Togo Officiel

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Les Chefs d’Etat et de Gouvernement de la CEDEAO ont pris ce part ce mercredi 21 février à Accra aux travaux de la 5ème Réunion de la « Task Force présidentielle » sur le programme de la monnaie unique dans l’espace communautaire.

Le président Togolais, président en exercice de l’organisation, SEM Faure Gnassingbé a pris une part active à cette réunion de haut niveau. Avec ses pairs, il a adopté une nouvelle feuille de route qui donne un coup d’accélérateur au projet commun de création d’une monnaie unique. Objectif : atteindre au plus vite la « CEDEAO des peuples » avec un espace économique plus viable.

L’une des grandes décisions contenues dans la nouvelle feuille de route, est la création dès cette année 2018 d’une institution monétaire de la CEDEAO. Elle sera chargée de « fédérer et rationnaliser les multiples institutions existantes et de réduire les critères de convergence de onze (11) points à six ».

Le Chef de l’Etat togolais et président en exercice de la CEDEAO s’est félicité des importantes décisions prises à Accra, qui traduisent les idéaux des pères fondateurs de l’organisation communautaire. Il a, comme ses pairs, réaffirmé son engagement à œuvrer à l’avènement d’une monnaie unique en 2020.

Lomé a abrité du 20 au 21 février 2018, la 18ème Session extraordinaire du Conseil des Ministres de la CEDEAO. Ces assises étaient conduites par le Ministre togolais des Affaires étrangères, Pr Robert Dussey, à la faveur de la Présidence de l’organisation sous régionale du chef de l’Etat SEM Faure Essozimna Gnassingbé. Elles ont été consacrées à l’audition et à la nomination de 17 nouveaux fonctionnaires statutaires.

14 commissaires, 2 directeurs généraux et 1 auditeur général ont reçu l’approbation du Conseil des ministres de la CEDEAO.

Le Togo obtient deux nominations. Le poste du Commissaire au département commerce, douanes et libre circulation est désormais occupé par M. Teï Konzi et celui du Groupe intergouvernemental d'action contre le blanchiment d'argent en Afrique de l'Ouest (GIABA) est occupé par M. Mouhamed Nour-Dine Assindoh.

Un Centre ouest-africain de contrôle et de gestion des épidémies et urgences de santé publique, a vu le jour ce mercredi 22 février à Accra.

Représentant le Chef de l’Etat, SEM Faure Essozimna Gnassingbé, Président en exercice de la CEDEAO et coordonnateur des interventions de lutte contre la maladie à virus Ebola dans la sous-région ouest-africaine, le ministre togolais de la Santé et de la Protection sociale, a procédé à la coupure symbolique du ruban.

La création de ce centre est la résultante du ferme engagement des chefs d’Etat et de gouvernement de la CEDEAO, à riposter plus efficacement et à prévenir d’éventuelles épidémies.

Les dysfonctionnements, le manque d’information et de coordination constatés lors de l’épidémie d’Ebola qui a endeuillé la sous-région (3000 morts), devraient être évités avec l’opérationnalisation de ce nouveau centre.

Des autorités nigérianes, dont le ministre d'État nigérian de la santé et le directeur général adjoint de l'Organisation Ouest Africaine de la Santé (OOAS), Dr Laurent Assogba, ont pris part à la cérémonie d’inauguration.

Désigné par ses pairs pour mener le processus de libéralisation du transport aérien sur le continent, SEM Faure Essozimna Gnassingbé a envoyé une mission au siège de l’Union Africaine à Addis-Abeba. Conduite par le Col Gnama Latta (photo), Directeur Général de l’Agence Nationale de l’Aviation Civile (ANAC), la délégation togolaise a eu une séance de travail ce mardi 20 février avec le département des Infrastructures et de l’Energie de l’UA, dirigé par Cheick Bedda.

Engagé à faire du projet de création du marché unique du transport aérien en Afrique (MUTAA), un succès, le président togolais souhaite une plus forte adhésion des Etats.

A ce jour, 23 pays ont formellement confirmé leur adhésion. La réunion d’Addis-Abeba vise donc à peaufiner une stratégie déjà enclenchée pour faire adhérer 15 nouveux Etats au MUTAA, avant le prochain sommet de l’UA prévu à Nouakchott en juin 2018. Une réunion est également envisagée à cet effet en marge du sommet extraordinaire de l’UA en mars à Kigali.

A Addis-Abeba, deux points focaux, l’un pour l’UA, le Dr David Kajange, et l’autre pour le Togo, le Col Gnama Latta, ont été désignés afin de poursuivre les échanges et de préparer les futures réunions dans le cadre du processus de mise en place du MUTAA.

Le Conseil National de Suivi de la Décentralisation (CNSD) a tenu sa 4ème réunion à Tsévié (35km de Lomé) ce mardi 20 janvier 2018. Présidée par le Premier Ministre Komi Selom Klassou, la rencontre avait pour objectif de faire le point sur le processus de décentralisation en cours dans le pays.

Partant de la déclaration du Chef de l’Etat SEM Faure Essozimna Gnassingbé, lors de ses vœux à la Nation le 03 janvier 2018, le Chef du Gouvernement a réitéré « la ferme volonté » du Gouvernement, sous le leadership du Président de la République, « de faire aboutir le processus de décentralisation en engageant une transformation structurelle nécessaire pour améliorer de manière significative la qualité de vie des populations et pour assurer un développement durable ».

Cette volonté s’est manifestée ces derniers mois, par la prise de décrets et le vote de lois, relatifs à la décentralisation et aux libertés locales, qui consacrent, entre autres, l’organisation territoriale du pays en commune, préfecture et région.

Pour le PM, l’aboutissement du processus de décentralisation, permettra aux nombreux talents, jeunes, femmes et hommes de qualité, de se « mettre au service de leurs communautés respectives et de la nation toute entière en prenant en main la démocratie et la gouvernance à la base ».

La capitale ghanéenne abrite ce mercredi 21 février 2018 une mini-conférence de chefs d’Etat ouest-africains sur le processus de création d’une monnaie unique de la Cedeao.
Le Chef de l’Etat togolais, Faure Essozimna Gnassingbé, prend part à cette rencontre, indique un message posté sur sa page Facebook.

Seront en outre de la partie, ses homologues Nana Akufo-Addo du Ghana, Muhammadu Buhari du Nigeria, Alassane Dramane Ouattara de la Côte d’Ivoire et Mahamadou Issoufou du Niger, qui constituent la « Task force présidentielle ».

Cette mini-conférence devrait permettre l’adoption d’une nouvelle feuille de route en vue d'accéléer le processus de création de la monnaie unique, en ligne avec la recommandation issue de la réunion du 24 octobre 2017 tenue à Niamey, au Niger.

Rappelons qu'elle fait suite aux séances de travail des 17, 18 et 19 janvier 2018 consacrées à l’élaboration du document à soumettre aujourd’hui aux chefs d’Etat et devrait, à terme, s'inscrire dans la perspective de doter la Cedeao d’une monnaie unique à l’horizon 2020.

A Atakpamé, ville située à 158 km de Lomé, a lieu depuis ce lundi, 20 février 2018, une rencontre organisée par l’Autorité nationale pour l’interdiction des armes chimiques au Togo (ANIAC-Togo).

Cette rencontre de cinq jours a pour objectif d’examiner les différents rapports d’activités de l’institution togolaise chargée de lutter contre la prolifération des produits chimiques.

Il est question, au cours des ateliers de travail, d’examiner et d’approuver les rapports moral et financier, le règlement intérieur, le plan d’action 2018-2019, les outils de gestion et le manuel de procédures administratives. Les discussions porteront également sur les différents documents en vue de leur amélioration.

Au cours de la première journée de travail, le Professeur Bruno Pakoupati Boyodé, président de l’ANIAC-Togo, a rappelé les dangers liés aux substances chimiques sur les populations.

L’Assemblée Parlementaire de la Francophonie (APF) a dépêché au Togo un émissaire dans le cadre du dialogue politique ouvert lundi 19 février 2018.

A ce titre, le sénateur Christophe-André Frassa a été reçu, lundi 19 février 2018, par le Chef de l’Etat togolais Faure Essozimna Gnassingbé.

Au micro du confrère Togo Presse, le quotidien d'Etat, il lève un coin de voile sur les attentes de l’organisation qui l’a mandaté : « Nous espérons tous, que ce soit la communauté internationale ou l’Assemblée parlementaire de la Francophonie, que ce qui va sortir de ces discussions, de ces pourparlers entre la majorité et l’opposition soit accepté par tous… ».

Cette initiative témoigne de l’attachement de la communauté internationale en général et de l’OIF en particulier, à la résolution de la crise qui prévaut au Togo depuis six mois déjà.

Notons que l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF), dont l’APF est un organe, avait offert, dès le début de la crise politique, ses bons offices aux acteurs politiques, mais sans suite.

Le Chef de l’Etat togolais Faure Essozimna Gnassingbé se félicite de l’ouverture du dialogue entre les acteurs politiques togolais.

A cet effet, il exprime toute sa reconnaissance à ses homologues, notamment le Guinéen Alpha Condé et le Ghanéen Nana Akufo-Addo pour leur sollicitude à l’endroit du peuple togolais.

Il remercie également ses « compatriotes pour leur sens de responsabilité » et se déclare optimiste quant à la bonne issue du dialogue : « Je reste convaincu que nous parviendrons entre filles et fils d’une même nation, à nous entendre sur l’essentiel ».

Dans le même esprit, il convie chaque acteur à « promouvoir la tolérance et à demeurer préoccupé par la Paix et le Développement de notre cher pays ».

C’est en substance, le message que le président togolais a écrit sur sa page Facebook ce mardi 20 février 2018.

 

La 1ère journée des discussions politiques entre la majorité présidentielle et la Coalition des 14, sous l’égide de Nana Akufo-Addo, a déjà accouché de résultats probants. Ainsi, 45 personnes sur les 92 détenues dans le cadre des manifestations politiques depuis le 19 août 2017, bénéficient-elles d’une amnistie, signée lundi 19 février 2018. En ce qui concerne les autres détenus, toujours dans le cadre des manifestations, leurs dossiers seront traités au cas par cas.

En outre, une batterie d’autres mesures d’apaisement est annoncée au sortir de cette rencontre, constate-t-on à la lecture du communiqué récapitulant les acquis majeurs et les décisions adoptées.

Dans l’esprit des mesures de décrispation, 7 personnes détenues dans les affaires d’incendies des marchés et de Kara seront présentées d’ici au mercredi 21 février 2018 pour être jugées. Le juge étudiera leur demande de mise en liberté provisoire.

Compte tenu de l’inscription du point « code électoral » et du point « réformes constitutionnelles » à l’ordre du jour du dialogue, la coalition de l’opposition a fait part de sa préoccupation, au regard du maintien du processus électoral engagé en vue des scrutins législatifs et des locaux.

Pour sa part, la majorité au pouvoir a obtenu la suspension des manifestations publiques pendant le dialogue.

Le point relatif au retour à la constitution de 1992 a été évoqué et plusieurs interventions ont eu lieu à ce propos.

Les discussions sont maintenant ajournées. Elles devront reprendre vendredi 23 février 2018.

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