La Confédération africaine de football (CAF) a annoncé, ce lundi 19 février, la nomination de Sheyi Emmanuel Adebayor en tant que nouvel Ambassadeur. La légende du football togolais, retraité depuis quelques années, rejoint le nouveau programme lancé en début d’année par l’institution faîtière continentale, et qui comprend déjà dans ses rangs d’anciennes gloires comme El Hadji Diouf (Sénégal), Asamoah Gyan (Ghana), Ahmed Hassan (Egypte) et Augustine 'Jay-Jay' Okocha (Nigéria). 

We are thrilled to announce our new CAF Ambassador, Emmanuel Adebayor. ? pic.twitter.com/VgzeFOAp8R

— CAF (@CAF_Online) February 19, 2024

Aux côtés de ces illustres joueurs, l’ancien capitaine des Eperviers contribuera à promouvoir la Confédération et le football africain, ainsi qu'à jouer un rôle important dans des activités telles que les tournois, les initiatives caritatives, les événements commerciaux et sociaux, entre autres.

Toutes mes félicitations à @E_Adebayor, l'illustre ancien capitaine des Éperviers, pour son nouveau rôle d'ambassadeur de la @CAF_Online. Son parcours exceptionnel continue d'inspirer et de porter haut les couleurs du Togo sur la scène africaine. Bravo Sheyi ! pic.twitter.com/yOxpkjxuqn

— Colonel Guy Kossi Akpovy (@guy_akpovy) February 20, 2024

Quelques heures après l’annonce, le président de la Fédération togolaise de football (FTF), Guy Akpovi a félicité le Ballon d’Or africain 2008 : “Son parcours exceptionnel continue d'inspirer et de porter haut les couleurs du Togo sur la scène africaine. Bravo Sheyi  !”, a notamment posté le responsable sur X. 

Pour rappel, les critères de sélection des ambassadeurs de la CAF sont entre autres, la réussite sportive et professionnelle, l'impact social et la valeur commerciale. Depuis son retrait des pelouses, l’ex numéro 4 de la sélection nationale s’est particulièrement investi dans diverses actions à travers sa Fondation : agribusiness, formation, civisme fiscal, notamment. 

Lors de la finale de la dernière Coupe d’Afrique des Nations (CAN 2023) organisée il y a quelques semaines en Côte d’Ivoire, Emmanuel Adebayor a été désigné pour apporter le trophée à l’issue de la rencontre. 

Au Togo, le gouvernement poursuit le maillage du territoire en infrastructures culturelles. Le ministre en charge du secteur, Kossi Gbenyo Lamadokou a procédé ce lundi 19 février à la mise en service des Centres de lecture et d’animation culturelle (CLAC) de Mango, Défalé et Anié. 

En prélude au lancement officiel du second réseau des centres de lecture et d'animation culturelle (CLAC), j'ai procédé ce jour au nom du gouvernement à la mise en service des CLAC de Mango, Défalé et Anié. #CultureTogo pic.twitter.com/XJdAToda79

— Kossi Gbényo Lamadokou (@GbenyoLamadokou) February 19, 2024

Ces dotations, annoncées depuis plusieurs mois, s’inscrivent dans le cadre du lancement du second réseau de CLAC, qui verra le nombre de ces derniers passer de 12 (depuis 2000) à 20 sur l’ensemble du territoire. 

“Véritables maisons de culture”, les CLAC sont dotées de centaines d’ouvrages d’auteurs togolais mais également étrangers, et sont complétés par des équipements numériques et audiovisuels ainsi que des plateaux de jeux de société. 

En 2020, l’exécutif a doté le pays d’un Centre National de Lecture et d'Animation Culturelle (CENALAC), dont la mission est de travailler au quotidien à la mise en œuvre de la politique nationale en matière de lecture publique, et de superviser les divers centres existants.

Pour la première fois, le Togo participera au concours de beauté Miss Monde. Le pays sera représenté à cette prestigieuse compétition prévue le 09 mars prochain en Inde, par la Miss Togo 2023, Chimène Moladja.

« Je suis très heureuse de représenter mon pays, je vais donner le meilleur de moi-même pour ramener la couronne », a indiqué Chimène Moladja à quelques heures de son départ pour New Delhi.

L'événement qui en est à sa 71ème édition, rassemble cette année, plus de 130 candidats issus de plusieurs pays.

Pour rappel, Miss Monde est un concours de beauté international créé en 1951 au Royaume-Uni, qui élit chaque année une jeune femme Miss Monde.

En séjour en Allemagne où il a pris part en fin de semaine dernière à la Conférence de Munich sur la Sécurité (MSC), le ministre des affaires étrangères, Robert Dussey, a rencontré son homologue turc, Hakan Fidan. 

Bakanımız @HakanFidan, Münih’te, Togo Dışişleri, Bölgesel Entegrasyon ve Yurtdışı Togolular Bakanı Robert Dussey ile görüştü. ???? pic.twitter.com/pJTn7RFEWG

— T.C. Dışişleri Bakanlığı (@TC_Disisleri) February 16, 2024

L’occasion pour les deux personnalités de passer en revue la coopération bilatérale entre Lomé et Ankara, qui s’est intensifiée ces dernières années, avec notamment pour point d’orgue la visite officielle de Recep Tayyip Erdogan au Togo en Octobre 2021. 

Que ce soit dans l’agriculture, le commerce, la défense, ou même le tourisme, les deux pays ont régulièrement affirmé ces dernières années, leur volonté de renforcer le partenariat. 

D’ailleurs, en 2022, les échanges commerciaux bilatéraux s’étaient établis à environ 200 millions $.

Au Togo, la Haute autorité de l’audiovisuel et de la communication (HAAC) se prépare à encadrer la couverture médiatique des prochaines élections législatives et régionales. Une rencontre a réuni en ce sens en fin de semaine écoulée, les membres de l’institution à Kpalimé.

Objectif : examiner les textes réglementaires pour une bonne gestion médiatique des prochaines échéances électorales.

Concrètement, il s’est agi pour l’autorité de régulation de plancher sur les différents textes qui devraient régir la couverture médiatique de ce double scrutin.

« Il s'agit de définir dans un premier temps les textes qui vont organiser la couverture par les professionnels des médias, ensuite les dispositions qui vont gouverner l’accès des candidats aux médias », a expliqué Badibassa Babaka, rapporteur à la HAAC. Et d’ajouter que «la deuxième phase, consiste à identifier et à mettre en place la stratégie qui permettra aux candidats d'accéder directement aux médias publics ».

Pour rappel, les élections législatives et régionales sont fixées au samedi 13 avril prochain

Le Port de Lomé vient d’étoffer son palmarès. La plateforme a reçu vendredi 16 février à Lomé, le prix ouest africain de bonne gouvernance d’entreprise, une distinction décernée par le cabinet Prudence Finance Solution (PFS).

Le prix qui en est à sa 2eme édition, est « une mesure incitative qui oriente l’entreprise vers l’atteinte des objectifs définis en termes de couverture des principes directeurs », a expliqué Kaglan Komlan Sitsopé, chef de mission du cabinet PFS.

Concrètement, le prix récompense la gouvernance sociale, la gouvernance financière, la gouvernance sécuritaire et la prévention de risques au sein de la plateforme portuaire.

Pour rappel, l’année dernière, le port de Lomé avait raflé le prix du « Meilleur Trafic Transit et Transbordement » en 2022 et, celui de la « Meilleure Politique de Système de Management Intégré » (SMI).

Au Togo, des efforts se poursuivent en vue de garantir les libertés fondamentales à tous les citoyens. Une rencontre a réuni en ce sens vendredi 16 février à Lomé, les acteurs de la vie sociopolitique.

L’initiative portée par le Commission nationale des Droits de l’Homme (CNDH) en collaboration avec le ministère de l’administration territoriale et le ministère des Droits de l’Homme, vise à contribuer au renforcement de la jouissance des libertés de réunion, d’association et de manifestation pacifique publique.

Concrètement, il s’agit pour les parties prenantes d’identifier les obstacles à la jouissance des libertés de réunion, d’association et de manifestation pacifique publique et de faire des propositions pour améliorer les conditions d’exercice.

En outre, la rencontre devra permettre la pacification du processus électoral en perspective.

« A l’approche des élections législatives et régionales, il était nécessaire que la commission organise cette rencontre pour échanger et dialoguer avec les acteurs afin de trouver la formule idoine pour assurer la jouissance effective des libertés fondamentales », a indiqué Yaovi Sronvie, président de la CNDH.

Pour rappel, il y a quelques années, la loi sur la liberté de réunion et de manifestations publiques pacifiques a fait objet de modification, intégrant un peu plus la notion de police de proximité, et renforçant les règles de maintien de l’ordre public.