de la Représentation nationale renforcent leur proximité avec les populations. Une délégation de députés de la Maritime a entamé dans ce sens, depuis le mercredi 10 juillet, une tournée d’échanges dans les différentes préfectures de la région.
Les députés mettent à profit l'intersession ou vacances parlementaires pour renforcer davantage leur proximité avec les populations. Ce mercredi 10 juillet 2024, une délégation de députés de la région #maritime conduite par le Président de @ParlementTogo, @kodjo_adedze , a entamé… pic.twitter.com/GiVKt9Rl4c
— Assemblée Nationale Togolaise (@ParlementTogo) July 11, 2024
A Kévé (Avé) et à Tsévié (Zio), les rencontres qui ont mobilisé les forces vives des localités (groupements de femmes et de jeunes, chefferie traditionnelle, comités villageois et cantonaux de développement, agents de santé, enseignants, agriculteurs, commerçants, artisans, entre autres) ont été l’occasion pour les élus locaux de présenter les activités menées à l’hémicycle, au cours de la première session ordinaire.
En outre, il s’agissait de rappeler les fondements et implications de la nouvelle constitution qui a vu le passage du pays au régime parlementaire, ainsi que les dispositions transitoires prévues dans ce sens.
L’objectif de cet exercice, selon le président de l’institution, Kodjo Adedze, est “d'aller à l’écoute des populations, prendre en compte leurs doléances, et rechercher des solutions aux différentes préoccupations des localités”.
Pour les administrés, la démarche est louable : “Nous avons formulé des doléances relatives à l’état de nos routes, la disponibilité des engrais pour améliorer la production agricole, l’accès à l’eau potable, entre autres”, a indiqué à la fin des échanges, le Président du conseil préfectoral de chefs traditionnels de Zio, Togbui Passa Folly.
Des activités similaires sont également prévues dans les autres régions du territoire, avec d’autres délégations de députés.
Quelques semaines après son lancement, l’initiative numérique gouvernementale NanaTech entame son déploiement. Le programme a officiellement lancé en début de semaine à Kara, sa composante ‘Immersion’.
Lancement de la composante NanaTech Immersion à Kara Ce lundi 8 juillet 2024 a eu lieu, au palais des congrès de Kara, le lancement officiel de la composante NanaTech Immersion en présence des officiels locaux ainsi que des représentants du Ministère de l'Economie Numérique et… pic.twitter.com/zPELx0gZmq
— Ministère de l'Economie Numérique ?? (@NumeriqueTG) July 10, 2024
Concrètement, cette composante permettra de former un total de 150 femmes togolaises réparties sur toute l’étendue du territoire et disposant d’une activité génératrice de revenus. L’objectif spécifique est notamment de doter les bénéficiaires de compétences numériques et en matière de gestion d’entreprise, afin de les aider à accroître leurs revenus et leur compétitivité sur le marché. En outre, il s’agit de stimuler l’esprit d’innovation chez les incubées.
A Kara, 20 participantes ont été sélectionnées à l’issue d’un processus, et suivront une formation intensive. La composante s’étendra ensuite aux autres régions du pays.
Pour rappel, l’initiative NanaTech vise à accompagner l’émergence des femmes entrepreneures et des compétences féminines dans le secteur du numérique, en les dotant notamment de moyens nécessaires pour développer leurs entreprises et contribuer efficacement et durablement à l’économie du pays.