La Direction des bourses et stages (DBS) a dévoilé le lundi 16 septembre, les résultats définitifs des bacheliers retenus pour bénéficier des bourses d’études au Maroc au titre de l’année académique 2024-2025. En tout, 117 candidats ont été sélectionnés après l’appel à candidatures lancé en avril dernier.
#MESR #Togo
— Kanka-Malik Natchaba (@kmnatchaba) September 16, 2024
La liste des étudiants retenus pour la bourse marocaine est disponible en ligne et à la DBS. Bravo aux jeunes retenus. À noter que depuis quelques années, ces bourses sont réorientées vers les secteurs prioritaires notre économie (médecine, informatique, sciences de… pic.twitter.com/x4xzl0G076
Ces bourses mises à la disposition du gouvernement par l’Agence marocaine de coopération internationale (AMCI) sont orientées vers les domaines prioritaires. Entre autres, l’ingénierie, les sciences, la médecine, l'agriculture, l’informatique et l’architecture. L’objectif est de renforcer les compétences nationales dans des secteurs clés, répondant aux besoins de développement du pays.
Pour rappel, d’autres candidatures ont été récemment ouvertes pour les bourses d'études du Commonwealth et du Japon. Depuis 2021, des démarches sont entreprises pour renforcer le système de suivi de l’offre des bourses.
Au Togo, les acteurs du secteur agricole se sont réunis en fin de semaine écoulée pour échanger sur les défis liés à l'irrigation. Ceci, à l’occasion de la 39ème journée du Comité permanent inter-États de lutte contre la sécheresse dans le Sahel (CILSS).
L’événement, placé sous le thème : « Des systèmes irrigués performants et durables pour une agriculture résiliente, contribuant à la sécurité alimentaire et à la croissance économique », a permis aux participants de dresser un état des lieux de l’irrigation au Togo et de proposer des recommandations pour renforcer la résilience face aux changements climatiques.
Concrètement, les terres irrigables couvrent actuellement une superficie de 536 800 hectares sur les 3,6 millions de terres cultivables disponibles. En termes de réalisations, on note l’aménagement de 2538 hectares de bas-fonds pour la production de riz et de légumes, la construction de 277 forages, et le déploiement de 3500 kits d'irrigation solaire subventionnés. Malgré ces initiatives, plusieurs défis persistent, notamment l'insuffisance de financements, le coût élevé des équipements et le manque d’infrastructures pour la mobilisation de l’eau.
Les recommandations
Face à ces difficultés, plusieurs recommandations ont été formulées lors de la rencontre pour améliorer l’irrigation. Parmi les propositions phares, la création d’une direction spécialisée dans l’hydraulique villageoise, l'élaboration d'une stratégie nationale d'irrigation et la formation des agriculteurs aux techniques modernes d'irrigation pour renforcer leurs capacités et garantir une gestion durable des ressources hydriques.
Créé en 1973, le CILSS regroupe 13 États membres dont le Togo, et joue un rôle clé dans la lutte contre la sécheresse et la promotion de la sécurité alimentaire dans le Sahel et en Afrique de l’Ouest.
Au Togo, la nouvelle année académique a officiellement repris lundi 16 septembre sur toute l’étendue du territoire. En tout, plus de trois millions d’apprenants, toutes catégories confondues, ont repris le chemin des classes.
A l’orée de ce nouveau cycle scolaire, le gouvernement, déjà engagé dans une politique d’amélioration du secteur, s’est fixé sept priorités. Objectif, transformer en profondeur le système éducatif togolais.
L’année scolaire 2024-2025 s’inscrit sous le signe de la transformation éducative avec sept priorités clés. #GouvTg#EducationTg pic.twitter.com/AxlP5xdUkm
— Gouvernement Togolais/Togolese Government (@GouvTg) September 16, 2024
Ecoles-projets
Évoqué ces dernières années, le premier point d’attention de l’exécutif sera celui des écoles-projets.
Concrètement, chaque établissement scolaire devra élaborer un projet qui est la résultante des apprentissages. Entre autres projets indexés par le ministère des enseignements primaire et secondaire, le montage et l’installation de l’énergie solaire pour l’éclairage d’une salle de classe au moins, avec la mise en application des manipulations en électricité, la fabrication de filtre à eau pour faire face au déficit d’eau potable après les activités d’EPS, la création de jardin potager, le reboisement d’espèces végétales appropriées, ou encore la programmation de cours d’informatique pour les établissements ayant été dotés d’ordinateurs.
Les projets bénéficieront d’un accompagnement, avec la mise à disposition de documentations de synthèse, de matériel et de personnes ressources. “Chaque école doit assumer ses responsabilités”, a insisté le ministre, Dodzi Kokoroko, à l’endroit des responsables éducatifs.
Déploiement optimal et efficient du personnel enseignant et administratif
La deuxième priorité gouvernementale sera le déploiement optimal et efficient du personnel enseignant et administratif. Dans ce sens, la numérisation des outils de gestion aboutira, dès cette rentrée, à des alertes et à un suivi plus affiné des allocations.
Également, les pertes du temps d’apprentissage des élèves seront réduites par les mécanismes d’alerte et le personnel d’encadrement, qui sera déployé en nombre dans toutes les circonscriptions pédagogiques, et doté d’outils spécifiques.
Pérennisation de la formation initiale
La formation initiale sera pérennisée avec la poursuite du recrutement et de la formation des élèves-professeurs d’écoles (EPE). D’ailleurs, il est prévu pour décembre 2024, l’enrôlement d’une nouvelle promotion.
Evaluation
Pour améliorer l’élaboration des stratégies éducatives, un système d’évaluation sera mis en place. De façon concrète, il s’agira de doter le secteur éducatif d’outils basiques d’identification de besoins d’apprentissages, comme le fichier d’immatriculation des élèves, la notation par notion, ou encore la fiche de performance des élèves.
Des actions ont d’ores et déjà été menées en amont par les responsables régionaux de l’éducation et leurs démembrements, pour une mise en œuvre immédiate du système.
Formation continue
La formation continue sera renforcée, avec notamment un recours à la digitalisation. Il est ainsi envisagé un schéma directeur à divers niveaux, pour prendre en compte les besoins des élèves et des enseignants, de manière générale et spécifique.
L’ambition pour le gouvernement est de combler définitivement le gap d’effectif des enseignants (estimé à 7% actuellement et projeté à 0% après le récent concours de recrutement).
Implication des acteurs et partenaires
Pour mener à bien les différents chantiers, le gouvernement entend poursuivre et renforcer l’implication des différents acteurs et partenaires du secteur éducatif.
Dans ce sens, le ministère, les directions régionales et les inspections poursuivront les échanges avec les communes et les régions, dans la mise en œuvre des plans locaux de développement et d’aménagement du territoire. Ceci, afin de faciliter notamment par les infrastructures (pistes, routes, ponts…), le ralliement des localités, supprimant ainsi la nécessité de construire de nouveaux CEG ou lycées. La collaboration sera également accentuée, sur la sécurisation des domaines fonciers pour la mise en œuvre de la carte scolaire, ainsi que sur la mobilisation de personnes ressources pour des conférences d’actualité au profit des apprenants.
“L’objectif est d’ancrer davantage l’école dans l’environnement local et national pour relever les défis communs”, explique le ministre.
Concrétisation des 10 orientations de l’année 23-24
Enfin, la dernière des priorités gouvernementales sera de concrétiser les dix orientations édictées pour la précédente année scolaire (2023-2024).
Dans cette optique, la disponibilité des manuels (sciences humaines et citoyenneté) dans les sections du préscolaire et les classes du primaire sera effective. En outre, l’élaboration des manuels se poursuivra pour les autres niveaux.
Sur le plan de l’accompagnement et de la discipline, le nouveau rôle des surveillants généraux, formés en avril dernier et devenus des Conseillers principaux d’éducation (CPE), sera effectif. De fait, leur nouvelle mission sera d’assurer la discipline et l’autodiscipline, ainsi que l’accompagnement de l'élève dans la réussite de son projet scolaire personnel. Ce qui devrait, selon les prévisions, contribuer à réduire l’échec scolaire, les violences de toutes sortes et la déperdition.
“Les actions entamées pour une école moderne se poursuivront. Nous sommes confiants que la mise en œuvre de ces différents axes permettra à notre système éducatif de poursuivre sa modernisation, et de répondre, tant aux attentes de nos populations qu’aux exigences de développement dans un environnement durable dans lequel la cohésion nationale, les valeurs citoyennes, la culture scientifique et les NTIC sont primordiales”, a assuré Dodzi Kokoroko.
Lancée il y a un mois, la première phase de formation intensive (NanaTech Lab) du programme NanaTech s’est achevée le vendredi 13 septembre dernier à Lomé. Ceci, à l’issue d’une session de pitch et de remise de distinctions aux participantes.
L’initiative portée par le ministère de l’économie numérique a permis de renforcer les capacités d’une cinquantaine de femmes sur l’entrepreneuriat numérique. A l’issue du pitch, trois projets ont été sélectionnés parmi les neuf présentés au jury composé de 5 personnes dont une en ligne depuis le Nigéria. Dans le détail, les projets primés proposent des solutions numériques dans les secteurs de la santé, l’éducation, et la construction.
Un accompagnement de trois mois
La dernière phase du programme NanaTech Lab sera marquée par un accompagnement de trois mois, durant lequel toutes les équipes bénéficieront d’un soutien pour transformer leur idée en produit minimum viable.
« Nous devons continuer à bâtir un environnement où l’innovation et la créativité se rejoignent, et où les femmes jouent un rôle essentiel dans la transformation numérique et économique du Togo », a indiqué Bouto Piyabélan, directrice projet TIC à lʼOrganisme de mise en œuvre du millennium challenge account - Togo (OMCA Togo), partenaire de l’initiative.
En rappel, NanaTech s’inscrit dans une vision gouvernementale d’identification et de promotion des talents féminins dans le secteur des études et de l'information.
Au Togo, l’engagement se poursuit dans le cadre de la modernisation et la digitalisation des services publics. Depuis le début de l’année, plusieurs réformes ont été mises en œuvre, afin d’améliorer le climat des affaires et simplifier davantage les démarches administratives pour les citoyens et les entreprises.
Interopérabilité des plateformes administratives
L'une des réformes majeures a été l'interopérabilité des principales plateformes administratives. Désormais, des services tels que la Direction générale de la documentation nationale (DGDN), le Centre de formalités des entreprises (CFE) et le Registre du commerce et du crédit mobilier (RCCM) sont connectés, ce qui permet aux utilisateurs de réaliser plusieurs démarches à travers un seul canal. Cette interconnexion vise à réduire significativement les délais de traitement, notamment pour la création d’entreprises et la gestion des documents administratifs.
Dématérialisation du titre foncier et introduction du NUP
Une autre avancée notable concerne la dématérialisation complète du processus d'obtention des titres fonciers. Grâce à un portail en ligne, les citoyens peuvent désormais effectuer l'ensemble des démarches du Cadastre à distance. Une innovation qui réduit non seulement le temps nécessaire pour obtenir un titre foncier, mais lutte également contre la fraude dans le secteur.
Afin de renforcer la sécurité des informations foncières et promouvoir une meilleure gestion cadastrale, le gouvernement a introduit un Numéro unique des parcelles (NUP). De façon spécifique, chaque parcelle de terrain sera répertoriée avec un identifiant spécifique, permettant une meilleure traçabilité et gestion des biens fonciers, et contribuant ainsi à la réduction des litiges fonciers.
Modernisation de la justice commerciale
Dans le domaine de la justice, des outils numériques ont été intégrés par la Cour d'Arbitrage du Togo (CATO), permettant aux avocats, entreprises et citoyens de soumettre des documents en ligne. En outre, la possibilité de tenir des audiences par visioconférence a été introduite, rendant le processus plus accessible.
Également, une base de données des bénéficiaires effectifs des entreprises a été créée, permettant d’identifier qui détient réellement une société. Une réforme qui vise à renforcer la transparence et la lutte contre la corruption.
Digitalisation des services de l’ARCEP
L'Autorité de Régulation des Communications Électroniques et des Postes (ARCEP) a également contribué à la dynamique de digitalisation en lançant une nouvelle plateforme de E-services. Celle-ci permet aux acteurs du secteur numérique de déclarer des services à valeur ajoutée (SVA), de demander des agréments pour les installateurs d’infrastructures ou d’homologuer des équipements.
Pour l’exécutif qui ambitionne de digitaliser 75% des démarches administratives d’ici à 2025, il s’agit de maintenir la dynamique. Un accord de coopération avec le Kazakhstan a été scellé dans ce sens en juin dernier par l’Agence gouvernementale Togo Digital (ATD).
L’Union Européenne dispose d’un nouvel ambassadeur au Togo. Le ministre des affaires étrangères, Robert Dussey a reçu le vendredi 13 septembre dernier, la copie figurée des lettres de créance du nouveau diplomate désigné, Gwilym Ceri Jones.
I was so pleased to welcome and receive copy Letters of Credence from Mr Jones Gwilym Ceri , Ambassador-designate of European Union to Togo.. as Chief negotiator of @PressACP for #Samoa agreement, we had good discussions and we both look forward to building on the already strong… pic.twitter.com/N7suzGP7zy
— Robert Dussey (@rdussey) September 13, 2024
Le nouvel ambassadeur qui sera officiellement accrédité par le Président de la République, succède à Joaquin Tasso Villalonga dont la mission s’est achevée le 31 août dernier après quatre années dans le pays. Gwilym Jones aura notamment pour mission de poursuivre le renforcement du partenariat entre le Vieux continent et le Togo, et d’intensifier l’action de la délégation européenne, tout en s’alignant sur les priorités gouvernementales.
“Nous restons déterminés à élargir notre partenariat dans divers domaines tels que la paix, la sécurité, le commerce, l'investissement, et le développement”, a indiqué Robert Dussey à l’issue de l’entretien.
Deux ans après leur reprise, les travaux de reconstruction du bâtiment principal du grand marché de Lomé (Adawlato) se poursuivent. L’édifice est réalisé à 60%, a constaté le ministre des travaux publics, Sani Yaya, à l’issue d’une visite sur le site en fin de semaine.
Si les gros oeuvres sont achevés depuis plusieurs semaines, les travaux complémentaires induits par les modifications apportées au projet initial sont en cours. Entre autres tâches à réaliser, l’installation des équipements terminaux et le renforcement de certains segments, ainsi que la sécurité.
“Nous avons fait le point avec l’entreprise Porteo qui est très engagée et qui fait tous les efforts, malgré le retard dû au financement. Nous avons identifié les points d’attention qui permettront de donner un coup d’accélérateur”, a indiqué Sani Yaya, “optimiste quant à l’achèvement dans quelques mois”, à l’issue de la réunion organisée avec les différentes parties impliquées sur le chantier.
“Notre vœu est que ce marché redevienne ce qu’il était dans le temps”, a pour sa part affirmé la présidente des Nana Benz, représentante des commerçants, qui ont été associées par le gouvernement à la réalisation du projet.
Pour rappel, le nouveau bâtiment, érigé sur une superficie totale de 8656 m², sera un complexe commercial moderne de cinq étages. Une fois achevé, il pourra accueillir environ 2500 commerçants, avec des espaces dédiés aux kiosques, étals et boutiques.
Initiée depuis 2010 par le gouvernement afin de soutenir les apprenants défavorisés à l’entame de chaque nouvelle année scolaire, l’Opération ‘Rentrée Solidaire’ a repris. Le ministère en charge de l’action sociale a lancé les actions vendredi 13 septembre à Tindjassi (Préfecture de Mô).
En tout, au moins 5380 élèves orphelins, issus de ménages précaires ou placés en centres d'accueil, bénéficieront de kits scolaires et alimentaires, sur toute l’étendue du territoire national. L’ambition reste la même, permettre à tous les élèves de jouir de leurs droits à l’éducation, et renforcer l’inclusion sociale dans le pays, en ne laissant personne de côté.
Depuis le lancement de cette initiative sociale, plus de 80 000 élèves démunis, recensés dans les 39 préfectures, ont été soutenus par le gouvernement et ses partenaires.
Après un peu plus de deux mois de vacances, la nouvelle année académique démarre officiellement ce lundi 16 septembre au Togo. En tout, plus de trois millions d’élèves, du primaire au secondaire, toutes catégories d’enseignement confondues reprennent le chemin des classes sur tout le territoire national.
Bonne rentrée à tous nos apprenants ! Abordez cette année avec discipline et détermination. Chaque effort vous rapproche de l’objectif, car la persévérance est le secret de la réussite. Je salue nos partenaires de l’éducation : les parents pour leur engagement admirable, et les… pic.twitter.com/jr4oDfi4cH
— Faure Essozimna GNASSINGBÉ (@FEGnassingbe) September 15, 2024
C’est parti pour 43 semaines d’activités pédagogiques, qui seront entrecoupées de périodes de détente et de congés, conformément au découpage officiel dévoilé il y a quelques jours.
Dans un message adressé il y a quelques heures à toute la communauté éducative, le Président de la République, Faure Essozimna Gnassingbé a exhorté les apprenants à aborder l’année avec discipline et détermination, avant de saluer l’engagement de tous les acteurs (partenaires, parents, enseignants).
La communauté Adjigo et Alliés, également connue sous le nom de Mina, Fanti ou Anè, a célébré ce samedi 14 septembre, l’apothéose de la 7ème édition de sa fête identitaire, Bakatué-Anèzan. Les festivités, organisées à Aného, se sont déroulées en présence du ministre, Secrétaire général de la Présidence de la République, Sandra Ablamba Johnson, représentant le chef de l’Etat, ainsi que de plusieurs officiels venus du Togo et des pays voisins.
À l'occasion de l’apothéose de la fête traditionnelle identitaire d'actions de grâce "Bakatue-Anezan", célébrée hier à Aného par la communauté Adjigo et Alliés, j’ai eu l'honneur de représenter le Chef de l’État à ce rendez-vous à la fois cultuel et culturel. Cette cérémonie… pic.twitter.com/NyN8d73vqO
— Sandra ABLAMBA JOHNSON (@SandraA_JOHNSON) September 15, 2024
Placée sous le thème “Aného, symbole d’une intégration multiethnique, une richesse instaurée par les pères fondateurs”, la célébration a été l’occasion d’effectuer la traditionnelle procession de la paix, d’honorer les divinités de la communauté, et de revisiter les richesses culturelles Adjigo.
“Notre cohésion et notre capacité à vivre ensemble sont des atouts que nous devons renforcer à l’image des valeurs que prônent les plus hautes autorités de notre pays. Nous tenons à remercier le chef de l’État pour sa politique de développement au Togo, en particulier dans la ville d’Aného”, a déclaré le Roi des Mina et chef traditionnel de la ville d'Aného, Nana Anè Ohiniko Quam Dessou XV.
Pour sa part, la représentante du chef de l’Etat a félicité la population locale pour son attachement aux valeurs de paix et de concorde nationale, et invité la Communauté à promouvoir davantage ces valeurs.
“Ces valeurs de paix et d’entente mutuelle dont toutes les communautés de notre cher pays le Togo ont besoin, méritent d’être inculquées aux générations actuelles et futures comme nous le recommande au quotidien, le chef de l’État, Son Excellence Monsieur Faure Essozimna Gnassingbé”, a affirmé Sandra Johnson.
Fête identitaire annuelle, Bakatué-Anèzan offre l’occasion à la Communauté Adjigo et à ses alliés de se remémorer l’exode de leur ancêtre du Ghana vers le site actuel, et de mener des réflexions sur les défis de développement économique, social et culturel de la ville d’Aného.