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Le Chef de l’Etat togolais, SEM Faure Essozimna Gnassingbé, désigné « champion » du Marché Unique du Transport Aérien en Afrique par ses pairs, a présidé ce 28 mai 2018, la quatrième réunion du groupe de travail ministériel sur l’opérationnalisation de ce traité.

Le président Gnassingbé a apporté un coup d’accélérateur aux travaux en suivant de bout en bout la cérémonie d’ouverture de cette quatrième rencontre du groupe de travail ministériel, ouverte en présence également du Président de la Commission de l'Union africaine Mahamat Faki.

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En rappel, les travaux de cette réunion portent sur l’harmonisation des Accords Bilatéraux sur les Services Aériens (BASA) en vue d’un protocole d’entente, et sur le renouvellement du bureau du groupe de travail ministériel.

Le 22 mai 2018, en prélude à cette réunion, les compagnies Asky Airlines et Rwandair ont scellé un accord bilatéral, balisant ainsi la voie aux autres signataires du MUTAA.

A l’occasion des 53è Assemblées annuelles de la Banque Africaine de Développement (BAD) tenues du 21 au 25 mai 2018 à Busan, en République sud-coréenne, le jeune Togolais Ayi Renaud Dossavi-Alipoeh a remporté le premier prix du concours « L’Afrique De Mes Rêves ».

Ecrivain et bloggeur togolais, ce jeune a décroché ce prix face à plusieurs concurrents d’autres pays africains. Il s’agit notamment de Ramatou Ly de la Côte d'Ivoire, de Cédric Aymar Some du Burkina Faso et de Géraldine Mukumbi du Zimbabwe. Ceux-ci forment avec lui le quartet qui a reçu les honneurs de la banque panafricaine.

La BAD, ravie de cette expérience, a adressé, ses remerciements à tous ceux qui ont pris part à cette compétition littéraire : « À tous les rêveurs africains, merci d’avoir participé au concours d’écriture L’Afrique de mes rêves et partagé avec nous vos espoirs et aspirations pour l’Afrique ». En dehors de la littérature, notons que le jeune lauréat togolais aime l’histoire, la musique classique et la littérature.

Biologiste de formation, il a publié à ce jour cinq livres dont « Rosées Lointaines », « Chants de Sable » (poésie, respectivement en 2015 et 2018) « Nous et l’Histoire » (Essai sur l’histoire africaine, en 2018) et « Lèvres Ephémères ».

Yao DOGBO est un ingénieur informaticien togolais qui depuis 40 ans fait des merveilles dans la conception de solutions technologiques sous la marque CERGI, pour accompagner notamment le secteur bancaire .

Très connu dans le milieu financier, avec en moyenne une trentaine de grands groupes qui utilisent ses logiciels pour l’administration de leurs produits à l'endroit de leur clientèle et pour leur gestion interne, Yao DOGBO a reçu au cours du mois d’avril 2018 à Abidjan le Grand Prix des nouvelles technologies des Bâtisseurs de l’économie africaine.

C’était à l’occasion du 9ème forum des Bâtisseurs de l’Economie Africaine. Ce forum regroupe des hommes et des femmes qui « font l’Afrique » et se retrouvent chaque année pour réfléchir sur les stratégies pouvant permettre à l’Afrique de mieux profiter des mutations en cours dans le monde.

Lomé, la capitale togolaise va accueillir les 29 et 30 mai la 107ème session du Conseil des ministres des pays Afrique-Caraïbe-Pacifique (ACP). En prélude à ce rendez-vous, s’est ouvert ce dimanche une session extraordinaire consacrée aux négociations sur l’après-Cotonou.

La 107eme session dont le thème est : « Accompagner la transformation économique et sociale des États ACP aux niveaux régional, continental et mondial », permettra de débattre de l’avenir du Groupe ACP et de ses relations avec l’Union européenne. Un accent particulier sera mis sur son repositionnement comme acteur mondial.

Les ministres se pencheront surtout sur les questions liées aux produits de base et au commerce, le développement économique durable, le financement du développement, la révision de l’Accord de Georgetown et la promotion de l’agenda du changement climatique.

Cette rencontre sera suivie de la 43e session du comité ministériel ACP/UE sur le financement du développement du 31 mai au 1er juin 2018 à Lomé. Les 79 pays d’Afrique subsaharienne, des Caraïbes et du Pacifique s’exprimeront d’une seule voix lors de l’adoption d’un mandat pour les négociations avec l’UE en vue d’un accord post-Cotonou. Il s’agira pour les participants de négocier un nouvel accord de partenariat ACP-UE après 2020.

En marge de ces deux événements, plusieurs délégations ont foulé le sol togolais depuis samedi dernier. Parmi les arrivées notoires, signalons le président de la commission de l’Union Africaine, Moussa Fakir Mahamat, Patrick Gomes, le Secrétaire général des ACP et Kamina Johnson Smith, la cheffe de la diplomatie jamaïcaine et présidente du conseil des ACP. Ils ont tous été accueillis par le chef de la diplomatie togolaise, le professeur Robert Dussey.

Pour rappel, le Conseil des ministres ACP est le principal organe de décision du Groupe ACP après le Sommet des chefs d'État et de gouvernement.

Son rêve : bâtir une entreprise à succès continental à partir du Togo. Pour y arriver, Edeh Dona ETCHRI peut compter sur un impressionnant talent oratoire et une détermination féroce. Car à 31 ans, il a déjà une solide carrière d’entrepreneur derrière lui.

Le parcours est pour le moins atypique. Baccalauréat scientifique, études supérieures d’anglais et de gestion... Avant de découvrir il y a bientôt dix ans le monde de nouvelles technologies en autodidacte.

Il créé en 2011, EDZEPROCOM INFO, sa première entreprise avec laquelle il lance « E-orga », premier système de sécurisation de tickets, de billets et de documents au Togo. « Le E-orga est venu au secours des organisateurs de spectacle et de ceux qui travaillent dans la billetterie». Son système de sécurisation lui vaut en 2014 le prix de l’émergence professionnelle de l’Agence Nationale pour la Promotion de Garantie de Financement (ANPGF). Un système qui a été sollicité par les éliminatoires CAN MONDIAL AFRIQUE DU SUD 2013 comptant pour le match Togo-Gabon, ou encore par la 10è foire internationale de Lomé et par la plupart des grands spectacles à Lomé.

Il lance dans la foulée MIABETOGO MARKET, une plateforme de E-commerce afin d’offrir de la visibilité aux entreprises. Puis WassaSMS une plateforme de SMS marketing qui permet aux entreprises de communiquer avec leur clientèle.

Son application numérique citoyenne Doomevi destinée à favoriser la démocratie participative lui permet d’être lauréat connexions citoyennes 2016 parmi les 15 jeunes d’Afrique francophone sélectionnés par CFI Médias (Agence Française de la Coopération Média). Ce qui lui permet de renforcer ses capacités en gestion de projets numériques avec des formations à Paris, au Sénégal, au Bénin et en Côte d’ivoire au cours de l’année de 2017.

A la tête désormais de la société CLIN SARLU, Dona Edeh ETCHRI a créé «e-agribusiness », une application destinée à « révolutionner le secteur agricole au Togo en prenant en compte les populations à la base ».

Il s’agit en réalité d’une plateforme de mise en relation des acteurs du secteur agricole. Elle permet aux agriculteurs (y compris les plus vulnérables) vivant dans les zones les plus reculées et ne disposant ni d'Internet, ni de smartphones, de trouver de nouveaux débouchés pour leurs productions sur les marchés locaux, régionaux et internationaux. Et d’autre part il met à la disposition des acheteurs des informations pertinentes pour faciliter leurs achats.

Le même système permet de recevoir des conseils d’experts sur les nouvelles méthodes culturales et la météo par SMS pour éviter les risques liés aux aléas climatiques lors de l'étape de production.

Le mérite de la plateforme est également de disposer d’un centre d’appel en langues locales qui permet aux acteurs, la plupart étant analphabètes, d’accéder à des fonctionnalités disponibles sur le canal SMS, USSD, application mobile (play store) et le site web (www.e-agribusiness.com). A noter encore l’introduction des services tels que l’épargne, le financement agricole, l’assurance (santé, individuel accident, perte de récolte, matériel agricole) avec les institutions bancaires et d’assurance classiques.

Un projet avec lequel il remporte en mai 2016 le premier prix des applications innovantes au Togo et le premier prix du Hackathon AgriPME 2017.

A trois mois du lancement du produit, depuis le 10 mai 2017, avec seulement quelques fonctionnalités offertes (la publication, la demande de contact, les alertes sur la disponibilité des produits agricoles par SMS, la consultation des prix du marché et le service météo pour les champs) e-agribusiness compte déjà plus de 3000 utilisateurs inscrits et on peut y retrouver des annonces provenant du Togo, du Bénin, du Burkina Faso, de la Guinée et de la Côte d’Ivoire.

Prochaine étape, porter le nombre de ses salariés de 7 à 20 pour « bien couvrir le territoire », former le plus grand nombre d’agriculteurs à l’utilisation du système et ouvrir très vite les services financiers afin d’accélérer l’inclusion technologique et financière, et ainsi contribuer à l’amélioration véritable des conditions de vie des acteurs.

L’agriculture occupe plus de 70% de la population active et contribue à hauteur de 40% au PIB du Togo, l’introduction de cette innovation contribuera à coup sûr à la faire décoller davantage.

Les conséquences économiques de la crise sociopolitique émaillée de violences, en 2017, ne permettront pas de mobiliser les recettes escomptées pour le compte de cette année. Le gouvernement se voit donc contraint de revoir à la baisse son budget 2018 afin de satisfaire aux critères de bonne gestion convenus avec le FMI. 

« Face aux nombreux besoins à satisfaire, conjugués aux défis de mobilisation des ressources internes, le gouvernement a jugé utile de s’orienter vers l’optimisation des dépenses publiques. La nécessité de prendre en compte ces évolutions, amène à modifier le budget 2018 en cours d’exécution », selon le conseil des ministres de ce vendredi 25 mai, qui annonce une légère coupe de 1%. 

« Le budget rectifié s’équilibre en recettes et en dépenses à 1 308 134 862 000 FCFA contre 1 318 500 000 000 FCFA dans la loi de finances initiale soit une baisse de 1%. », précise le conseil.

Ainsi, le président togolais Faure Gnassingbé a instruit chaque département à « se rendre plus disponible et à étudier les projets proposés par le secteur privé national et international dans le souci d’augmenter significativement la part des investissements privés dans l’économie nationale. »

Lors du conseil des ministres tenu le 25 mai 2018, les membres du gouvernement ont été invités à respecter le plan prévisionnel des marchés publics. Il s’agit d’améliorer la consommation des crédits alloués aux différents départements gouvernementaux en élaborant et en appliquant de manière rigoureuse, le Plan de passation des marchés publics.

« Les marchés doivent être conclus, exécutés et payés à partir des crédits de l’exercice budgétaire de l’année » a-t-il été précisé.

Le plan de passation des marchés publics « permet non seulement d’alimenter le plan d’engagement, mais aussi d’aider à estimer les besoins de trésorerie au sein de l’administration publique pour effectuer à temps les paiements et réduire les risques liés à l’insuffisance des fonds disponibles pour financer l’exécution complète des marchés ».

La mission de Bloomberg New Energy Finance (BNEF) dans le cadre de la réalisation de l’étude indépendante Climatescope 2018, a pris fin ce vendredi 25 mai 2018 après trois jours de travaux intensifs.

Cette mission sur l’attractivité des investissements dans le secteur des énergies propres qui a été conduite par Madame Eléonore LAZAT s’est bien déroulée en conformité avec les objectifs fixés. Les travaux de la mission ont permis d’échanger sur l’état des lieux et les perspectives des domaines clés de l’étude, notamment, le cadre institutionnel et réglementaire du secteur, les investissements et les financements, les chaines de valeur des secteurs des énergies à faible teneur en carbone et des énergies propres et, les activités de gestion des gaz à effets de serre. Les résultats de cette étude seront disponibles dans la période Octobre-Novembre 2018.

La délégation s’est félicitée de la préparation efficace de cette mission par la partie nationale togolaise. Elle a tenu à remercier Son Excellence Monsieur Ably BIDAMON, Ministre des Mines et de l’Energie et Madame Sandra Ablamba JOHNSON, Coordonnateur National de la Cellule Climat des Affaires auprès de la Présidence, pour l’efficacité de leur coordination stratégique et technique. La délégation a également exprimé sa gratitude à Madame Ekoué Dédé, Ministre, Conseillère du Président de la République, pour son appui depuis le début du processus et pour sa contribution à la réussite de cette mission.

Le gouvernement togolais remercie les acteurs de l’administration publique, du secteur privé, de la société civile et les partenaires au développement pour leur contribution de qualité aux travaux de la mission.

Les autorités togolaises ont témoigné leur gratitude à la société Bloomberg New Energy Finance pour l’efficace coopération pendant la mission et exprimé leur souhait d’établir avec elle un partenariat stratégique pour accompagner notre pays dans ses efforts du développement des énergies renouvelables.

Le gouvernement togolais saisit cette opportunité pour renouveler ses remerciements à tous les partenaires au développement qui l’accompagnent dans le développement du secteur de l’énergie et, en particulier dans la promotion des énergies renouvelables.

Les participants du secteur privé et de la société civile se sont félicités d’être associés à cette mission et ont indiqué leur intérêt à poursuivre, au niveau national, les échanges avec le gouvernement, sur l’amélioration du cadre d’attractivité de l’investissement dans le secteur des énergies renouvelables et sur leur participation efficace à la promotion de ce secteur prioritaire.

Il faut noter que conformément à son Plan National de Développement (PND) et aux Objectifs de Développement Durable (ODD), le Togo ambitionne d’atteindre d’ici 2030, un taux d’électrification de 100% avec 50 % d’énergies renouvelables dans son mix énergétique, d’assurer son indépendance énergétique, et de contribuer à une meilleure prise en compte des aspects liés aux changements climatiques, en ligne avec les engagements pris au niveau international, notamment à travers l’Accord de Paris. L’atteinte de ces ambitions nécessite une mobilisation significative de financements privés en complément aux ressources publiques.

A la lumière de ce constat, les parties prenantes ont relevé l’importance de capitaliser les résultats de cette étude pour accompagner les efforts du gouvernement en matière de mobilisation d’investissements pour le secteur des énergies renouvelables.

De manière plus spécifique, les travaux ont recommandé que notre pays exploite les résultats de Climatescope pour :

  1. donner une visibilité mondiale accrue aux efforts fournis par le Togo pour créer un climat d’affaires favorable pour la promotion des énergies renouvelables ;
  2. informer un large éventail d’investisseurs internationaux et d’institutions de financement, des opportunités présentes et des potentialités futures qu’offre le secteur de l’énergie propre au Togo ; 

  3. mettre en exergue sur le plan international, les efforts faits par le Togo dans la mise en œuvre de sa « Contribution Déterminée au Niveau National (CDN) dans le cadre de la Convention Cadre Des Nations Unies sur les Changements Climatiques (CCNUCC), notamment les engagements en matière de mesures d’atténuation de gaz à effets de serre ;
  4. mettre en place un processus multi-acteurs d’identification des avantages comparatifs du Togo à renforcer et des défis à relever pour offrir aux investisseurs privés, un cadre plus attrayant et compétitif en matière d’énergies renouvelables, en tirant des leçons de l’expérience et de l’évolution des 99 autres pays couverts par l’étude Climatescope de Bloomberg New Energy Finance. 

  5. convenir d’une feuille de route pour améliorer progressivement l’attractivité des investissements dans le secteur des énergies renouvelables en capitalisant sur l’approche utilisée par le Togo pour l’amélioration du Doing Business. 


Pour tirer le meilleur profit de cet exercice, le gouvernement togolais envisage organiser après la publication du rapport de l’étude, un atelier de capitalisation des résultats afin d’en tirer les implications d’actions pour une meilleure attractivité et une compétitivité accrue du secteur des énergies renouvelables, un secteur clé pour la croissance économique et le bien-être des populations.

Le gouvernement exprime sa profonde gratitude au Centre Régional de Collaboration de la BOAD/CNUCC et à la Banque Mondiale qui ont signifié au cours de la mission, leur disponibilité à l’accompagner dans la réalisation de cet atelier de capitalisation de l’étude.

La collecte des données de l’étude se poursuivant jusqu’à fin juin 2018, la Cellule Climat des Affaires de la Présidence et le Ministère des Mines et de l’Energie appellent les parties prenantes impliquées à fournir après cette mission, toutes les informations complémentaires pertinentes pour une analyse optimale de l’attractivité du Togo en matière d’investissements dans le secteur des énergies propres.

Pour plus d’informations, veuillez s’il vous plait vous référer à l’adresse ci-dessous :

Cellule Climat Des Affaires (CCA)


Présidence de la République Togolaise


secretariatccatogo at gmail.com

ou cca.togofirst at gmail.com

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Du 24 au 25 mai, les présidents d’institutions publiques et les secrétaires généraux des ministères ont été outillés pour mieux comprendre et maitriser la démarche d’élaboration du programme budgétaire et de son processus de mise en œuvre, en vue de soutenir le travail des équipes ministérielles. Toute chose qui facilitera l’adoption en conseil des ministres.

L’initiative émane du Ministère de l’économie et des finances, appuyé par l’Union Européenne (UE). Les échanges ont été conduits par le cabinet Consultant-ICDI, dans le cadre d'un séminaire-conférence de haut niveau, sous le thème : «Fonction, rôle et responsabilité des ordonnateurs du budget

Cette formation entre dans le cadre des efforts de l’UEMOA pour instaurer plus de transparence et de performance dans la gestion des finances publiques.

Ce renforcement des capacités des ordonnateurs togolais du budget survient néanmoins avec du retard. En effet, à compter de fin 2016, et conformément aux directives de l’UEMOA, le Togo est obligé de ne plus voter son budget par titre et par service administratif, mais par programme et par dotation. Or, les acteurs concernés n’étaient jusque-là pas imprégnés des nouveaux mécanismes à mettre en œuvre à cette fin. D’où l’opportunité de ce séminaire-conférence.

Il faut également préciser que plusieurs partenaires techniques et financiers dont le PNUD, la BAD ou la Banque mondiale soutiennent les efforts du Togo pour une meilleure gestion du budget.

Le gratin mondial de la tech a installé ses quartiers à Paris depuis ce 24 mai, avec l’ouverture de la troisième édition du grand salon Vivatech. Trois jours pour permettre aux startups du monde entier de présenter leurs projets et nouvelles inventions ou mieux, d’aller à la rencontre d’autres acteurs de ce secteur.

Pour cette année, l’Afrique est fortement représentée avec plus de 100 startups. A l’instar des ténors du numérique du continent, le Togo est représenté par une délégation de 10 startups menées par la ministre des Postes et de l’économie numérique, Cina Lawson.

L’occasion pour ces jeunes entrepreneurs de rencontrer les acteurs majeurs de la scène tech internationale, notamment les patrons les plus importants de ce secteur, et de présenter leurs idées qui pourraient façonner le monde de demain.

Sont notamment présents à cet événement, Edem Fiadjoe, Ceo de JetSolutions, et Helton Yawovi, Ceo de DashmakeStartup, deux jeunes togolais de la diaspora.  Edeh Dona Etchri, promoteur de E-agribusiness, une plateforme numérique qui met en relation les paysans et les acheteurs, commerçants ou entreprises, est également présents ainsi que d’autres jeunes entrepreneurs, férus du digital.

Cette édition, placée sous le patronage du président français Emmanuel Macron, est surtout marquée par la présence de grandes personnalités telle que Mark Zuckerberg, le patron de Facebook, Paul Kagamé, le président du Rwanda ou Tony Elumelu, le président de United Bank of Africa (UBA).

Le président français a d’ailleurs promis d’investir pas moins de 65 millions d’euros pour faire décoller les start-ups africaines.