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Le Président de la République, SEM Faure Essozimna Gnassingbé se rend ce mardi 07 mai 2019, dans la capitale gabonaise pour une visite de travail et d’amitié avec son homologue Ali Bongo Ondimba.

Cette visite, la première depuis le 24 mai 2018 (photo), sera l’occasion pour les deux chefs d’Etat, d’échanger sur de nombreux dossiers d’intérêt commun, bilatéraux et  internationaux.

Faure Gnassingbé et Ali Bongo devraient également faire le tour des principaux enjeux politiques et sécuritaires et d’intégration régionale  actuels sur le continent.

Il sera par ailleurs question de la consolidation de l’axe Libreville-Lomé, les deux pays entretenant d’excellentes relations et abritant chacun d’importantes colonies de ressortissants.

Soulignons que la réception du Chef de l’Etat sera la première du genre pour Ali Bongo depuis son rétablissement à la suite de ses ennuis de santé.

A partir de ce jour, le diagnostic du paludisme par le test de diagnostic rapide (TDR), et le traitement des cas graves par l'artesunate et l'artéméther injectable, sont désormais gratuits sur toute l'étendue du territoire national.

La décision, annoncée le 02 mai dernier par le ministère de la santé est effective depuis ce lundi dans toutes les formations sanitaires.

Cette mesure, qui s’inscrit dans la stratégie nationale de lutte contre le paludisme horizon 2017-2022, est mise en œuvre avec le concours de partenaires internationaux comme le Fonds Mondial, la Chine, la Banque mondiale ou encore l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

Elle doit permettre entre autres, de renforcer le dispositif mis en place par le gouvernement, afin de venir à bout de cette maladie endémique qui sévit actuellement dans la plupart des Etats de l’Afrique subsaharienne.    

Rappelons qu’en amont, de nombreuses campagnes de sensibilisations et de distributions de moustiquaires imprégnées ont été menées sur tout le territoire.  

La présidente de l’Assemblée nationale Yawa Tsegan a eu ce lundi 06 mai au siège de l’institution, un entretien avec Dr Sampawendé Jules Tapsoba, Représentant-Résident du Fonds Monétaire International (FMI) au Togo.

Cette rencontre a permis aux deux personnalités de faire le point des relations entre le Togo et l’institution de Bretton Woods.

Selon le N°1 du FMI au Togo, il s’est agi de « présenter les enjeux de ce que l’on fait, c’est-à-dire le programme de Facilité Elargie de Crédit (FEC) qu’on a avec le Togo pour essayer de rétablir la stabilité macroéconomique et l’assainissement des finances publiques ».

Avec l’accord triennal appuyé par la Facilité Elargie de Crédit, « l’effort de réduction de la dette publique se poursuit. Le taux d’endettement à fin mars 2019 se situe à 67,3%, en dessous de la norme communautaire UEMOA qui est de 70% », a révélé récemment Sani Yaya, ministre togolais de l’Economie et des Finances.

Réunion de réflexion et de concertation, ce lundi 6 mai 2019 à Lomé, des acteurs du domaine forestier. Au cœur de leur rencontre, la mise en place de nouvelles stratégies de plaidoyer, afin de mobiliser les ressources pour le Plan national d’investissement forestier (PNIF), qui court de 2018 à 2022, en vue d’une gestion durable des forêts et de la faune au Togo.

Ce Plan, d’un coût estimé à plus de 57 milliards FCFA, prévoit d’œuvrer sur plusieurs axes, notamment de lutter contre les coupes illicites, la déforestation, les feux de brousse, ou encore de contenir l’agriculture sur brulis.

Ainsi, cette rencontre vise à explorer les opportunités pour son financement, comme de solliciter les partenaires techniques et financiers du Togo.

Notons par ailleurs que le PNIF s’inscrit dans une perspective sous-régionale plus large, en termes de protection des écosystèmes forestiers, notamment à travers le Plan de convergence forestier pour l’Afrique de l’Ouest.

Dans le cadre de la mise en œuvre du projet de transformation agro-alimentaire du Togo (PTA-Togo), il est recherché depuis le 15 avril dernier un bureau d’études ou consultant pour la réalisation des études architecturales et techniques de l’agroparc de la Kara.

L’avis à manifestation, lancé par l’APRODAT (Agence de promotion et de développement des agropoles au Togo), fait suite à l’accord de financement obtenu auprès de la Banque Africaine de Développement (BAD), partenaire technique et financier du projet.

Le bureau recruté devra réaliser des études architecturales du Parc Agro Industriel (Agroparc) de la Kara à partir du Master Plan existant, réaliser des études d’avant-projets sommaires (APS) et détaillées (APD) des infrastructures de l’Agroparc, élaborer un dossier d'appel d'offres (DAO) suivant les dossiers types des bailleurs pour les consultations des entreprises des travaux.

Les entreprises intéressées sont invitées à consulter l’avis de manifestation à intérêt ou à obtenir plus d’informations à l’adresse : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

L’appel d’offres expire le 15 mai prochain à 10h00 GMT.

Rappelons que la construction de l’agroparc de Kara s’inscrit dans le projet de mise en place des agropoles sur toute l’étendue du territoire, conformément à l’axe 2 du Plan national de développement (PND 2018-2022).

Comme annoncé par l’Union musulmane du Togo (UMT), la communauté musulmane a entamé ce lundi 6 mai 2019, le ramadan, le traditionnel mois de jeûne dans la religion islamique.

Durant un mois, les musulmans pratiquants observeront les recommandations de ce mois, qui est par ailleurs l’un des saints piliers de l’Islam.

A l’occasion de cet évènement, le Président de la République, SEM Faure Essozimna Gnassingbé, a formulé ses vœux à la communauté musulmane du Togo, par le biais d’un message sur son compte Twitter.

« A tous nos compatriotes de la communauté musulmane, je souhaite un fructueux temps de jeûne », a exprimé le Chef de l’Etat. Et de poursuivre : « Que cette pieuse pratique consolide dans les cœurs l’amour, la solidarité, la communion et soit porteuse de grâces pour tous ».

Le Togo célèbre ce vendredi 03 mai, la journée internationale de la presse. A la faveur de cet évènement qui est l’occasion de célébrer les principes fondamentaux de la liberté de la presse et de dresser un état des lieux, le gouvernement a adressé via un communiqué, un message à tous les acteurs de la presse nationale.

L’ensemble des parties prenantes a été invitée à une synergie d’action, à préserver les progrès enregistrés et à concourir aux avancées en matière de liberté d’expression, de la presse et généralement des libertés publiques au Togo.

« L’engagement de l’ensemble des parties prenantes togolaises devra être source de synergie, tendant à réduire la dépendance notée entre l’environnement médiatique et le contexte politique, pour porter généralement l’attention des médias sur tous les secteurs de la vie nationale », indique le communiqué.

Et de poursuivre : « il est également attendu des organes de presse, radio et télévision sous le contrôle de la Haac, un effort de professionnalisation et une contribution accrue à la promotion des valeurs de civisme et de citoyenneté ».  

Rappelons que selon le récent classement de Reporters Sans Frontières du 18 avril dernier, le Togo a progressé de 10 places, se classant désormais 76ème sur 180 pays répertoriés. Performance à saluer dans un contexte marqué par le recul des soutiens à la liberté des médias en Afrique, d’après un sondage Afrobaromètre du 1er mai 2019.  

A ce jour, le Togo compte 171 titres, 74 radios et 10 chaînes de télévision.

Les agriculteurs togolais pourraient bientôt bénéficier d’une assurance agricole. Une nouvelle étape a été franchie ce vendredi avec l’adoption d’une feuille de route pour la réalisation d’une étude sur la mise en place de cette facilité.

C’était lors d’une session de cadrage initiée par le Mécanisme incitatif de financement agricole (Mifa), en collaboration avec le ministère de l’agriculture et le PAEIJ-SP.

L’étude qui sera effectuée par le Cabinet BARAC (Bureau Agriculture Résilience Assurance Conseils), retenu à l’issue d’une sélection, durera 04 mois. Elle va consister entre autres à relever les contraintes de base pour la mise en place d’une assurance agricole, ou définir les principaux produits qui y seront contenus.

L’assurance agricole, qui est une des priorités du Mifa dans sa mission d’accompagnement des acteurs agricoles, se veut un outil financier de gestion de risques.

La Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) a démarré le 02 mai une session de formation et de recyclage à l’intention des opérateurs de saisie (OPS), indique un communiqué de l’institution.

Prévue dans le cadre des préparatifs de la révision des listes électorales en prélude aux élections locales, cette session de formation qui prend en compte la 1ère vague des OPS devrait s’achever le 04 mai.

Une 2è vague d’OPS devrait suivre la même formation, du 06 au 08 mai sur le site du Centre Togolais des Expositions et Foires de Lomé (CETEF Lomé), communément appelé Togo 2000, indique le même communiqué à l’intention des parties prenantes au processus électoral en cours.

Dans le même registre, l’institution en charge de l’organisation des élections remobilise ses logisticiens. En effet, elle convie les logisticiens ayant participé aux opérations de recensement électoral en 2018, et toujours désireux de collaborer avec elle, « à se présenter à l’entrepôt central de Togo 2000 pour confirmer leur disponibilité, le samedi 04 mai 2019 à 17 heures ».

« Aucune réclamation ne sera acceptée après cette date, quelle que soit la raison évoquée », avertit l’institution présidée par Tchambakou Ayassor.

A l’occasion de la fête des travailleurs célébrée le mercredi 1er mai, le ministre de la fonction publique, du travail, de la réforme administrative et de la protection sociale, Gilbert Bawara, a annoncé qu’il y aura une révision du Code général de la Fonction publique.

Cette annonce en ligne avec les mesures envisagées pour améliorer le vécu des fonctionnaires togolais, a été faite alors que le chargé du portefeuille de la fonction publique et du travail recevait les agents de son département. 

Ceux-ci lui ont soumis un cahier de doléances visant entre autres, à améliorer leur cadre de travail, par la mise à disposition de bureaux et l’instauration de primes.

Gilbert Bawara a saisi cette occasion pour promettre également l’extension de l’assurance-maladie, la réforme de l’administration publique et des services publics, etc.

Le pendant de toutes ces mesures est l’appel du ministre à migrer vers une administration tournée vers le développement et alignée sur le PND. « Aucun pays  ne peut se développer s’il a une administration et des services publics qui sont installés dans la léthargie, le conformisme voire le conservatisme et qui refusent d’évoluer pour être orientés et axés sur le développement », a-t-il indiqué.