Togo Officiel

Togo Officiel

Le Conseil National du Patronat- Togo (CNP-Togo) se donne un nouveau souffle à travers l’élaboration d’un plan stratégique sur la période 2017-2021.

Il s’agit en premier lieu de restructurer le secteur privé togolais, le rendre plus performant et dynamique dans un contexte mondial de plus en plus compétitif.

Le CNP-Togo veut, en outre, apporter sa contribution à la croissance économique du Togo ; accompagner le gouvernement dans sa politique de développement et faire de la jeunesse un pilier de la croissance inclusive et durable à travers le développement de l’entrepenariat.

Pour ce faire, un diagnostic de l’environnement interne et externe du Conseil sera fait. Les besoins de changement, de renforcement de capacités à tous les niveaux et les principaux défis seront mis en exergue afin que le CNP joue pleinement son rôle et réussisse sa mission d’acccompagnement du gouvernement.

Mme Bernadette Legzim-Balouki, ministre du Commerce et de la Promotion du Secteur Privé, a officiellement lancé lundi dernier, le processus d’élaboration du plan stratégique du CNP-Togo. A cette occasion, l’engagement du gouvernement à faire du secteur privé, un partenaire social pourvoyeur d’emplois et de réduction de la pauvreté, a été réitéré.

Basé à Douentza, au Mali, dans le cadre de la MINUSMA, un bataillon des Forces Armées Togolaises (FAT) a été attaqué lundi dans la matinée. Bilan un mort, le Capitaine Tangaou Massamaesso, et deux blessés.

Le chef de l’Etat SEM Faure Gnassingbé a aussitôt réagi en saluant « la mémoire du disparu » et exprimé sa compassion à la famille éplorée.

Dans un contexte sécuritaire tendu dans la sous-région, marqué par des attaques terroristes, le président togolais a appelé ses pairs de la sous-région à intensifier la coopération en matière de renseignement afin de lutter plus efficacement contre le terrorisme.

Dur réveil pour les Burkinabè, ce lundi après l’attaque terroriste qui a touché un café-restaurant en plein centre de Ouagadougou. Une attaque au mode opératoire semblable à celui qui, en janvier 2016, avait pris pour cible le Café Capuccino.

L’attaque de Grand Bassam, en Côte d’Ivoire en 2016, encore, au Mali, l’attaque du bar-restaurant La Terrasse en mars 2015, celle du Radisson Blu en novembre 2015, et plus récemment, le 18 juin dernier, l’assaut du Campement de Kangaba, sont autant de preuves qu’aucun pays de la sous-région n’est à l’abri.

Le président togolais, Faure Gnassingbé, après ses mots de compassion, a vite pris les devants pour réagir à cette attaque. Le Président en exercice de la CEDEAO a fait de la lutte contre le terrorisme un des axes majeurs de son mandat. C’est à cet effet qu’il a lancé un appel à ses pairs, les exhortant au renforcement de la coopération en matière de renseignements. « Cette coalition contre le terrorisme doit se faire dans l’espace CEDEAO, mais aussi à l’échelle du continent », précise-t-il.

Pour Faure Gnassingbé la sécurité des populations africaines et celle de l’espace communautaire en particulier « est une grande priorité afin de maintenir la paix et la stabilité ».

C’est à Conakry que les six pays d’Afrique de l’Ouest, dont le Togo, qui ont opté pour le Free Roaming, se sont rassemblés les 10 et 11 août dernier, pour faire le bilan de leur projet commun.

Le Free Roaming entré en vigueur le 31 mars 2017, consacrait la suppression des frais de communication supplémentaires pour les usagers des réseaux de téléphonie mobile de ces six pays lorsqu’ils sont en itinérance. Sont concernés le Sénégal, le Côte d’Ivoire, le Burkina-Faso, le Mali, la Sierra-Leone, la Guinée et le Togo.

A Conakry, les responsables des autorités nationales de régulation et des sociétés de téléphonie mobile ont procédé à une évaluation du projet, quatre mois après son lancement.

Les travaux ont ensuite servi à formuler des recommandations. Ces dernières visaient à permettre une meilleure compréhension du projet aux consommateurs et inciter les autres pays de la CEDEAO non signataires à adhérer au Free Roaming.

Le Free Roaming est un axe important de la volonté politique des chefs d’Etats de faire de l’Afrique un marché numérique commun. Il se révèle aussi un formidable outil d’intégration régionale en boostant la libre circulation des biens et des personnes et l’amélioration du contrôle de la sécurité des Etats.

Le Burkina-Faso a été, dans la nuit de dimanche à lundi, la cible d’une nouvelle attaque terroriste. Des assaillants ont pris pour cibles des clients d’un café dans la capitale Ouagadougou.

elon le dernier bilan officiel au moins 18 personnes sont décédées et une vingtaine de blessés. La situation est actuellement sous contrôle suite à la riposte des forces de sécurité Burkinabè.

Le Chef de l’Etat Togolais, SEM Faure Essozimna Gnassingbé, président en exercice de la CEDEAO, a réagi aux premières heures de ce lundi pour exprimer sa «vive émotion et une profonde tristesse» suite à l’attaque terroriste dont a été victime le peuple frère du Burkina-Faso.

Au nom des populations togolaises, à son homologue, Roch Marc Christian Kaboré, au peuple burkinabé et aux familles des victimes, le Président Togolais a présenté «ses sincères condoléances».

Le Togo se tiendra donc aux côtés du Burkina-Faso, pays frontalier, dans cette nouvelle épreuve.

Tsévié dans la préfecture du Zio, (35km de Lomé) a vibré ce week-end au rythme de la ‘’Fête du Haricot’’ « Ayizan » en langue locale.

Le Premier Ministre Komi Selom Klassou, a représenté le Chef de l’Etat SEM Faure Gnassingbé à cette manifestation. Le Chef de Gouvernement a transmis les salutations du président togolais au peuple Ewé.

Pour cette édition 2017, le thème choisi a fait la part belle au renforcement des liens entre les fils et filles du Zio. Il appelle en outre, à une remobilisation pour redorer le blason de leur localité et œuvrer à son développement dans la paix. Pour le Premier Ministre, ces résolutions prises par les fils du Zio, répondent en tout point à la volonté du gouvernement qui multiplie les actions pour un développement harmonieux de toutes les localités du pays. Il en veut pour preuve, la politique de décentralisation qui est en cours et pour laquelle il a invité les populations à fortement s’impliquer pour sa pérennisation.

S’exprimant en langue locale, le PM Komi Selom Klassou a entretenu les populations sur les idéaux de la CEDEAO dont la présidence tournante est actuellement assurée par le Chef de l’Etat Faure Gnassingbé.

Le Forum AGOA brillement abrité par le Togo, le Visa textile accordé par les Etats-Unis et les avantages que tire le pays à accueillir des rencontres internationales, sont les autres sujets développés par le Chef du Gouvernement.

La Banque Africaine de Développement (BAD) à travers le Fonds des Energies Durables pour l’Afrique (SEFA) vient d’octroyer un don avoisinant le million de dollars (975 000 dollars) au projet d’électrification rurale CI-ZO, porté par le Chef de l’Etat togolais SEM Faure Essozimna Gnassingbé.

Le 22 juin dernier, le Chef d’Etat recevait à cet effet Mansoor Hamayun, co-président de la société B.Boxx, spécialisée dans la production d’énergie solaire. Quelques semaines plus tard (le 20 juillet), un accord était signé entre ladite société et le gouvernement et portait sur la fourniture de 300 000 équipements solaires individuels.

Le Projet CI-ZO repose en effet deux piliers phares qui sont:
- la mise en œuvre d’une plateforme informatique nationale destinée à agréger les fonctionnalités de paiement instantané (DESCO, MNO) et la collecte de données sur les besoins énergétiques de la population, leurs habitudes de consommation et leur solvabilité,
- le renforcement de capacités pour assurer les services de vente, l’installation et la maintenance des kits solaires dans les zones rurales.

Le financement de la BAD est destiné au démarrage du projet.

Cette initiative présidentielle entend faire passer le taux d’électrification dans les zones rurales de 7% à 40% d’ici 2022. Deux (2) millions de Togolais devraient en bénéficier.

Eric Meyer, Secrétaire d’Etat Adjoint américain au Trésor, était à la tête d’une délégation reçue en audience ce vendredi 11 août par le Premier Ministre togolais Komi Selom Klassou.

Avec le chef du Gouvernement togolais qui, pour la circonstance avait à ses côtés le Ministre de l’Agriculture, de l’Elevage et de l’Hydraulique, le colonel Ouro-Koura Agadazi et des émissaires de la Présidence de la République togolaise, M. Meyer a échangé sur les possibilités de partenariats entre le Togo et les Etats-Unis dans le domaine agricole.

Pour le Haut cadre du département d’Etat américain, les Etats-Unis veulent être aux avant-postes d’une synergie d’actions menée de concert avec des partenaires du Togo afin d’ « asseoir une politique de développement durable dans le secteur agricole et d’améliorer les conditions de vie des populations ». Le Fonds International de Développement Agricole (FIDA) a été identifié par M. Meyer comme un rouage important de cette initiative.

Les citoyens membres de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) peuvent bénéficier d’un système d’assurance en cas de sinistres : la Carte Brune de la CEDEAO.

Mis en place par les Chefs d’Etat et de Gouvernement, ce système octroie une garantie et une indemnisation systématiques en cas des sinistres frontaliers.

Les questions liées à sa gestion sont actuellement discutées au cours d’une rencontre sous régionale qui se tient à Lomé du 10 au 11 août. Les experts des 13 pays de la CEDEAO (Burkina-Faso, Côte d’Ivoire, Ghana, Guinée, Guinée Bissau, Libéria, Mali, Niger, Nigéria, Sénégal, Sierra Léone, Togo), membres de ce système, s’attèlent à identifier de nouvelles stratégies pour le dynamiser et le propulser dans les années à venir.

CEDEAO ASSURANCE

Les préoccupations de chaque pays et la mise en œuvre de la systématisation de la Carte Brune par les bureaux nationaux sont également débattues.

Le Secrétariat permanent de la Carte Brune de la CEDEAO, initiatrice de ces assises, souhaite que les travaux aboutissent à l’identification des sinistres à payer et des dossiers de grande portée.

Le Togo fait face à un déséquilibre lié à la répartition spatiale des populations, des ressources naturelles et des activités économiques. Afin d’atténuer ces déséquilibres, le gouvernement a adopté en 2009, le PONAT, Programme national d’aménagement du territoire. Dans le cadre de sa mise en œuvre, un atelier d’information et d’échanges s’est tenu ce jeudi 10 août à Lomé. Le Ministère de la Planification du Développement a convié à cet effet, tous les directeurs centraux de tous les ministères.

Cette rencontre avait pour objectif, de mettre ces acteurs au même niveau d’information. Ils ont été informés sur la problématique des disparités régionales, les concepts et les outils de l’aménagement du territoire. Leurs avis et propositions ont été également pris en compte afin de susciter leur appropriation de la loi portant loi-cadre sur l’aménagement du territoire et de faciliter sa mise en œuvre. Il s’agit de fédérer toutes énergies pour conduire à bon port le PONAT.

Les autorités togolaises, via le PONAT, outre le développement harmonieux de tout le territoire national, veut doter chaque citoyen d’un minimum d’infrastructures socio collectives de qualité.

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