Togo Officiel

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Le Premier Ministre, Komi Selom Klassou, a rencontré ce vendredi, une délégation des Imans de la Région Maritime.

Avec à ses côtés le ministre Yark Damehane de la Sécurité et de la Protection civile et le ministre Payadowa Boukpessi de l’Administration territoriale de la Décentralisation et des Collectivités locales, le chef de gouvernement a échangé avec les leaders religieux sur la situation sociopolitique qui prévaut actuellement dans le pays.

Les troubles survenus dans la ville de Sokodé au Nord et dans certaines villes du pays, suite à l’arrestation d’un imam, ont motivé cette démarche du gouvernement.

Après avoir transmis les salutations du chef de l’Etat, SEM Faure Essozimna Gnassingbé, Komi Selom Klassou a appelé la communauté musulmane à jouer sa partition pour le retour au calme. « Nous avons tous le devoir de cultiver les vertus de la tolérance, du pardon, de l’acceptation de l’autre, car nos diversités, qu’elles soient religieuses, culturelles, voire politiques, doivent constituer une richesse pour le développement inclusif, la consolidation de la démocratie et du vivre ensemble », a-t-il souligné.

La communauté musulmane ne sera la cible d’aucune stigmatisation a rassuré le Chef du gouvernement. « Le Togo est un Etat de droit qui garantit et protège les libertés publiques » a martelé le PM.

Ahmed Bakayoko, ministre d’Etat, chargé à la défense de la République de Côte d’Ivoire, a été reçu en audience ce vendredi par le Chef de l’Etat togolais SEM Faure Essozimna Gnassingbé.

Nombreux sont les pays de la sous-région à l’instar de Bénin, du Ghana, de la Guinée, et maintenant de la Côte d’Ivoire, qui sont préoccupés par la situation politique tendue qui prévaut au Togo.

Aussi, mandaté par le Chef d’Etat Ivoirien, Alassane Dramane Ouattara, Ahmed Bakayoko s’est entretenu avec le président togolais à qui il a remis un message envoyé par son homologue.

Il s’est notamment informé sur la situation qui prévaut dans le pays et fait cas à son hôte de celle de la Côte d’Ivoire. Les deux pays et leurs peuples sont liés par des bonnes relations d’amitié et d’échanges commerciaux. Leurs dirigeants se tiennent donc fréquemment informés.

Les questions sous-régionales et l’actualité sur le continent ont été également abordées entre l’émissaire ivoirien et le Président en exercice de la CEDEAO.

Réduire les disparités et rétablir un minimum d’équilibre entre les différentes villes et les régions du Togo, c’est l’objectif d’un atelier d’échanges qui s’est tenu ce vendredi  20 octobre à Lomé.

Ces disparités se situent à trois niveaux sur le plan national. Le déséquilibre entre  Lomé, la capitale et les autres grandes régions du pays, insuffisamment pourvues en ressources naturelles et économiques ; le second niveau se trouve entre les régions elles-mêmes et le troisième niveau est lié à la disparité constatée entre les zones urbaines et rurales du pays.

Sous la houlette du Ministère de la Planification du développement du territoire, et de la Direction de l’Aménagement du Territoire, les acteurs de premier plan du développement, s’inspirant des instruments juridiques nationaux et internationaux, soumettront des stratégies et moyens à mobiliser pour la mise en œuvre d’une politique nationale d’aménagement du territoire.

A l’initiative de la Cour d’Arbitrage du Togo (CATO), un colloque international sur le thème « l’arbitrage, le droit maritime et les assurances en Afrique » s’est ouvert ce jeudi à Lomé. Prennent part à cette rencontre qui se poursuit ce vendredi, des experts d’Europe, d’Afrique et de pays membres de l’Organisation pour Harmonisation en Afrique du Droit des Affaires (OHADA).

Ces deux jours serviront au partage d’expériences dans le domaine de l’arbitrage en matière maritime et sur la question des assurances. Sont présentes des opérateurs économiques, les grandes entreprises et les étudiants du domaine des contentieux international et du contentieux des affaires sur la problématique des règlements de litiges maritimes.  

Les travaux ont été officiellement lancés par le Ministre Conseiller du Chef de l’Etat, chargé de la Mer, M. Stanislas Baba. Il a fait le lien entre ces assises et celle de l’Union Africaine sur la sûreté et la sécurité maritime, abritée par la capitale togolaise en 2016.

Ces assises témoignent de l’intérêt que portent les autorités togolaises avec à leur tête le Chef de l’Etat SEM Faure Essozimna Gnassingbé, pour le développement de l’économie bleue. Il a assuré de la disponibilité du gouvernement à œuvrer aux cotés des opérateurs économiques à l’essor de ce secteur, gage de développement du continent.

Les membres de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) élus par l’Assemblée Nationale le 12 octobre 2017, prêteront serment ce vendredi 20 octobre devant la Cour Constitutionnelle.  

Ils seront douze (12), issus des partis politiques extraparlementaires, de la société civile, de la majorité parlementaire et de l’administration territoriale, ce jour devant les juges de la Haute juridiction.

La Commission électorale togolaise est composée de dix-sept (17) membres. Les partis d’opposition ayant boycotté la session du 12 octobre dernier, les cinq sièges qui leur reviennent n’ont pas été pourvus.  

Après leur prestation de serment, les membres de la  CENI s’attèleront à l’organisation des échéances électorales à venir : le référendum sur la révision constitutionnelle engagée par le gouvernement et les élections législatives et locales prévues pour l’année 2018.  

Le Chef de l’Etat Faure Essozimna Gnassingbé a reçu ce jeudi 12 octobre un émissaire du Roi Mohammed VI du Maroc.

Nasser Bourita, ministre des Affaires étrangères du Royaume chérifien s’est entretenu avec le président togolais, président en exercice de la CEDEAO, sur divers sujets d’ordre bilatéral et continental. Les questions bilatérales, le renforcement des relations politiques et économiques ainsi que l’actualité du continent et la contribution des deux pays à son développement, ont notamment constitué le menu des échanges de ce jour.

Nasser Bourita chef de la diplomatie marocaine, était également porteur d’un message personnel du Roi  Mohammed VI. Le Maroc, qui est dans l’antichambre de la Cedeao qu’il souhaite intégrer pleinement, poursuit ses  contacts au sommet.

Lors du dernier sommet de Monrovia, les Chefs d’Etat et de gouvernement de la Communauté ont donné leur accord de principe à l’adhésion du Maroc et tout devrait se jouer à Lomé en décembre  prochain.

La Chambre de Commerce et d’Industrie du Togo (CCIT) est depuis ce mercredi 18 octobre partenaire de la Chambre de Métiers et d’Artisanat (CMA) de la Région des pays de la Loire Vendée, en France. Une convention de coopération et de partenariat a été signée à cet effet entre M. Germain Meba, président de la CCIT et M. Daniel Laidin représentant de la CMA.

Ce nouveau partenariat permettra aux deux parties de renforcer leurs secteurs privés. Il repose en grande partie sur la formation des entrepreneurs afin d’améliorer le rendement de leurs entreprises. Le renforcement de la compétitivité, afin de créer des emplois, notamment pour les jeunes, sous-tend également cette convention.

Un projet de création d’un centre de formation pour matérialiser les échanges expériences entre la CCIT et la Chambre de Métiers et d’Artisanat (CMA) de la Région de la Loire Vendée en France, est contenu dans le document. La CCIT entend ainsi redynamiser le secteur privé togolais et renforcer qualitativement la présence des produits togolais sur le marché international.

Depuis quelques mois, les autorités universitaires ont engagé un vaste chantier d’aménagement du site de l’Université de Lomé et de son campus. Les travaux semblent prendre plus de temps que prévu. Par conséquent, la rentrée académique 2017-2018, initialement prévue pour le 23 octobre, est reportée au 30 octobre 2017.

Les travaux en cours portent sur la construction de plusieurs amphithéâtres, de cités d’hébergement, de laboratoires scientifiques, de salles de TD, de parkings, d’espace verts, la réhabilitation du restaurant ainsi que le bitumage des pistes d’accès.

Ces nouveaux aménagements font partie intégrante du plan directeur de modernisation de l’UL chiffré à 29,5 milliards. Il repose sur six (6) axes à savoir l’organisation spatiale du campus universitaire de Lomé, le développement de la formation et de l’enseignement, le développement et la valorisation de la recherche universitaire, l’amélioration de la vie universitaire, la matérialisation du service à la communauté et l’amélioration de la gouvernance de l’Université.

Le Président de l’UL, le Prof Kokoroko Dodzi, signataire du communiqué annonçant le report, invite les acteurs universitaires à prendre des dispositions idoines pour l’effectivité des cours à la date du 30 octobre prochain.

(Agence Ecofin) - Hotel.ng, une startup de réservation d’hôtels en ligne basée au Nigéria, est annoncée sur le Nigerian Stock Exchange d’ici la fin de l’année 2018. Pour l’instant il est question de finaliser avec les procédures liées à cette introduction boursière.

« Sans aucun doute, nous ambitionnons de figurer parmi les plus importantes plateformes africaines de réservation d’hôtel en ligne. Pour cela, nous pensons qu’être introduit sur une bourse peut être une bonne option », a fait savoir Mark Essien (photo), le directeur général de la plateforme.

Si le processus arrive à son terme, cela fera d'Hotel.ng, la première plateforme virtuelle Business to Consumer, à s’introduire sur le marché financier nigérian. Mr Essien espère tirer profit de ce marché qui a déjà permis à plusieurs société de parvenir à un niveau supérieur de leur croissance.

Chamberline Moko

(Agence Ecofin) - Au Ghana, la Volta River Authority (VRA) prévoit de céder une partie des actifs de ses centrales à gaz et à fioul. 20 entreprises privées ont d’ores et déjà manifesté leur volonté de participer à cette opération. Selon Kweku Awotwi, le directeur de la VRA, qui a annoncé la nouvelle, le gouvernement n’a pas encore décidé des pourcentages de parts cessibles.

La puissance électrique ghanéenne est de 2 456 MW dont 1 325 MW de centrales thermiques qui fonctionnent actuellement à 50-65% de leur capacité.

« La gestion de la VRA, en ce qui concerne les actifs hydroélectriques, est de classe mondiale. Mais, pour une raison que nous ignorons, nous n’avons pas été capables d’obtenir les mêmes performances avec les centrales thermiques.», a affirmé M. Awotwi. Selon le responsable, ces centrales ont participé à l’accroissement de la dette du secteur électrique ghanéen. « Séparer la gestion des centrales thermiques de celles hydroélectriques, fait partie des options envisagées par le gouvernement afin d’améliorer leurs performances et leur profitabilité.», a-t-il affirmé.

Cependant, cette perspective n’enchante pas le syndicat du personnel de la VRA. Cephas Duse, son président, a d’ailleurs affirmé que cette opération ne résoudrait pas les problèmes de l’entité. Il a également affirmé que le personnel qui n’a pas été consulté, pourrait entreprendre des actions de grève contre ladite décision.

Gwladys Johnson

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